Vous connaissez le principe :
D'abord l'original...
...puis ma version revisitée ( le CV en devient tout-à-coup beaucoup plus intéressant !)
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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Vous connaissez le principe :
D'abord l'original...
...puis ma version revisitée ( le CV en devient tout-à-coup beaucoup plus intéressant !)
John Holmes (1944-1988), acteur porno américain, fut au temps de sa gloire présenté comme l'homme au plus gros sexe de l'histoire du porno. Au repos, son membre mesurait de 30 à 35 centimètres de long selon les estimations. Mais cette démesure n'avait pas que des avantages. Saviez-vous qu'il ne pouvait que rarement parvenir à une érection complète ? En effet, si cela avait été le cas, la quantité de sang nécessaire à cette érection aurait entraîné une irrigation sanguine insuffisante du cerveau et provoqué une perte de connaissance. C'est la raison pour laquelle, dans tous ses films, John Holmes n'arborait qu'une demi-érection plutôt molle... Heureusement qu'en dessin tous les excès sont permis...
Bernardin de Sienne était originaire d'une famille noble italienne. Devenu orphelin, il est élevé par son oncle. Très doué, il fait de savantes études. Au cours de l'épidémie de peste qui ravage Sienne en 1400, il fait preuve de beaucoup de dévouement et de charité pour prêter assistance aux malades, si bien qu'alors qu'il n'a que 20 ans, on lui confie la direction provisoire de l'hôpital la ville. Deux ans plus tard, il devient prêtre et prédicateur. Ce sera sa vocation principale. De sa voix forte, il prêche dans toute l'Italie, parfois devant des assemblées de plusieurs milliers de personnes. Il meurt en 1444 à L'Aquila dans les Abruzzes. Bernardin de Sienne est devenu le saint patron des publicitaires.
Yves Hélory était le fils d'un pauvre chevalier breton. Orphelin très jeune, il est élevé par sa mère qui l'envoie à l'Université de Paris où il fait de brillantes études de théologie et de droit. À la fin de ses études, il revient en Bretagne où il est nommé à la fois prêtre et juge. Dans ses fonctions, il s'efforcera toujours de défendre les pauvres et les démunis. Après sa mort en 1303, son culte de développe rapidement en Bretagne, puis dans toute la France. Yves est le saint paton des avocats, des avoués et des hommes de loi
Débutant avec un lecteur du blog un travail d'écriture à quatre mains, celui-ci m'a demandé fort légitimement si j'avais des préférences en matière de femmes ou si je les aimais toutes. Je lui ai répondu que je n'avais pas de modèle féminin de prédilection, que je les aimais également de tous âges, de toutes corpulences, de toutes couleurs et que ce que j'appréciais et vénérais avant tout chez une femme, c'était tout simplement sa chatte, sa vulve, sa moule, son con...
Cet ouvrage avait déjà fait l'objet d'un court article sur mon blog le 29 janvier 2008
Restif de la Bretonne : l'Anti-Justine.
Restif de la Bretonne, l’Anti-Justine
Récit pornographique et essentiellement incestueux paru en 1798 qui se voulait, comme son titre l’indique, une réponse à la Justine de Sade
J’ai trouvé en début d’ouvrage ce beau récit candauliste
« J’étais voisin vis-à-vis d’un vieil horloger, qui avait une femme jeune et charmante (…) La beauté de cette femme n’avait pas d’égale, pour le moelleux et le provoquant. Son mari l’adorait ; mais il n’était plus jeune ! Cependant comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu’elle paraissait désirer. Mais il n’atteignait pas le but, et Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce bon mari lui dit : « Mon ange ! Je t’adore, tu le sais ? Cependant tu es triste, et je crains pour tes jours précieux. Tout ce que je fais ne te flatte en rien ? Parle ! C’est un ami tendre qui t’en conjure. Dis-moi ce que tu désires. Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t’être accordé. »
- « Oh ! Tout ? dit la jeune femme » -
« Oui, tout fût-ce… Est-ce à ton cœur ? Est-ce à ton divin conin qu’il manque quelque chose ? »
- « Tu remplis mon cœur, cher mari ! Mais j’ai des sens trop chauds, et quoique blonde cendrée, mon bijou a des démangeaisons… terribles ! »
- « T’est-il indifférent qui le satisfasse, ou aurais-tu un goût ? »
- « Sans aimer, j’ai un goût… un caprice… Mais je n’aime que toi. »
- « Qui excite ta main que je vois en ce moment chercher ton gentil petit chose ? »
- « Tiens, ce voisin qui me regarde… et dont… je me suis déjà plainte. »
- « Passe au bain, mon ange adoré, je reviens dans l’instant. »
Il courut me trouver.
- «Jeune voisin, on dit que vous aimez madame Folin l’horlogère … »
- « Ma foi, on dit vrai, je l’adore.
- « Venez ! il en arrivera ce qu’il pourra, allons ! »
Il me prit la main et nous allâmes chez lui.
- « Déshabillez-vous, passez dans ce bain que ma femme quitte. Voilà de mon linge. Régalez la nouvelle mariée ou ménagez-vous pour différentes nuits, à votre choix et au sien. J’adore ma Fidelette, mais pour cette épouse chérie, je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l’aurez foutue, que son petit conin aura bien déchargé, je l’enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent. »
Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le bain. Il s’en allait.
- « Mon cher mari ! s’écria cette timide colombe, tu me laisses seule avec un inconnu ! Ho, reste ! Et si tu m’aimes, sois témoin des plaisirs que je ne devrai qu’à toi ! »
Et elle nous baisa tous deux sur la bouche. Le lit était vaste : le bon Folin s’y mit avec nous. Je grimpai sur le ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du mari et j’enconnai roide. Elle répercutait avec fureur.
- « Courage, ma femme ! criait l’excellent mari, en me chatouillant les bourses. Décharge, ma fille ! Hausse le cul ! Darde ta langue… Ton fouteur va t’inonder !... Toi, jeune vit, plonge… plonge ! Lime… Lime-la. »
Nous déchargeâmes comme deux anges. Je la foutis six fois dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi.
Honoré fut peut-être évêque d'Amiens au VIème siècle. Les origines de son cullte qui se développe au XI ème siècle sont assez mystérieuses, mais il est indéniable que sa renommée se répandit dans toute la France et plus particulièrement à Paris. Honoré est le saint patron des boulangers et des pâtissiers.
Comme à la télé... ou presque
La parenthèse inattendue est une émission de télévision française présentée et animée par Frédéric Lopez, diffusée depuis février 2012 sur France 2, le mercredi en deuxième partie de soirée.
Le principe : Frédéric Lopez invite trois personnalités (showbiz, écrivains, sportifs...) qui ne se connaissent pas dans une maison de campagne où ils vont passer 24 heures. Ensemble, dans un cadre intimiste et campagnard, ils évoquent librement leurs parcours professionnlels et évoquent leurs rêves... Il est important de remarquer que la plupart du temps ces trois personnalités sont composées de deux hommes et d'une femme, ce qui justifie mes choix d'illustrations.
Je ne sais si cette photo est un montage mais quoi qu'il en soit, elle me plaît. Il y a là tellement de non-dit, de désespoir et de désir, que j'en suis tout ému, au bord des larmes...
Après les excès de "Livraison à domicile", une pause sensuelle avec cette petite galerie consacrée à la lettre qu'on devine d'amour...
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