Et vous, que préférez-vous : les beautés balnéaires....
... ou celles plus rustiques de la campagne ?
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Et vous, que préférez-vous : les beautés balnéaires....
... ou celles plus rustiques de la campagne ?
Saint Christophe est mort en martyr en Lycie au III ème siècle. La légende raconte qu'il avait porté sur ses épaules un enfant pour traverser un torrent en furie. Cet enfant était si lourd qu'il n'était autre que Jésus en personne. Christophe est le saint patron protecteur des automobilistes, des débardeurs, des voyageurs, des touristes et des porteurs.
Ce même jour, on fête saint Jacques le Majeur. Frère de saint Jean, Jacques est mort en l'an 44. Il fut l'un des 12 apôtres. Persécuté par Hérode en 43, sa dépouille aurait été découverte, grâce aux indications d'une étoile, en Espagne dans un champ, le campus stellae, appelé aujourd'hui Saint- Jacques de Compostelle, haut lieu de pélerinage de la Chrétienté. Jacques le majeur est le saint patron des pélerins et des randonneurs
Dernier extrait de ce magnifique récit érotique
Extrait n° 4 : pages 250-251. Le narrateur qui dans ce dernier chapitre se prénomme Gérald est, à la suite d’un AVC, devenu paraplégique et aphasique. Dans sa maison, au cours d’une soirée sexe, son épouse se donne à son amant devant lui.
« Parce que Bernard a été informé que diverses aptitudes de ma personne avaient été abîmées par ma crise, il semble croire que mon entendement en a pris un coup. Aussi le sot met un point d’honneur à gloser la moindre de ses éructations sexuelles. De plus, obséquieux comme un pointeur, il n’agit jamais sans m’en demander la permission. Que je ne lui réponde pas, ni n’acquiesce, ne le gêne pas dans ses manœuvres.
- Gérald ! Oh, Gérald ! Je crois bien que je vais baiser votre épouse ! Car vous voyez,
cette chatte à point, chaude et ruisselante, est une invitation sinon par avance un accord à de telles privautés !
Ma quatrième femme apprécie ce genre de langage qui cache toute la rudesse du membre mais dit beaucoup de la virulence de ses martèlements. Elle se décroche du fauteuil et présente son arrière-train à son amant. Le tout à trente centimètres de moi, autant dire à une bite d’âne.
- Oh quel cul, Gérald ! Quel beau cul que celui de votre femme ! Sa raie bien dégagée ! Son trou récuré ! Sa chatte, je me répète mais c’est trop beau, sa chatte si mouillée et d’or comme la parure d’une reine ! Ah ça, ce qu’elle veut, c’est bien que je la baise ! Qu’en pensez-vous, Gérald ? Cela vous ferait-il plaisir que je bourre le con de votre femme ? Jouirez-vous du spectacle de votre épouse en train de se faire monter ? Elle le veut, j’en suis certain, voyez, j’y glisse ma main comme dans de l’huile ! Et ça brûle, Gérald, votre femme est une formidable salope ! Allez, je vais la défoncer un peu, si vous le permettez, bien sûr ! (…)
Vite fait, avant que Dieu n’impose son évidence dans un miracle qui me rendrait la parole et les poings, Bernard-l’ermite
incruste son cartilage dans l’alvéole nacrée de ma quatrième épouse. Puis tel l’outil qui creuse le lit avec soin, il fore ma quatrième femme et s’établit entre eux un dialogue de
psychopathes.
- Gérald, vraiment votre femme aime ça ! Je la sens qui danse du cul comme s’il fallait une douzaine de queues pour la contenter. Tout à l’heure, belle salope, tout à l’heure peut-être ! N’est-ce pas ? Gérald, tout à l’heure, si nous lui en donnons la permission. Pardon, si vous lui en donnez la permission. Mais pour l’instant, bouge ton cul, sale pute, que je te baise bien loin ! Allez, écarte les jambes, que je te bourre à fond, je vais te faire gueuler, moi, salope ! Tu veux ?
- Oui, oui !
- Alors dis-le à ton mari, salope ! Dis-le que tu aimes bien que je te baise !
- Oui, Gérald, j’aime que Bernard me baise !
- Alors prends, et prends, et prends, c’est pour t’ouvrir la chatte ! Tout à l’heure, tu n’en pourras plus ! »
Les Évangiles racontent que Marie de Magdala avait été libérée de sept démons par Jésus. Depuis, elle faisait partie des disciples qui suivaient et servaient le Christ. Après le crucifiement, c'est elle qui avec une autre Marie s'était chargée de la sépulture. C'est aussi elle qui la première, le dimanche de Pâques, reçut la révélation de la résurrection du Christ.
Marie-Madeleine est la sainte patronne des gantiers, des parfumeurs et des filles repenties. Sur les illustrations que je vous propose, les jeunes filles sont peut-être repentantes, mais pas nécessairement repenties... (il me semble que sur la deuxième image sans doute extraite d'un film, c'est Jean-René Caussimon qui joue le rôle du prêtre)
Extrait n° 3 : pages184-185. Le narrateur est maintenant en compagnie de Marguerite.
« Je me
lèche deux doigts et je glisse ma main dans la culotte que j’écarte de côté, j’aime assez quand la femme est à moitié quelque chose, qu’il reste un obstacle somme toute assez illusoire. Sa
minette m’accueille très élargie et les lèvres se boursouflent pour se répandre plus haut que sa laine. Nous nous patinons mutuellement des mains en nous fixant le sourire aux lèvres. Mon action
sur elle la pousse à s’ouvrir sous mon nez, elle est très silencieuse pour quelqu’une qui a de la joie à s’en faire propulser les tétins. Ses mamelons prennent du relief sous les bonnets. Elle
sait peloter, humecte sa main, puis tiraille le manteau du soldat, le serre au col, le hisse, lui prodigue des vaguelettes de pinçons sur la longueur, l’endort pour mieux le réveiller, avec
virulence, à la façon des chahuteuses. Quand elle accélère ses manoeuvres, j’accélère les miennes et la voilà, la grande virevolte sur ma main, une belle artiste du croupion, excellant en danses
des hanches et contractions des cuisses, le ventre rentré, tendant tout son corps en arrière. Très efficace.
Elle ôte sa robe en ne brisant notre contact que deux secondes. Marguerite est menue, les cuisses musclées, un fin fuseau qui s’entretient sûrement et prend garde à ce qu’elle dévore. Mais de ce que je me coltine au ventre, elle s’en gave sans risque de prendre du poids. Elle est à poil, c’est son côté magicienne aussi car je ne l’ai pas vue se soulager du peu qu’elle portait encore. Ses cheveux n’ont même pas tremblé du mouvement tant ils sont endigués par leur frisure. Et comme je le disais, Marguerite est une acrobate. À poil, elle grimpe sur l’accoudoir, je ne bronche pas, à poil, elle escalade le dossier comme un singe puis elle me dévale à plat ventre par-devant, ne rate pas sa cible et s’enfourne ma queue dans la bouche, son corps élastique retenu par ses deux genoux sur le dossier de chaque côté de ma tête. Ce qui me met aux premières loges de ses voluptueuses failles que ma mignardise a irriguées. J’ai le museau sur ses moiteurs et alors qu’elle pompe et m’inonde, je plonge ma bouche toute langue durcie entre ses replis et mon nez s’enfouit avec délicatesse entre ses fesses. »
Extrait n° 2 : pages 118-119. Au cours d’une soirée, Jean-Paul se trouve en compagnie de deux femmes, Monique et Martine.
« Elles se frottent l’une contre l’autre sur un canapé deux-places, elles dégustent du thé vert
car cela les aide à éliminer. Monique pleure, ou bien c’est Martine, Martine console, ou bien c’est Monique. Elles se réconfortent en s’enlaçant comme des amies. Monique s’épanche sur le col de
Martine, puis elle bave sur son chemiser entier. Elle dit, attends, je vais essuyer. Monique frotte avec ses doigts sur le chemisier. Martine frémit et glousse. Monique déboutonne le chemisier.
Martine plonge la main dans son soutien-gorge et présente son mamelon à Monique. Monique salive sur le tétin. Martine triture le pubis de Monique. Monique écarte les cuisses. Martine enfonce un
doigt dans la culotte de Monique. Monique sanglote encore plus fort. Martine a les deux seins dans les mains de Monique. Monique mordille les deux seins de Martine. Monique lèche. Martine tombe à
genoux entre les cuisses de Monique. Monique soulève les fesses. Martine tire sur le pantalon de Monique. Martine gamahuche la chatte de Monique. Monique s’enfonce un doigt là où la langue de
Martine, très très inexpérimentée, ne parvient pas. Monique jouit sous la langue et les doigts de Martine. Et puis c’est le tour de Martine. Martine et Monique savent alléger leurs
peines. »
Aurélie Van Hoeymissen, Mmmm
Éditions Le Cercle Poche n° 53, 2001 (285 pages)
En 4 longs mais captivants chapitres, nous suivons l’itinéraire érotique de Mmmm. Exceptionnellement, je consacrerai 4 articles à cet ouvrage en tous points remarquable, tant par la richesse de sa langue que par la variété de ses situations. Volontairement, je ne vous proposerai aucun extrait mettant en scène l’énigmatique Mmmm, que je vous laisse découvrir par vous-même en lisant ce livre.
Extrait n° 1 : page 108 Jean-Paul, tout jeune narrateur encore puceau, est amoureux de Mmmm, mais fantasme sur Mathilde, la mère de Mmmm qui n’est pas insensible à ce désir.
« Elle rougit. Mathilde a toujours été amoureuse de moi. Quand elle m’a rencontré, après son
mariage avec Fulbert, je suis certain qu’elle s’est refusée à lui pendant des jours. Elle a rêvé de moi. Elle m’a imaginé lui avalant la touffe, écroulé entre ses cuisses en angle affaissé. Elle
relève sa jupe, Mathilde porte un collant ajouré comme un porte-jarretelles. Un voile de couleur chair qui marque encore plus sa nudité de ménagère. Elle le fait dans l’entrée dès que je sonne.
La porte n’est pas fermée à clef. Je la pousse. Mathilde est assise sur le bord de la troisième marche de l’escalier. La jupe sur la taille. La touffe très très volumineuse, forêt épaisse, boule
de mousse gonflée par la pluie. Elle ne dit rien. Elle a honte de son accueil. Sa mise n’est pas élégante. Son chemisier est taché. Un bouton décousu entrebâille le vêtement sur son sein mou.
L’aréole est si foncée qu’elle en parait craquelée de crasse. Son ventre est visible sous la ceinture de sa jupe. Le ventre rond où commence à se semer la végétation du pubis et le pubis qui
étouffe de chair grasse et meuble. Des frisures de saleté, des moutons de poussière affleurent sous ses fesses. Je fais demi-tour, je dis, Mathilde, tu es trop sale, non Mathilde crie et pleure,
Mathilde hurle, regarde, Jean-Paul, regarde. Le dos appuyé contre la porte refermée, je l’observe se masturber et jouir en geignant. »
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