Samedi 17 mai 2014 6 17 /05 /Mai /2014 11:13

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Cet ouvrage avait déjà fait l'objet d'un court article sur mon blog le 29 janvier 2008

Restif de la Bretonne : l'Anti-Justine.

Restif de la Bretonne, l’Anti-Justine

Récit pornographique et essentiellement incestueux paru en 1798 qui se voulait, comme son titre l’indique, une réponse à la Justine de Sade

J’ai trouvé en début d’ouvrage ce beau récit candauliste

restif«  J’étais voisin vis-à-vis d’un vieil horloger, qui avait une femme jeune et charmante (…) La beauté de cette femme n’avait pas d’égale, pour le moelleux  et le provoquant. Son mari l’adorait ; mais il n’était plus jeune ! Cependant comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu’elle paraissait désirer. Mais il n’atteignait pas le but, et Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce bon mari lui dit : « Mon ange ! Je t’adore, tu le sais ? Cependant tu es triste, et je crains pour tes jours précieux. Tout ce que je fais ne te flatte en rien ? Parle ! C’est un ami tendre qui t’en conjure. Dis-moi ce que tu désires. Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t’être accordé. »

- « Oh ! Tout ? dit la jeune femme » -

« Oui, tout fût-ce… Est-ce à ton cœur ? Est-ce à ton divin conin qu’il  manque quelque chose ? » 

- « Tu remplis mon cœur, cher mari ! Mais j’ai des sens trop chauds, et quoique blonde cendrée, mon bijou a des démangeaisons… terribles ! »

- « T’est-il indifférent qui le satisfasse, ou aurais-tu un goût ? »

- « Sans aimer, j’ai un goût… un caprice… Mais je n’aime que toi. »

- « Qui excite ta main que je vois en ce moment chercher  ton gentil petit chose ? »

- «  Tiens, ce voisin qui me regarde… et dont… je me suis déjà plainte. »

- « Passe au bain, mon ange adoré, je reviens dans l’instant. »

Il courut me trouver.

- «Jeune voisin, on dit que vous aimez madame Folin l’horlogère … »restif4

- « Ma foi, on dit vrai, je l’adore.

- « Venez ! il en arrivera ce qu’il pourra, allons ! »

Il me prit la main et nous allâmes chez lui.

- « Déshabillez-vous, passez dans ce bain que ma femme quitte. Voilà de mon linge. Régalez la nouvelle mariée ou ménagez-vous pour différentes nuits, à votre choix et au sien. J’adore ma Fidelette, mais pour cette épouse chérie, je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l’aurez foutue, que son petit conin aura bien déchargé, je l’enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent. »

Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le bain. Il s’en allait.

- « Mon cher mari ! s’écria cette timide colombe, tu me laisses seule avec un inconnu ! Ho, reste ! Et si tu m’aimes, sois témoin des plaisirs que je ne devrai qu’à toi ! »

restif1Et elle nous baisa tous deux sur la bouche. Le lit était vaste : le bon Folin s’y mit avec nous. Je grimpai sur le ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du mari et j’enconnai roide. Elle répercutait avec fureur.

- « Courage, ma femme ! criait l’excellent mari, en me chatouillant les bourses. Décharge, ma fille ! Hausse le cul ! Darde ta langue… Ton fouteur va t’inonder !... Toi, jeune vit, plonge… plonge ! Lime… Lime-la. »

 

Nous déchargeâmes comme deux anges. Je la foutis six fois dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi. 

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 16 mai 2014 5 16 /05 /Mai /2014 14:24

Honoré fut peut-être évêque d'Amiens au VIème siècle. Les origines de son cullte qui se développe au XI ème siècle sont assez mystérieuses, mais il est indéniable que sa renommée se répandit dans toute la France et plus particulièrement à Paris. Honoré est le saint patron des boulangers et des pâtissiers.

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Jeudi 15 mai 2014 4 15 /05 /Mai /2014 16:43

Comme à la télé... ou presque

La parenthèse inattendue est une émission de télévision française présentée et animée par Frédéric Lopez, diffusée depuis février 2012 sur France 2, le mercredi en deuxième partie de soirée.

Le principe : Frédéric Lopez invite trois personnalités (showbiz, écrivains, sportifs...) qui ne se connaissent pas dans une maison de campagne où ils vont passer 24 heures. Ensemble, dans un cadre intimiste et campagnard, ils évoquent librement leurs parcours professionnlels et évoquent leurs rêves... Il est important de remarquer que la plupart du temps ces trois personnalités sont composées de deux hommes et d'une femme, ce qui justifie mes choix d'illustrations.

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Mercredi 14 mai 2014 3 14 /05 /Mai /2014 13:29

Je ne sais si cette photo est un montage mais quoi qu'il en soit, elle me plaît. Il y a là tellement de non-dit, de désespoir et de désir, que j'en suis tout ému, au bord des larmes...

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Mardi 13 mai 2014 2 13 /05 /Mai /2014 15:22

Après les excès de "Livraison à domicile", une pause sensuelle avec cette petite galerie consacrée à la lettre qu'on devine d'amour...

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Dimanche 11 mai 2014 7 11 /05 /Mai /2014 09:00

Livraison à domicile (3 ème partie)

livraison3-4Le patron s’est allongé sur la table, couché sur le dos. Son ventre faisait comme une colline au pied de laquelle se dressait la poutre de sa bite épouvantablement dure.

- Monte-moi dessus et viens te la mettre dans la chatte. T’es tellement large et mouillée que t’en feras qu’une bouchée !

Je me suis allongée sur son ventre doux comme un édredon de fourrure. La tête de sa bite battait la chamade à l’entrée de ma vulve. C’était quand même un morceau de taille à s’enfiler.

- Antoine, toi qu’es debout et qui ne fais rien, va chercher la bouteille d’huile qu’est dans le placard !

Le commis est revenu avec une bouteille d’huile de colza à moitié entamée.

- Verse-lui en une bonne rasade entre les fesses, ça servira aux deux !

J’ai senti l’huile tiède me couler sur l’anus, le périnée et assaisonner ma vulve et le bout de la queue du patron. Effectivement, avec la sauce, ça rentrait tout seul. Malgré tout, j’ai eu l’impression de m’enfiler une énorme saucisse de Morteau dans le con. Elle prenait toute la place mais c’était loin d’être désagréable. Il m’a pistonnée deux ou trois minutes, façon de dilater le bazar, de prendre ses aises dans mon ventre, puis il s’est arrêté pour laisser Thomas m’enfoncer sa bite dans le cul.livraison3-1

- Vas-y Thomas, à fond, jusqu’aux couilles. Tiens-la par les hanches pour bien la bourrer. T’aimes ça la grosse ?

- Ouiiii … ma voix n’était plus qu’un souffle.

Ils ont d’abord essayé de me fourrer en alternance, mais ce n’était pas concluant, alors le patron s’est calé au fond de mon vagin, la tête de bite glissée sous le col l’utérus, de façon à ce que Thomas puisse y aller de bon cœur.

- Putain, Thomas, t’arrête surtout pas, je sens que ça vient !

J’ai gueulé un grand coup en jouissant. Mon cul a serré si fort la bite de Thomas que ça l’a fait jouir lui aussi et j’ai senti son foutre me noyer l’intestin.

- Salope, putain de salope, grosse poufiasse… répétait Thomas tout en se vidant les couilles.

Mais je n’en avais pas pour autant fini avec mon trio infernal. J’avais à peine repris mon souffle que le patron retirait sa bite luisante d’huile de ma chatte tuméfiée. Avec autorité, il m’a retournée comme une crêpe si bien que je me suis retrouvée couchée sur le dos, vautrée sur son ventre doux, avec la tête huileuse de sa bite entre mes fesses écartées, pointée sur mon rectum encore entrouvert. D’un simple coup de reins bien ajusté, il s’est enfoncé en moi.

livraison3-3- Doucement, salaud, tu vas me défoncer le ventre avec ton gros dard de paysan !

Ça l’a fait rigoler. Il a appelé son commis à la rescousse.

- Alors gamin, tu bandes ? Allez, viens prendre ta part. Tu vois la chatte de cette garce comme elle est ouverte et grasse. Viens-y mettre ta queue et baise-la !

Le commis est monté sur la table. Il s’est agenouillé entre nos cuisses ouvertes et avant de s’y mettre, il est resté quelques instants à admirer le spectacle de l’énorme queue de son patron enfoncée jusqu’à la racine dans mon cul. Il  trouvait ça fascinant. Puis il s’est décidé. Sa bite vigoureuse est venue naturellement se glisser dans ma chatte. Il était tout léger, frétillant comme un gardon. Heureusement qu’il avait déjà juté une demi-heure auparavant, comme ça il a pu prendre le temps de m’astiquer, de me sucer les nichons, de m’embrasser à pleine bouche. N’empêche qu’il n’a pas tenu plus de dix minutes. De nouveau, j’ai senti sa bite me vibrer dans le vagin et puis les spasmes de son éjaculation qui m’ont électrisé le ventre. Il s’est retiré aussitôt, me laissant  béante, enculée jusqu’à la garde, avec tout son foutre qui coulait de ma vulve et dégoulinait sur les couilles du patron. C’est peut-être cette sensation qui l’a excité ; toujours est-il qu’il s’est mis à me bourrer le cul en me traitant de tous les noms, de salope, de grosse coche, de traînée, de pétasse bouffeuse de bite… Tout ça, c’était pour se stimuler, pour faire monter son foutre qu’il a fini par cracher en grognant et en soufflant comme un bœuf.

Après être ressorti tout flasque et gluant de mon cul, le patron a envoyé Antoine chercher une cuvette sous l’évier. Il l’a posée sur la table et il m’a demandé de m’accroupir au-dessus pour que je me vidange les deux trous devant eux. Mélangés à ma mouillure et à  ma merde, des filets de sperme pendouillaient sous mes fesses et tombaient goutte à goutte dans la cuvette en émail. J’ai pissé aussi, pour leur plus grande joie. Et comme j’en avais encore envie, je me suis finie à la main, en me branlant frénétiquement le clito entre le majeur et l’index. J’étais heureuse.

 

Une fois rhabillés, on a repris un café, sérieux comme des papes. Sur la table, Thomas a laissé la facture, le patron a signé les papiers pour la livraison du frigo juste à côté des traces de sperme et d’huile qui traînaient encore sur la toile cirée.

- Antoine, il faudra me nettoyer tout ça avant que la patronne  revienne !

Dehors, il faisait nuit noire. J’ai repris la route avec Thomas. On n’a quasiment pas parlé, comme si on était gênés.

Il m’a déposée au pied de mon immeuble. Je l’ai remercié de sa gentillesse.

- Je  vous inviterais bien à prendre le café, mais ça pourrait être mal interprété, lui ai-je dit en rigolant. Ce sera peut-être pour une autre fois.

- Peut-être… On ne sait jamais. Et si un jour vous achetez une nouvelle machine à laver, un congélateur ou une télé, n’hésitez pas à demander Thomas pour la livraison à domicile.

FIN


© Michel Koppera, mars 2014

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Samedi 10 mai 2014 6 10 /05 /Mai /2014 09:00

Livraison à domicile (2ème partie)

La livraison, c’était dans un trou paumé, au bout du bout d’une petite route de campagne, avec plein de virages, de sous-bois sombres et de prés humides où broutaient des vaches. En faisant confiance au GPS, on a fini par échouer dans une cour de ferme parcourue de long en large par deux chiens faméliques et gueulards.

livraison2-3- Bougez pas, m’a dit Thomas en coupant le moteur. J’en ai pas pour longtemps.

Il était à peine descendu de la camionnette que les chiens ont fermé leur gueule. Avec sa carrure de déménageur, il en imposait le Thomas. Rien ne lui résistait : ni les clébards, ni le frigo qu’il soulevait de terre avec autorité.

À peine cinq minutes plus tard, il était de retour.

- On nous invite à prendre un café… Vous venez ?

Je lui ai emboîté le pas pour traverser la cour. Un des chiens me suivit à la trace et glissa son museau sous ma jupe :

- N’ayez pas peur, me dit Thomas, les chiens font toujours ça, ils reniflent la femelle.

On est entrés dans une vaste salle commune de ferme comme on en voyait dans les films d’avant-guerre : une longue table recouverte d’une toile cirée, deux bancs, une cheminée où brûlait un feu d’enfer, un fourneau, un vaisselier, un buffet en chêne massif, un crucifix avec une branche de laurier et des images pieuses accrochés au mur. Ça sentait la fumée, l’encaustique et un peu l’étable. Assis à la table où étaient déjà posées les quatre tasses à café, il y avait deux hommes, un jeune et un plus âgé, pas loin de la soixantaine.

- Installez-vous ! nous a dit le plus vieux qui était visiblement le patron. Il s’appelait Bernard ; le plus jeune, c’était Antoine, son commis. La patronne n’était pas là. On nous dit qu’elle était partie pour la journée en pèlerinage à Lisieux.

- Tout ça, c’est des bondieuseries de bonnes femmes ! a dit Bernard pour couper court. Alors, la petite dame, elle prend du sucre avec son café ?livraison2-2

On a donc pris le café. Puis, après, le patron a insisté pour me faire goûter à son eau-de-vie de mirabelles, fabrication maison. Thomas qui conduisait a poliment décliné la proposition.

- Un petit canard, ça n’a jamais fait de mal à personne… Avec un sucre, ça passe tout seul !

Effectivement, c’était pas mauvais. Le patron m’en a même servi un deuxième. Tout en sirotant la mirabelle, ils discutaient de la météo, du prix du lait et des aliments pour bétail…

Je crois que c’est le patron qui a donné le signal en me prenant par la taille pour m’attirer contre lui. Je me suis laissé faire ; la mirabelle faisait déjà son effet et l’idée de me faire sauter par trois hommes d’un coup n’était pas pour me déplaire. De ses grosses paluches rugueuses, le patron m’a caressé – plutôt malaxé – les seins sans ménagement tout en me roulant un patin parfumé à la mirabelle. J’aimais ça ! Déjà tout émoustillé, Antoine a débarrassé vite fait la table des tasses et des bouteilles. Ils m’ont fait grimper sur la table.livraison2-1

- Allez, la petite dame de la ville, montrez-nous tout ce que vous savez faire… On est bon public.

J’étais en représentation, comme sur le podium d’une boîte de strip-tease. J’étais déjà fringuée comme une pute, il ne me restait plus qu’à jouer le rôle. Tout en me trémoussant, je leur ai tout exhibé : mes grosses loches de nourrice dont j’ai léché les tétons, mon gros cul de pétasse, ma chatte poilue à l’étroit dans son string, mon ventre rond… Accroupie sur la toile cirée, avec juste mes bottines de cuir, je leur ai montré ma chatte écartelée qui bâillait et suintait de désir.

Ils étaient tous les trois debout au pied de la table, en rang d’oignon, le pantalon aux chevilles, mes trois hommes en érection, la bite à la main.

- Mets-toi à quatre pattes au bord de la table, grosse salope, qu’on fouille ton cul ! a ordonné Thomas.

Ils s’y sont mis dare-dare. Le rayonnement du feu dans la cheminée me chauffait la croupe. Ils m’ont forcée à écarter les cuisses et à bien me cambrer pour m’ouvrir le cul au maximum. Avec mes seins écrasés sur la toile cirée, je devais avoir l’air d’une truie prête à mettre bas. Leurs mains parcouraient mon corps, me trituraient la viande, m’astiquaient le clitoris, plongeaient au plus profond de ma chatte.

livraison2-5- Putain, elle est en chaleur ! a déclaré Antoine en me barattant la moule à quatre doigts.

Maintenant, ils étaient tous les trois à poil. Je pouvais les voir au naturel. D’abord le patron, avec sa belle bedaine, couvert de poils sombres du torse au bas du ventre, avec une paire de couilles de taureau ballotant sous son énorme queue qui sentait fort le mâle. Antoine, le commis, encore presque imberbe, bandait déjà comme un grand. J’ai tout de suite compris qu’il serait le premier à jouir : une goutte de liquide préspermatique suintait du méat et son gland empourpré était sous pression. Si j’avais posé la main dessus, il serait parti sans préavis. Et puis, il y avait Thomas, avec sa belle queue qu’il me laissait caresser alors qu’il me branlait le clito.

- Gamin, donne-moi ta bite que je la suce !

Je voulais prendre les devants. J’ai bien fait. J’ai à peine eu le temps de le pomper qu’il m’a juté dans la bouche de puissantes giclées de foutre juvénile. Et pas qu’un peu, j’en avais la bouche pleine. J’ai tout avalé.

- Ah, la garce, elle suce trop bien !

Avec lui, je ne faisais pas de souci. Il était jeune, avant une demi-heure, il serait de nouveau en état de marche ! Il s’est mis un peu à l’écart pour regarder faire les grands.

- Alors, la grosse, t’en veux encore ? On va t’en donner ! On va te prendre en sandwich, comme dans les films. Lequel tu veux dans ton cul ?

- Je m’en fous, de toute façon, vous y passerez tous les deux…

- T’es vraiment une vraie poufiasse ! Ça te manque tant que ça la bite ? Ton mec t’en donne pas assez ?livraison2-4

- J’en ai jamais assez. Je voudrais passer ma vie à baiser. Bouffer, me branler, baiser… Dormir un peu et recommencer dés le matin parce qu’en dormant j’aurais encore rêvé de parties de cul et que je me réveillerais avec la chatte trempée.

© Michel Koppera, mars 2014

à suivre…

 

 

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Vendredi 9 mai 2014 5 09 /05 /Mai /2014 09:00

Voici, en trois chapitres, une nouvelle inédite que j'ai intitulée "Livraison à domicile". Ce texte a été écrit sur une idée de Zézette, une lectrice qui souhaitait un texte très hard. Donc ne soyez pas étonné du caractère pornographique des mots et des images.

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LIVRAISON À DOMICILE

 

à Zézette

 

- Pour une fois que toute ma famille était là, t’aurais pu faire un effort ! Au lieu de ça, il a fallu que tu sois désagréable, comme d’habitude…

livraison1-5Je la connaissais par cœur sa rengaine sur l’esprit de famille. Est-ce que c’était de ma faute si sa sœur était une vraie conne et que ses neveux avaient tout hérité de leur mère : bêtise,  autosatisfaction et ignorance crasse.

- Je suis désolée, mais quand j’entends dire des absurdités, je ne peux pas laisser passer !

- Parce que tu crois que toi, t’en dis jamais des conneries ?

- Si, ça doit sans doute m’arriver… mais j’en suis consciente et je le reconnais, tandis que ta sœur, il faut toujours qu’elle ait raison. Et son mari, excuse-moi de te le dire, c’est le même topo ! Ils forment vraiment un vrai couple de beaufs…

- Et toi, tu t’es regardée ! Avec tes fringues de pouffe, ton gros cul et ta clope au bec ! Eux au moins, ils ont l’air classe !

On roulait sur la quatre voies. Encore presque 100 kilomètres à s’engueuler. C’était comme ça chaque fois qu’on passait la journée chez sa frangine. Nadège, elle s’appelait. Une connasse de première. Les kilomètres défilaient comme les reproches. Ça virait à l’aigre.

- Mes neveux, ils sont comme ils sont ! C’est facile de critiquer alors que t’es même pas capable de faire un gosse et encore moins de l’élever. C’est pour ça que t’en veux pas, par égoïsme !

- Ou parce que je n’ai pas envie que mon gamin leur ressemble… Ils sont trop déprimants.livraison1-4

Il s’est arrêté sur une aire de repos, pour « prendre l’air » comme il disait. Mais surtout pour pisser un coup. J’en ai profité pour me dégourdir les jambes et en griller une en douce sous les arbres. Et quand je suis revenue sur le parking, la voiture n’était plus là ! Au début, j’ai cru à une blague mais, au bout d’une demi-heure, il a bien fallu que je me rende à l’évidence : ce salaud m’avait plaquée là, en plein après-midi, à plus de 40 kilomètres de la maison, sans argent, sans papiers, sans téléphone portable. Avec juste un paquet de Benson and Hedges, un briquet, vêtue d’une jupe un peu trop courte, d’une paire de bottines et d’un blouson de cuir noir. C’était un mercredi d’octobre, il faisait presque beau.

Au début, j’ai naïvement cru qu’il allait être pris de remords et faire demi-tour pour venir me chercher, mais une heure plus tard, j’avais perdu toute illusion. Il ne me restait plus qu’une solution : faire du stop.

Moi qui pensais que pour une femme, il suffisait de se planter au bord de la route et de lever le pouce pour que la première bagnole qui passe s’arrête ! Au bout de trois quarts d’heure, que dalle ! Et puis, alors que j’y croyais plus, une fourgonnette s’est arrêtée. Le conducteur a même fait marche arrière pour revenir à ma hauteur. Il a baissé la vitre côté passager.

- Vous allez où ? qu’il m’a demandé.

- À R***

- J’veux bien vous y emmener mais j’ai encore une livraison à faire en chemin… C’est vous qui voyez.

- Ça marche !

Il livrait à domicile des commandes pour une grande enseigne d’électroménager.

- J’ai encore un frigo à décharger et après on rentre. Vous êtes toute pâle, qu’est-ce qui vous arrive ?   

livraison1-3Alors, je lui ai tout déballé, de A à Z, ça me faisait du bien. Il aurait pu en rigoler. Au lieu de ça, il m’a laissée parler. Après, il m’a juste dit qu’il fallait pas en faire une maladie, qu’il y avait des trucs plus importants dans la vie. Et puis, il a mis un CD de Stromae dans l’autoradio. Une vraie thérapie ! Il m’a dit qu’il s’appelait Thomas, qu’il avait 42 ans, une femme et trois gamins… Je me suis sentie presque bien. Même quand il s’est garé sur le bas-côté pour lui aussi pisser un coup, je n’ai pas été inquiète. Il est allé se soulager à l’arrière de la camionnette et, dans le rétroviseur, je l’ai vu de profil, debout devant une haie, la bite à l’air. Avant de pisser, il a tiré sur la peau du prépuce pour bien dégager le gland. Le Thomas, il avait une belle queue, épaisse plutôt longue. Je crois qu’il ignorait que je pouvais l’observer, alors il prenait son temps pour arroser copieusement le talus. Avant de remballer son matériel, il l’a bien secouée jusqu’à la dernière goutte. J’en avais le bout des seins très dur, presque douloureux, et envie de baiser.

 

© Michel Koppera, mars 2014

à suivre…

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Jeudi 8 mai 2014 4 08 /05 /Mai /2014 09:00

Comme à la télé... ou presque.

J'irai dormir chez vous est une série documentaire française diffusée depuis 2004, d'abord sur les chaînes Voyage et Canal +, puis aujourd'hui sur France 5.

Le principe : Antoine de Maximy, voyageur-animateur, part seul dans des endroits du monde plus ou moins éloignés à la rencontre des populations locales. Il tente alors de se faire héberger gracieusement (gîte et couvert) par des familles du pays dont il va partager pendant une soirée et une nuit le mode de vie.

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Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 7 mai 2014 3 07 /05 /Mai /2014 08:30

Quatre, c'est aussi 1+1+1+1. Un ou une d'ailleurs... Voyons cela de plus près !

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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