Le monde de Sofia

Mardi 19 octobre 2010 2 19 /10 /Oct /2010 17:44

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- Le club de fitness

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Ses deux grossesses avaient modifié le corps de Sofia. Ses seins, naguère menus, avaient pris du volume puis, après l’allaitement, ils avaient donné les premiers signes de leur inéluctable affaissement. Sa taille s’était épaissie, ses fesses alourdies. Aussi, sur les conseils pressants de son mari, elle s’était inscrite à un club de gym où elle se rendait deux matins par semaine. À force d’exercices et de rigueur, elle avait presque réussi à retrouver sa silhouette d’avant la maternité, même si elle sentait bien qu’elle devrait accepter le poids des années. Elle était donc devenue une femme mûre et l’assumait sans complexe.

mere-modele2-2 Le Body Gym était dirigé par un couple, Sabrina et David. Bien que presque quinquagénaire, Sabrina avait conservé un corps aux allures juvéniles auxquelles la chirurgie esthétique n’était sans doute pas étrangère. Sa bouche dessinait en permanence une sorte de moue au Botox et ses seins de haute tenue siliconée pointaient trop fièrement sous le justaucorps. Elle était blonde oxygénée, méchée, manucurée, pédicurée, aseptisée, uvéisée, marketisée, prête à l’emploi comme les plats cuisinés dont elle se nourrissait entre deux steps. David, de vingt ans son cadet, n’avait pas besoin de tous ces artifices : son corps de danseur étoile se suffisait amplement à lui-même. De la tête aux pieds, tout était proportionné, calibré et harmonieux. Sabrina officiait dans la salle fitness, David dans celle de musculation.  Sofia le regardait souvent à la dérobée et cela lui provoquait à chaque fois une chaleur intense dans le bas-ventre.

En plus de son abonnement au Body Gym, Sofia avait une carte de fidélité qui lui donnait droit, au bout de cinquante séances, à une heure gratuite. Lorsque Sabrina en tamponna la cinquantième case, elle lui dit :

- Les abonnés fidèles bénéficient d’une séance personnalisée. Mercredi prochain, 19 heures, ça vous irait ?

Lorsque ce mercredi, en fin d’après-midi de printemps,  Sofia arriva au Body Gym, elle croisa les derniers membres qui quittaient le club. Sabrina et David l’accueillirent dans la salle de fitness qui sentait la sueur, les embrocations et les huiles de massage. Sabrina annonça le programme de l’heure : rameur, tapis de course et, pour terminer, plateforme vibrante.

Une fois les portes closes et les stores vénitiens baissés, Sabrina et David se mirent intégralement nus. Sofia en fut si peu étonnée que, sans poser de questions, elle les imita. Puis Sabrina la prit par le bras et l’entraîna vers le rameur. Sofia s’y assit, saisit les poignées des avirons et attendit les ordres. Sabrina enjamba l’engin et s’immobilisa, debout, les jambes écartées, face à Sofia. mere-modele2-3

- Allez-y, à chaque coup de rames, votre visage viendra à ma rencontre, votre bouche se posera sur mon ventre... Après, vous faites comme vous voulez… On commence par une série de vingt !

Dès le cinquième coup de rames, Sofia ralentit le mouvement afin que ses lèvres s’attardent plus que nécessaire sur le mont de Vénus de Sabrina, qu’elle glisse sa langue dans le sillon de la vulve et lui lèche le clitoris. Sabrina en eut un frisson. Le jeu se poursuivit. Au dernier coup de la série, Sofia s’arrêta, les genoux repliés. La bouche ventousée au con de Sabrina, elle lui arracha un orgasme baveux.

Pas le temps de souffler ! David l’attendait au tapis de course. Il se tenait à l’avant du tapis, grimpé sur un escabeau qui mettait sa bite en semi érection à hauteur du visage de Sofia. Elle en salivait d’avance. Depuis le temps qu’elle en rêvait de cette bite, depuis le temps qu’elle l’avait imaginée sous le renflement de son short ! Elle était maintenant à portée de bouche, telle qu’elle les aimait : droite, bien charpentée avec un gland largement découvert et une paire de grosses couilles prometteuses de grandes quantités de foutre.

Mais déjà, David avait appuyé sur le bouton « on » et réglé la vitesse du tapis sur « marche rapide, 7 km/h ». Pour le sucer, Sofia devrait courir après. Elle s’élança. Dix foulées plus tard, elle l’avait en bouche. Elle se rassasiait de son parfum intime, saturé de sueur et d’androstérone, un parfum qui lui mettait de la moiteur dans le vagin.

mere-modele2-4 La main posée sur la manette de vitesse du tapis, David faisait varier les plaisirs. Tantôt, il ralentissait le tapis, si bien que Sofia avait tout le loisir de lui téter la bite, de se l’enfoncer jusqu’à la glotte en flânant ; tantôt il accélérait si brusquement que même en courant, elle ne pouvait qu’effleurer du bout de la langue la tête fuyante du gland. Ce supplice de tantale d’un nouveau genre la mit en sueur et ne fit qu’exacerber son désir d’être baisée. Lorsqu’il la vit au bord de l’épuisement, David arrêta le tapis afin de laisser Sofia lui prendre les couilles à pleine main et se rassasier de sa queue…

Pour terminer, ils passèrent à la plateforme vibrante où ils retrouvèrent Sabrina. Tous les trois ceinturés à la taille par une large sangle, leurs corps rassemblés n’en formaient qu’un seul, partageant les mêmes vibrations. Sofia se trouvait prise entre David dont le sexe dur était glissé dans sa raie culière et Sabrina dont les seins s’écrasaient sur les siens, dont le ventre se frottait contre son ventre, dont la bouche se collait à sa bouche… Au fur et à mesure que les vibrations augmentaient, la bite de David s’insinuait profondément entre les fesses de Sofia, s’y frayait un chemin qui semblait hésiter entre deux portes. Sofia se cambrait, s’ouvrait, s’offrait. La langue de Sabrina jouait avec sa langue, ses doigts lui branlaient le clitoris ; Sofia lui rendait son baiser et ses caresses… Et puis, sans plus de manières, avec une aisance étonnante, la bite de David l’encula. Toutes les vibrations de la plateforme les traversaient de part en part, allumant des brasiers de plaisir aux endroits les plus secrets de leurs corps. Sabrina jouit la première en poussant de petits cris et en pinçant le clito de Sofia. Puis ce fut au tour de Sofia de s’envoyer en l’air, autant par le cul que par le con qui semblait se liquéfier. David lui éjacula dans le rectum au plus profond, comme s’il voulait lui défoncer les entrailles.

Après la douche, Sabrina remit à Sofia une nouvelle carte de fidélité et lui dit :

- Les 50 séances suivantes donnent droit à une soirée privée en salle de musculation, avec David et des abonnés fidèles triés sur le volet. mere-modele2-5


à suivre... ( l'anniversaire des enfants )

© Michel Koppera, août 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 18 octobre 2010 1 18 /10 /Oct /2010 17:53

Une mère modèle…

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À quarante-trois ans, Sofia donnait toutes les apparences du bonheur : mariée depuis  huit années à Sébastien, elle était maman de deux adorables garçons âgés de six et quatre ans. La petite famille habitait un bel appartement dans un quartier résidentiel, partait régulièrement en week-end dans la résidence secondaire du Sud Bretagne et, chaque année, au plus fort de la froidure de l’hiver, le couple s’offrait un séjour de deux semaines dans un archipel de l’Océan Indien, sous le soleil du tropique du Capricorne…

Afin de se consacrer en priorité à ses enfants, Sofia avait provisoirement cessé toute activité professionnelle. Désormais, ses journées étaient partagées entre tâches domestiques, obligations maternelles et vie associative…

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- Assemblée trimestrielle de l’Association de Parents d’Elèves.

Compte tenu de son expérience professionnelle, Sofia avait été élue trésorière de l’association. À ce titre, elle était chargée de collecter les cotisations et de veiller au bon usage des subventions. Le bureau se réunissait quatre fois l’an, au domicile personnel du président. Il s’appelait Alexandre Verdier. C’était un bel homme d’une cinquantaine d’années. Divorcé, il avait obtenu la garde exclusive de son fils unique âgé de 8 ans – il se disait que l’épouse infidèle était partie vivre sa vie à l’étranger. Malgré les boissons fraîches et les petits gâteaux, les réunions du bureau n’avaient rien de vraiment réjouissant : une dizaine de personnes sérieuses et compassées qui parlaient financement de voyages scolaires, allégement des  cartables, garderie du soir ou actions à entreprendre contre les menaces de fermeture de classes…

mere-modele1On était un mardi de février, dans l’après-midi. Sofia venait de présenter le bilan financier de l’année précédente : adopté à l’unanimité. Mais, vers 16 heures, au moment de se séparer, le président avait retenu Sofia par le bras.

- Excusez-moi, madame T*, pouvez-vous m’accorder quelques instants, juste le temps de régler un petit problème…

Dès que les autres membres du bureau eurent quitté l’appartement, il tira le verrou et rejoignit Sofia restée au salon.

- Voyez-vous, la semaine dernière, je suis passé à la banque et j’ai demandé à consulter le relevé des opérations bancaires de notre association, commença-t-il en sortant de sa poche une feuille qu’il déplia.

Sofia sentit ses jambes fléchir, son cœur s’arrêter, son sang refluer…

- Tout serait parfait si, à la mi-décembre, le compte n’avait été débité d’un montant de 262 €, puis recrédité de la même somme deux semaines plus tard…

- Une erreur de la banque, articula péniblement Sofia.

- Je ne crois pas. Il s’agissait d’un chèque libellé à l’ordre d’une boutique de lingerie haut de gamme, et signé de votre main. En voici une photocopie… Je me trompe ?

Sofia avait la bouche sèche. Maladroitement, elle tenta d’expliquer comment, dans la précipitation, au moment de payer, elle avait confondu son propre chéquier avec celui de l’association. À la réception du relevé de fin de mois, elle s’était rendu compte de son erreur qu’elle avait aussitôt réparée…

- Même si ce que vous dites est vrai, il ne faudrait pas que la chose s’ébruite. On pourrait vous soupçonner d’indélicatesse. Surtout si on apprend que c’était pour vous offrir des frivolités ! Cela pourrait vous nuire, à vous personnellement, mais aussi à votre entourage…

Après un long silence, Alexandre Verdier reprit, mais sur un autre ton.

- Vous en portez aujourd’hui ?

Sofia parut ne pas comprendre.

- Porter quoi ?

- De la lingerie fine.

Malgré elle, Sofia se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Elle baissa la tête.

- Oui, souffla-t-elle.

- Montrez-moi ça ! Vous m’avez entendu ? Déshabillez-vous, là, maintenant ! Je crois que vous n’avez guère le choix.

Il s’installa confortablement dans un fauteuil pour ne rien perdre du spectacle. Sofia se souvint d’une soirée en Sologne, une dizaine d’années auparavant, quand elle avait dû se mettre nue devant l’assemblée des chasseurs. Pour se dévêtir, elle retrouva les mêmes gestes de fausse pudeur. Quand elle fut en soutien-gorge et petite culotte, Alexandre Verdier l’arrêta d’un geste. mere-modele1-2

- Vous ne portez pas de bas ? Je suis un peu déçu. Je m’attendais à mieux de votre part… Car vous êtes un peu putain, n’est-ce pas ?

- Je ne sais pas, Monsieur Verdier.

- Appelez-moi Président. Approchez-vous que je voie de plus près cette lingerie. C’est la dentelle qui coûte si cher, ou alors ces transparences qui laissent voir votre chatte ? Ecartez les cuisses. Souhaitez-vous que je vous branle ?

- C’est comme vous voulez, Président.

Il écarta le tissu blanc et lui glissa ses doigts dans la fente, chercha le clitoris, le caressa de l’index en tournant doucement autour. Sofia se mit à mouiller. Il aventura son pouce dans le vagin, Sofia plia un peu les genoux pour se l’enfoncer plus profondément et soupira de plaisir.

Lorsqu’il sortit son engin, elle comprit, au premier coup d’œil, pourquoi son épouse avait pris le large : bien qu’en pleine érection, le Président avait une petite bite. Une bite courte, menue, qui paraissait vraiment ridicule entre ses doigts. Sofia réussit néanmoins à contenir son fou rire et à se laisser limer et branler par la main douce et chaude du Président. Sans doute n’avait-il pas approché de femme depuis longtemps car il ne fut pas long à jouir. Si la bite était plus que modeste, le sperme fut abondant : il en envoya sur son pantalon, sur les cuisses nues de Sofia, sur le tapis. Ça giclait par à-coups, comme un geyser islandais.

Quand tout fut terminé, le Président prit sans tarder la direction de la salle de bain. Sofia se rhabilla et quitta l’appartement. Il était 16h30, l’heure d’aller récupérer les enfants à la sortie de l’école.

à suivre...

 

© Michel Koppera, août 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 8 septembre 2010 3 08 /09 /Sep /2010 08:37

 

Chapitre 7 ( deuxième partie )

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Cela commença par des caresses, douze mains qui parcouraient son corps, de la tête aux pieds. Des mains chaudes, d’autres plus froides ; des mains calleuses et sèches, d’autres veloutées comme des mains d’enfant… Elle ferma les yeux pour savourer ces moments magiques. C’était comme si une monstrueuse pieuvre à douze tentacules palpait sa proie en quête des endroits les plus tendres, les plus sensibles donc les plus vulnérables. Ce massage extraordinaire dura de longues minutes puis, quand les mains et les doigts eurent achevé leur exploration ou qu’ils furent las de leurs errances, les bouches et les langues prirent le relais.

chantier7-10On lui lécha et suça les aisselles, les épaules, les genoux, le nombril où les langues se faisaient un nid, les tétons qu’on mordillait parfois, les cuisses de bas en haut, la vulve qu’ils noyaient de salive, le trou du cul où des langues plus habiles parvenaient à s’insinuer profondément. Sofia avait l’impression de n’être plus qu’un sucre d’orge vivant ou un esquimau brûlant de fièvre. Elle ouvrit les yeux : elle vit le plafond aux poutres apparentes et le visage du jeune ouvrier penché au-dessus d’elle. Il la tenait par la nuque qu’il lui massait délicieusement.

- Embrasse-moi, lui dit-elle tout bas, comme si elle ne voulait pas que les autres l’entendent.

Il approcha sa bouche et lui donna un baiser maladroit mais plein d’amour. Ses lèvres avaient le goût de chewing-gum à la chlorophylle, la saveur de l’adolescence, des premiers émois. Ce souvenir lui procura presque instantanément une érection du clitoris et une abondante mouillure du vagin qui n’échappa pas au lécheur du moment.

Ce fut comme le signal qu’ils attendaient tous pour baiser. Elle était prête.

Sofia ne chercha pas à savoir qui la pénétra en premier. Il lui suffit de se réjouir de la présence de cette queue dans son con lubrifié à point, de la sentir s’y enfoncer puis aller et venir avec la constance d’une mécanique bien huilée. Une autre bite se posa sur ses lèvres : elle tourna la tête sur le côté et l’engloutit sans tarder. Elle crut y reconnaître un arrière-goût de white-spirit, étrange mais pas déplaisant… Dès que la première queue eut lâché sa bordée de sperme, une autre lui succéda… Ils entraient, ils baisaient, ils jouissaient, c’était aussi simple que ça. Un seul lui mit la bite dans le cul ; elle se dit que ce devait être l’électricien, quoique…chantier7-9

Elle fut cependant surprise de ne pas jouir, enfin pas comme d’habitude. Certes elle éprouvait du plaisir, mais pas au point de toucher au ciel. C’était plutôt une sorte d’orgasme en continu, pareil à un bruit de fond qui aurait pris possession de son corps. Aussi, quand ils s’écartèrent et la laissèrent seule eu centre du salon, écartelée dans l’échafaudage, le ventre débordant de sperme, elle ressentit une immense frustration qui la fit sangloter :

- Ne me laissez pas comme ça, supplia-t-elle en les regardant les yeux embrumés de larmes. Faites-moi jouir !

Mais ils avaient tous débandé, tous sauf le jeune ouvrier dont la queue se dressait de nouveau, pleine d’arrogance et de vie. Il se dévoua.

Sofia était tellement trempée que c’est à peine si elle le sentit entrer dans son vagin. Sa bite barattait le sperme communautaire comme pour en faire du beurre.

- S’il te plaît, encule-moi.

Elle croisa son regard et y lut du désarroi. De toute évidence, il n’avait jamais fait ça. Néanmoins il retira sa bite enduite de sperme et la présenta devant l’anus. Sofia fit un effort pour se dilater au maximum le trou du cul. D’une vigoureuse poussée, il la pénétra. Elle en cria de joie.

- Vas-y, baise-le. Ne pense pas que tu m’encules, juste que tu es dans mon ventre. Branle-moi le clitoris en même temps… Plus fort, n’aie pas peur de frotter… Comme ça, c’est bien !

chantier7-6Le spectacle avait ranimé quelques ardeurs. Sofia ferma de nouveau les yeux pendant qu’elle sentait les odeurs toutes proches des mâles, qu’elle entendait leurs souffles courts pendant qu’ils s’astiquaient la bite. Des giclées de sperme chaud lui éclaboussèrent le visage, les seins, le nombril… Et le jeune ouvrier l’enculait toujours plus profond tout en lui branlant énergiquement le clito du gras du pouce.

L’orgasme explosa dans le corps de Sofia, il lui sema des fourmillements à la racine des cheveux et se répandit jusque dans ses orteils où il mourut en gerbes d’étincelles voluptueuses. Son enculeur fut lui aussi emporté par le plaisir et lui éjacula dans le rectum en gémissant.

L’électricien défit les nœuds du câble et libéra Sofia.

- Madame, je crois que c’est le moment idéal pour inaugurer votre salle de bain. Il y a de l’eau chaude à volonté !

Une heure plus tard, lorsque Sofia ressortit de la salle de bain, elle fut étonnée de ne plus entendre le tintamarre des postes de radio. Silence dans la maison : plus personne au travail, plus de fourgons dans la cour. Il ne restait que l’échafaudage de tubes métalliques dressé au centre du salon à la manière d’un autel païen, et des traces de sperme refroidi sur le carrelage tout neuf…

Sofia prit son portable et rappela le taxi. 

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Novembre : épilogue

Pour fêter la fin des travaux et la pendaison de la crémaillère, Sébastien avait tenu à marquer l’événement en invitant tous les artisans qui avaient contribué à la rénovation. Ils avaient tous répondu à l’invitation, même M. Burgaud, l’architecte, avait fait le déplacement. Le carreleur aussi était venu, mais sans sa sculpturale épouse. Tout le monde était rassemblé dans le séjour, à l’endroit même où Sofia s’était livrée à ses ultimes débauches, mais le temps en avait effacé les moindres traces.

Avant de faire sauter les bouchons de champagne, Sébastien avait tenu à prononcer un petit discours où il les remercia l’un après l’autre pour la qualité de leurs travaux et la modestie de leurs factures. Il termina par Sofia à qui il rendit hommage pour la maestria avec laquelle elle avait coordonné l’ensemble et mené ce chantier à son terme…

Tous applaudirent.

Le soir, quand ils furent couchés, Sébastien dit à son épouse :

- Tu sais, si un jour on fait construire une maison neuve, je te nommerai d’office maître d’œuvre du projet…

FIN

© Michel Koppera, septembre2010

 

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  Ne ratez pas en octobre " Une mère modèle", le récit de nouvelles aventures de Sofia !

 

 

Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 7 septembre 2010 2 07 /09 /Sep /2010 09:37

 

Chapitre 7 ( première partie )

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Octobre : peintures et finitions

Lorsque le taxi déposa Sofia devant la maison, elle s’étonna des quatre véhicules stationnés dans la cour. Elle reconnut la camionnette de l’entreprise Westelec et le fourgon du plombier. Les deux autres, elle les voyait pour la première fois : Brita Peintures, intérieur et extérieur et Armorique Décors, murs et sols.

chantier7-3À l’intérieur de la maison maintenant éclairée et chauffée, on s’activait comme dans une ruche. M. Solari et ses deux ouvriers peignaient les plafonds et les portes ; M. Lebihan tapissait une chambre du premier étage ; l’électricien et M. Mével faisaient équipe pour effectuer les ultimes réglages du chauffage et vérifier la conformité de toutes leurs installations. Chacun travaillait avec sa musique qu’il mettait à tue-tête ce qui transformait la maison en capharnaüm sonore.

Seule au milieu des six hommes, Sofia se fit discrète. Pour éviter de les déranger dans leur travail et fuir la cacophonie ambiante, elle trouva refuge dans la salle de bain, seule pièce entièrement achevée de la maison. Assise au pied de la baignoire, elle se mit en devoir d’éplucher les factures qu’on venait de lui remettre et d’examiner les différents projets d’aménagement de la cuisine et du jardin.

Cela faisait plus d’une heure qu’elle était là quand on frappa deux coups brefs à la porte. C’était l’électricien. Il ne se donna même pas la peine de chercher un prétexte à son irruption. À peine la porte refermée derrière lui, il baissa son pantalon et exhiba sa queue en érection :

- On dirait que t’as la mémoire courte ! Je t’avais pourtant avertie que je ne voulais plus jamais te croiser sur le chantier… À moins que tu y aies pris goût… C’est ça ? Allez, viens me sucer !chantier7-2

Le souvenir douloureux de sa première rencontre avec l’électricien lui ôta toute velléité de résistance. Sofia s’agenouilla, le visage à hauteur de la bite tendue de l’électricien, cette bite qu’elle avait sentie dans son cul mais n’avait jamais ni vue, ni tenue. C’était une belle queue, bien droite, avec un gland d’un joli rose fendu d’une petite bouche humide, presque souriante. L’électricien lui posa la main sur la nuque et l’attira vers son bas-ventre. Avant de lui gober le gland, Sofia s’empara à pleine main de la paire de couilles qui pendouillait entre ses cuisses légèrement écartées.

Elle s’activait bravement sur la queue de l’artisan lorsqu’elle entendit s’ouvrir la porte de la salle de bain. Elle reconnut la voix de M. Mével, le plombier chauffagiste.

- Ah, t’es là ! Justement, je te cherchais…

Il vint se planter à côté de son collègue et découvrit Sofia à l’ouvrage.

- Va dans mon camion et ramène nous une grosse bobine de câble électrique et une paire de pinces coupantes, lui dit calmement l’électricien sans lâcher Sofia. En passant, tu diras aussi aux autres de rappliquer… La salope en veut pour son argent !

Etrangement, la perspective d’un gang-bang, loin d’inquiéter Sofia, la rassura. En effet, ce qu’elle craignait le plus, c’était de se retrouver seule avec l’électricien. En groupe, elle se sentirait presque en sécurité. En attendant le retour du plombier, elle poursuivit tranquillement sa pipe.

chantier7-1Elle n’eut pas à attendre longtemps. Bientôt, six regards se posaient sur elle, certains curieux, d’autres incrédules. Mais la salle de bains se révéla vite trop exiguë.

- On n’a qu’à l’amener dans le séjour, suggéra M. Solari, le peintre. On pourra l’attacher sur mon échafaudage, ce sera plus pratique.

Sur le champ, Sofia fut entièrement déshabillée. À l’aide d’un câble souple, l’électricien lui lia solidement poignets et chevilles. Les deux ouvriers du peintre la saisirent, le plus costaud par les épaules, l’autre par les pieds, et ils l’emportèrent au rez-de-chaussée.

La mise en place de Sofia sur l’échafaudage prit un certain temps. Elle fut d’abord déposée à bonne hauteur de bite sur deux planches étroites recouvertes d’une couverture molletonnée pour le confort de ses fesses. On lui glissa un coussin sous la nuque. Les bras en croix, ses poignets furent attachés aux tubes métalliques de la structure, de même que ses chevilles, de façon à ce qu’elle se trouve quasiment écartelée, les cuisses un peu relevées. Ainsi entravée, elle était comme suspendue dans sa cage de métal, le cul et le con ouverts, exposés à la vue de tous et accessibles de partout.  Elle allait se faire baiser en trois dimensions…

Peut-être lui-même un peu embarrassé par la tournure des événements à venir, l’électricien proposa de bander les yeux de Sofia.

- Je vous remercie, mais non, pas question ! Je veux tout voir, dit-elle avec une surprenante sérénité.

Elle les regarda donc fermer portes et volets, se mettre nus tous les six. Ils eurent l’élégance d’ôter jusqu’à leurs chaussettes et leurs montres. C’était la première fois qu’elle avait une demi-douzaine de mâles à poil sous les yeux. M. Solari était le plus petit et sans doute le plus âgé, mais malgré sa petite bedaine, il avait encore belle allure, et surtout une grosse queue avec une paire de couilles assorties. Le plus grand et le plus baraqué était un de ses ouvriers ; il avait aussi des fesses musclées et un torse très velu où Sofia rêvait déjà de frotter son visage comme contre le pelage du nounours de son enfance. M. Lebihan, le spécialiste des revêtements de sols, devait avoir une quarantaine d’années ; de toute évidence c’était un sportif : pas une once de graisse, rien que du muscle… Du muscle partout, tendu, nerveux, solide à l’image de sa bite qu’il tenait fébrilement dans sa main droite, prête à l’emploi. À poil, l’électricien était le plus mal foutu ; avec sa peau pâle, ses épaules basses, ses cuisses maigres, il aurait presque fait pitié. Sofia pensa que c’était sans doute ce qui expliquait sa cruauté. Mais elle ne lui en voulait pas et s’attachait à ne voir de lui que sa bite charmante. Le second ouvrier de M. Solari était le plus jeune du groupe, à peine vingt ans. Il était tellement intimidé par la situation qu’il se tenait un peu à l’écart, la main posée sur son ventre comme pour masquer sa gêne. Pourtant, c’était de loin de plus élégant des six, le plus émouvant aussi, avec sa barbe naissante et son regard farouche aux sourcils sombres. Quant à M. Mével, le plombier chauffagiste, la trentaine bien tassée, il paraissait au contraire très à l’aise, comme s’il avait partouzé toute sa vie. En organisateur efficace, il distribuait les rôles, agençait les figures, tout en se réservant mine de rien les morceaux de choix. Des six, il était le seul circoncis, le gland à l’air en toutes circonstances au bout de sa queue à l’équerre. C’était le Monsieur Loyal du grand numéro de cirque du cul ! chantier7-4

Quand ils s’approchèrent jusqu’à l’entourer de tous côtés, Sofia eut une dernière fois la tentation de hurler, de crier non, mais cela ne dura qu’un instant. Ils posèrent leurs mains sur sa peau, alors elle oublia tout le reste.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

 

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 5 septembre 2010 7 05 /09 /Sep /2010 16:30

 

Chapitre 6

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Septembre : plomberie, sanitaires, chauffage.

Après la pause estivale, les travaux avaient repris début septembre. L’entreprise de plomberie portait le nom de son patron : Mevel S.A. Le chantier consistait en l’aménagement d’une salle de bains avec WC au premier étage, de toilettes au rez-de-chaussée, de la pose d’un évier à double bac dans l’arrière-cuisine. Il fallait aussi installer une chaudière à gaz dans le garage pour le chauffage central et l’alimentation en eau chaude. M. Mevel travaillait en équipe avec un certain Bernard, un ouvrier taillé dans le granit et capable de porter à bout de bras un radiateur en fonte ou une cuvette W.C.

chantier6-3-copie-1Quand Sofia vint se rendre compte de l’avancement du chantier, le travail touchait à sa fin : il ne restait plus qu’à poser les radiateurs su premier étage. On était fin septembre et les vents avaient brutalement viré au nord-ouest, apportant pluies et froidure. Sofia qui était arrivée en tenue d’été ne tarda pas à ressentir les signes avant-coureurs d’un coup de froid.

- Je suis désolé, lui dit le patron, mais le chauffage ce ne sera pas pour aujourd’hui. Si vous avez froid, allez vous installer dans le fourgon. Vous n’aurez qu’à mettre le chauffage et même de la musique si le cœur vous en dit. On n’en a plus que pour une heure ou deux…

Le fourgon était étonnamment confortable. Certes l’arrière était rempli d’outils et de matériel de chantier, mais tout y était méticuleusement rangé, avec méthode. Quant à la cabine, la traditionnelle banquette à trois places était recouverte d’une housse moelleuse et très propre. Pas de papiers à traîner dans les vide-poches, pas d’odeur de tabac froid, ni de bière ou de sandwich rassis. Sofia s’installa, mit le chauffage et se laissa aller à la rêverie : les chansons de l’autoradio, le bruit monotone de la pluie tombant sur la tôle du fourgon et la douce chaleur de la cabine finirent par l’emporter. Elle s’allongea sur la banquette et s’endormit.

Dans son sommeil, elle entendit des bruits de porte et des chuchotements, elle sentit un courant d’air frais courir sur ses jambes, mais cela ressemblait tellement à un songe qu’elle renonça à se réveiller.chantier6-2

Elle rêva donc qu’elle se trouvait au pied d’une cascade, dans un paysage tropical. Tout près, des musiciens jouaient du zouk-love. Elle était donc au pied de la cascade, juste vêtue d’un paréo noué à la taille, allongée entre deux superbes métis à la peau couleur pain brûlé. Celui de gauche, le plus petit, portait un bermuda à fleurs que déformait son érection ; celui de gauche, une montagne de muscles cuivrés, était carrément nu et son énorme sexe noir dressait sa tête pourpre devant les yeux grand ouverts de Sofia. Les deux hommes n’avaient pas de visage, mais prononçaient de temps en temps des mots à voix basse, si basse que ces mots n’avaient aucun sens.

Telle une brise tiède, leurs mains couraient sur sa peau, frôlaient ses seins, ses épaules, ses cuisses, son ventre… Surtout son ventre qui s’ouvrait comme par enchantement. Les musiciens tout proches enchaînaient les morceaux, de plus en plus  langoureux, de plus en plus sensuels. Puis, soudain, Sofia se sentit soulevée, emportée comme par une gigantesque vague qui la déposa en douceur, intégralement nue sur une plage de sable fin.

Sans qu’elle eût le temps de regarder autour d’elle, un animal fabuleux, chaud et inflexible, pénétrait son sexe, labourait son ventre comme pour y chercher sa subsistance, fouaillait au plus profond, y enfonçait en grognant son groin humide. Mais Sofia n’avait pas peur de la force herculéenne de la bête au souffle rauque. C’était comme un animal domestique et obéissant.

Entre ses lèvres était venue se glisser une autre bête, plus petite, plus souple, semblable à un tentacule de pieuvre géante. La bête frémissante s’agitait et vibrait quand la langue de Sofia s’enroulait autour et l’aspirait dans sa gorge ténébreuse.

chantier6-1Le rêve semblait ne pas vouloir prendre fin. Lorsqu’elle cherchait à voir le corps des deux  bêtes qui avaient pris possession de son corps, elle ne percevait que des masses noires et indistinctes. La bête au tentacule se retira la première, comme elle était venue, sans bruit, furtivement. L’autre, la monstrueuse, celle qui lui meurtrissait les entrailles, resta plus longtemps mais finit aussi par s’en aller, non sans lui avoir rempli le ventre d’écume baveuse et d’embruns poisseux.

Quand Sofia se réveilla, le crépuscule s’annonçait. Dans la chaleur moite de la cabine, l’autoradio continuait à débiter ses rengaines. Les deux plombiers ne tardèrent pas à arriver.

- C’est terminé. Demain, on fera les essais, annonça fièrement la patron en s’installant au volant. Alors, vous n’avez pas trouvé le temps trop long, toute seule ?

- Non, pas du tout. Je crois même que j’ai dormi un peu, répondit Sofia qui sentait le sperme du monstre qui coulait de son ventre apaisé.

- On vous a posé un thermostat dans le séjour, ajouta le patron en démarrant. Je l’avais oublié sur le devis, alors je ne vais pas vous le facturer…

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 5 septembre 2010 7 05 /09 /Sep /2010 09:35

 

Chapitre 5

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Juillet : carrelage

Le patron carreleur était un petit homme maigrichon qui paraissait déjà vieux malgré ses 32 ans. Ses deux ouvriers étaient nettement plus âgés et sans doute plus expérimentés. Aussi, le patron les laissait maîtres du chantier se contentant de faire semblant d’être le chef, donnant les consignes à l’embauche et le signal de la pause déjeuner à midi. Lorsque Sofia vint sur le chantier à la mi-juillet, on lui apprit que le modèle de tomettes qu’ils avaient prévu pour la cuisine était en rupture de stock et qu’il lui fallait dans l’urgence effectuer un nouveau choix.

chantier5-2- Le plus simple, ce serait que vous voyiez ça avec ma femme, c’est elle qui s’occupe des commandes, déclara le patron. Je peux vous y accompagner, si vous voulez…

Située aux abords d’un village voisin, la propriété du carreleur était gardée par deux molosses dont les aboiements donnèrent la chair de poule à Sofia. L’intérieur de la vaste demeure ne manquait pas d’inquiéter : malgré le soleil, les pièces restaient sombres, presque froides. Le mobilier était spartiate, les murs quasiment nus. L’épouse du carreleur ne ressemblait pas à son mari : grande, musculeuse, énergique, elle dégageait une impression d’autorité naturelle. Elle avait l’air plus âgée que lui, d’une bonne dizaine d’années sans doute.

Pendant que Sofia feuilletait des catalogues aux photos plus séduisantes les unes que les autres, le couple s’entretint à voix basse près d’une fenêtre. Aux regards en coin qu’elle surprit, Sofia devina qu’ils parlaient d’elle. Elle frissonna autant de froid que d’appréhension.

Comme on était en fin d’après-midi, ils n’eurent aucun mal à la retenir à prendre d’abord l’apéritif, puis à dîner. D’ailleurs Sofia pressentit qu’elle n’avait pas le choix et rien que la présence des deux chiens dans le parc lui ôta toute volonté de prendre congé.

Le porto était si doux qu’elle en abusa et se laissa griser, de même qu’elle n’opposa aucune résistance lorsque, après dîner, ils l’entraînèrent dans leur chambre à coucher. À peine entrés, la patronne posa à la cheville droite de son mari une sorte de bracelet en métal et l’enchaîna au pied du lit comme un chien. Pendant ce temps, Sofia eut tout le temps de contempler le décor de la chambre : les murs de chaque côté du lit ainsi que le plafond étaient entièrement recouverts de grands miroirs ; sur le couvre-lit de velours noir elle aperçut des chaînes chromées, une cravache de cavalière et une sorte de muselière de cuir. Elle les regarda se déshabiller. La maîtresse de maison lui apparut dans toute sa splendeur : gros seins fermes à peine tombants, fessier tendu, tatouage macabre sur l’épaule, peau très blanche, pubis glabre, sillon vulvaire large d’où émergeait un surprenant clitoris aussi charnu qu’un pénis de petit garçon. Nu, son mari paraissait encore plus fragile et malingre qu’habillé. Ses cuisses et ses reins portaient les marques de récents coups de cravache. Son sexe rabougri s’effaçait presque dans ses poils pubiens mais deux claques bien senties sur les fesses suffirent à lui redonner volume et vigueur.chantier5-4

À ce spectacle, Sofia sentit un liquide chaud couler entre ses cuisses. Elle se souvint alors, dans les vapeurs de l’ivresse, que ses règles devaient arriver le lendemain et qu’elle avait laissé sa boîte de tampons périodiques à l’hôtel. Sans doute la peur panique des chiens et l’étrangeté de cette soirée avaient-elles précipité la fin du cycle. Lorsque la maîtresse des lieux découvrit sa petite culotte tachée de sang, elle eut un rire mauvais : 

- Regardez-moi cette truie qui vient salir mon carrelage. Et toi qui n’es qu’un porc, tu vas la lécher !

Ce disant, elle cingla le postérieur de son mari. Complètement soûle, Sofia ôta sa culotte souillée et se mit volontiers à quatre pattes afin de présenter sa croupe au carreleur. À la manière d’un chien s’approchant d’une femelle en chaleur, il vint lui renifler longuement l’entrejambes, parut hésiter, donna un premier coup de langue timide puis, après un nouveau claquement de cravache sur l’arrière-train, se mit à lui laper le con ensanglanté à grandes lampées sonores. La langue souple et chaude du carreleur lui nettoyait le vagin, les lèvres, le périnée, rien ne pouvait plus échapper. Bientôt, devinant qu’au sang de ses règles se mêlait la mouillure du désir, Sofia se cambra pour s’offrir davantage à son lécheur et se dit que c’était mille fois plus agréable qu’un Tampax.

Assise au bord du lit, la patronne les regardait. La cravache dans une main, elle se branlait de l’autre. Elle se tenait le clitoris entre le pouce et l’index, se l’astiquait comme une petite bite. Quand il fut bien raide, elle attira le visage de Sofia entre ses cuisses ouvertes.

chantier5-6- Suce-moi !

Elle sentait fort, mais loin de la rebuter, cette odeur puissante excita Sofia. Elle entreprit de lui tailler une pipe. La patronne bandait et Sofia n’aurait pas été plus étonnée que ça si elle lui avait éjaculé dans la bouche. La patronne beuglait son plaisir en se triturant les nichons et en fouettant de plus belle le cul de son mari.

- Monte-la, couvre ta grosse truie ! Tu ne vois pas qu’elle est en rut ?

Le carreleur prit Sofia en levrette et, malgré sa modeste queue parvint sans peine à la faire jouir. Quelques instants plus tard, pendant que le carreleur léchait le cocktail de sang, de mouillure et de sperme qui suintait du con de Sofia, la patronne eut un bruyant orgasme et en pissa de bonheur sur le visage de sa suceuse.

Lorsque tout fut nettoyé, chacun lavé et rhabillé, le couple raccompagna très civilement Sofia à son hôtel.

Une semaine plus tard, elle reçut par courrier le détail d’une facture de tomettes d’un très beau rouge sang séché à des tarifs défiant toute concurrence.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Samedi 4 septembre 2010 6 04 /09 /Sep /2010 09:13

 

Chapitre 4

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Juin : installations électriques.

Avec sa toiture entièrement remaniée, la maison commençait à avoir de l’allure. Il fallait aussi remettre toute l’installation électrique aux normes. Le chantier avait été confié à une entreprise locale appelée Westelec. Lorsque Sofia se rendit sur place en plein mois de juin, les travaux n’avaient guère avancé : les ouvriers en étaient encore à creuser des saignées dans les murs afin de passer les gaines. En inspectant la future cuisine, Sofia remarqua que les emplacements et le nombre des prises ne correspondaient pas exactement à ce qui avait été prévu. L’entretien avec le chef d’équipe tourna vite à l’aigre. D’emblée la rencontre s’annonça difficile. L’homme dont Sofia ne sut jamais le nom n’était ni causant, ni aimable. Des cheveux et le regard sombres, des lèvres fines et serrées, un profil taillé à la serpe, une barbe de quelques jours, des mains souples aux ongles impeccables, le chef d’équipe avait quelque chose d’inquiétant. Il écouta patiemment les doléances de Sofia, sans manifester la moindre émotion et, quand elle eut terminé, il laissa passer quelques instants de silence et dit :

chantier4-1- Si vous tenez vraiment aux modifications, on va vous préparer un devis.

Sofia en fut interloquée. Ils se trouvaient à l’étage, sous les combles où montait la chaleur de l’été naissant. Sofia était venue en robe de cotonnade vichy rose qui mettait en valeur ses bras et ses jambes déjà bien bronzés. Sûre de ses charmes, elle changea de méthode et s’approcha du carré de ciel bleu que découpait la fenêtre ouverte. En contrejour, la lumière transperçait ainsi le tissu léger de sa robe et ne cachait plus rien des formes lascives de sa silhouette. Elle posa les mains sur l’appui de la fenêtre comme pour contempler le paysage, écarta généreusement les jambes tout en creusant les reins.

- D’ici, on a une vue superbe, vous ne trouvez pas ?

- C’est possible.

Elle l’entendit s’approcher à pas lents mais déterminés. Il s’arrêta juste derrière Sofia : elle le sentit qui relevait sa robe et, brusquement, il tira sur le cordon de son string si bien que le tissu s’incrusta dans le sillon de sa vulve et lui comprima douloureusement le clitoris. Sans relâcher prise, il se pencha en avant et lui murmura à l’oreille :

- Les putains dans ton genre, il faut les mater. Si jamais je t’entends pleurnicher ou même gémir, tu le regretteras. Ecarte les cuisses et ouvre bien ton cul de salope !chantier4-2

Elle obéit. Devant elle, il y avait la campagne ensoleillée, le ciel bleu semé de petits nuages blancs, les toits du village avec, au centre, le fin clocher de l’église surmonté d’une croix. Par derrière, l’homme avait écarté le cordon du string pour s’ouvrir la voie royale de ses fesses. Elle entendit le zip bref d’une fermeture Eclair et, l’instant d’après, il l’enculait à sec. Sofia serra les dents pour ne pas crier. Le regard posé sur l’horizon, elle tenta désespérément d’oublier la douleur de la queue qui lui défonçait l’anus. Elle ne l’aurait jamais imaginée aussi grosse, aussi dure ! Pour apaiser sa souffrance, elle s’efforça de se détendre. L’homme était maintenant entré entièrement, ses couilles poilues battaient contre son vagin hermétiquement clos. Il se mit à aller et venir en elle, et plus il la pistonnait, plus les muscles de Sofia cédaient à l’intrus. Bientôt, elle eut de nouveau envie de crier, mais pas de douleur. Un grognement de plaisir lui échappa. Il n’en fallut pas plus pour attiser la colère du chef d’équipe. Glissant ses mains aux ongles manucurés sous les bras écartés de Sofia, il s’empara de ses mamelons et les tordit méchamment entre le pouce et l’index.

- T’as oublié ce que je t’ai dit, putain ? Je ne veux plus t’entendre, compris ?

Sofia secoua la tête en signe de soumission. Plus que jamais, elle regardait l’horizon comme si elle pouvait y trouver un quelconque réconfort.  Les mains de l’homme lâchèrent ses seins et presque aussitôt, le plaisir revint, plus fort, plus incontrôlable qu’avant. Maintenant, elle devinait son cul assoupli, bien lubrifié. Chaque coup de bite soulevait un petit clapotis huileux entre ses fesses. Elle soupira sans retenue. Alors, la main droite de l’homme rampa sur son ventre, chercha son clitoris dans les replis de sa vulve humide, l’extirpa de sa gangue de chairs et le pinça entre ses ongles acérés. Jamais encore on ne lui avait fait ça ! Comment fit-elle pour ne pas hurler ? Et plus il l’enculait, plus il lui serrait le clito dans la tenaille de ses doigts… Heureusement, dans un silence de mort, il lui lâcha ses bordées du foutre au fond du rectum et se retira sans tarder.

chantier4-3- Ne te retourne pas, traînée ! Va-t-en et que je ne te revoie plus jamais sur mon chantier ! Tu les auras tes prises de courant, si c’est ça qui t’inquiète. Je t’en poserai même une de plus dans l’arrière-cuisine, pour que tu puisses y brancher un radiateur qui réchauffera ton cul de salope bourgeoise.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

 

 

 

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 2 septembre 2010 4 02 /09 /Sep /2010 11:32

 

Chapitre 3

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Mai : charpente-toiture.

Le printemps était là et les couvreurs avaient mis à profit les premiers beaux jours pour remanier la toiture. Sofia était venue en taxi dans l’espoir de rencontrer le patron et de discuter de la pose éventuelle de gouttières. Mais, en ce jeudi après-midi ensoleillé de mai, le patron n’était pas au rendez-vous, parti régler un problème urgent sur un autre chantier à plus de 40 kilomètres de là. Il avait laissé sur place un ouvrier et un apprenti qui travaillaient sur la charpente à remplacer les ardoises endommagées et à changer tous les crochets. D’après eux, le patron avait promis de repasser en fin d’après-midi.

chantier3-4Alors Sofia patienta. Elle s’assit sur le muret de granit qui séparait le parc de la route et observa l’ouvrage des deux couvreurs. L’ouvrier pouvait avoir une cinquantaine d’années, mais il était encore alerte : il allait et venait sur le toit avec l’aisance et la souplesse d’un chat. Sous le ciel bleu où il travaillait en jean et marcel, ses épaules hâlées et musculeuses luisaient au soleil. L’apprenti était beaucoup moins rassuré que son aîné et ne se déplaçait qu’avec un luxe de précautions. C’était lui qui donnait les ardoises neuves et les crochets inox à l’autre. Il avait l’air jeune, pas plus de 17 ans. Sa longue chevelure blonde, son corps fragile, ses gestes maladroits, tout cela était très émouvant. Ils travaillaient en silence, sans mots ni déplacements inutiles. Ainsi passèrent les heures et quand vint le moment de la débauche, le patron n’était toujours pas là.

Une fois descendus de leur perchoir, les deux ouvriers s’approchèrent de Sofia.

- On est désolés, madame. On ne sait pas quoi vous dire. Tout ce qu’on peut faire, si ça peut vous rendre service, c’est vous déposer quelque part avec le camion. Vous êtes logée où ?

- À l’hôtel Campanile de P*, c’est sur votre route ?

- Juste un tout petit détour.chantier3-2

Ce fut ainsi que Sofia se retrouva dans la cabine du camion de chantier. Il n’y avait qu’une banquette à trois places. Sofia s’assit entre l’ouvrier qui conduisait et l’apprenti. L’hôtel était à une quinzaine de kilomètres, en bordure de voie express.

- Alors comme ça, vous êtes venue de Paris rien que pour nous voir ? C’est gentil à vous ! Moi, je m’appelle Stéphane et, à votre droite, c’est Kévin. C’est mon neveu, le fils de ma sœur cadette. Et vous ?

- Je m’appelle Sofia, comme la capitale.

À chaque fois que Stéphane changeait de vitesse, sa main droite qui tenait le levier frôlait le genou de Sofia qui ne portait ce jour-là qu’une robe légère à fleurs violettes, une paire de sandales et pas grand-chose dessous. Coincée entre les deux hommes dont elle touchait presque les corps, dont elle respirait le parfum ensoleillé de leur peau cuivrée, Sofia sentit ses seins se durcir, quelque chose se nouer dans son ventre où elle reconnut le chant du désir d’être prise.

Arrivée à l’hôtel, elle n’eut qu’à prétexter un document à transmettre au patron pour les attirer dans sa chambre. Jusqu’au dernier moment, Stéphane chercha à la jouer en solo, mais Sofia n’avait plus qu’une idée en tête : se faire baiser par l’oncle et son neveu en même temps, comme autrefois le père qui emmenait son fils au bordel pour le déniaiser. La situation l’excitait au plus haut point, plus que jamais elle se sentait putain.

Les hôtels Campanile qui poussent à la périphérie des villes de province offrent, pour les couples  adultères ou échangistes, l’avantage de pouvoir accéder aux chambres sans passer par le hall de réception. Sofia précéda les deux hommes dans la sorte de coursive du premier étage, celle qui donnait sur la rocade où passaient inlassablement des semi-remorques internationaux. Chambre 117 : douze mètres carrés, une salle de bain, une télé, un lit de 140, un minuscule coin salon…

chantier3-3Sofia fit à peine semblant de chercher dans ses bagages un document qu’elle savait inexistant. L’occasion de se pencher devant Stéphane et Kévin assis an bord du lit, de leur montrer ses cuisses, de leur offrir une vue imprenable sur ses seins libres dans son décolleté largement ouvert. Stéphane fut le premier à y oser la main, Kévin le premier à bander et à se défaire de son pantalon. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir ; à peine Sofia avait-elle posé ses doigts sur sa bite juvénile qu’il éjaculait. Et pas qu’un peu ! Un vrai feu d’artifice de foutre dont les étincelles éclaboussèrent les épaules et les cheveux de Sofia. Ce qui est intéressant avec un jeune gars de 17 ans, c’est que même après avoir joui, il ne débande pas. Donc, la bite de Kévin resta aussi raide qu’un bâton de maréchal. Stéphane qui avait l’expérience de son âge prit tout son temps. Il savait qu’il ne faut pas gaspiller précocement ses munitions. Sofia contempla le corps nu de ses deux amants de passage et fut attendrie par leurs fesses pâles sous leurs dos bronzés, leurs queues à bout rose tendues vers le plafond… À tour de rôle, elle les prit en main, en bouche, en con, en cul. Puis, bientôt, les deux en même temps. Une seconde fois, le neveu lui lâcha tout sur les seins ; quant à Stéphane, après avoir honoré tous ses trous, il finit par lui jouir sur la chatte en visant le clitoris où son sperme épais s’écrasa en silence.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 2 septembre 2010 4 02 /09 /Sep /2010 09:07

 

Chapitre 2.

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Mars : gros-œuvre et maçonnerie.

Le temps était exécrable : pluie fine et froide, vent mauvais, ciel uniformément gris. L’humeur du maçon était à l’image de la météo : détestable.

chantier2-1La visite du chantier avait été vite expédiée ; visiblement, M. Kervalec n’aimait pas beaucoup qu’on vienne l’embêter au boulot. Surtout si c’était une femme et pour faire des remarques plus ou moins déplaisantes sur l’avancement des travaux. Il faut dire qu’à ce stade de la rénovation, l’ensemble faisait pitié : cloisons éventrées, murs de parpaings nus d’une tristesse absolue, sol couvert de sable et de poussière de ciment, fenêtres et portes abandonnées aux courants d’air… Le patron invita néanmoins Sofia à prendre un café dans la petite caravane qu’il avait amenée dans le jardin : c’était là qu’il déjeunait chaque jour avec ses deux ouvriers et où, de temps en temps, ils s’accordaient une pause. L’habitacle exigu était tellement surchauffé qu’à peine à l’intérieur, Sofia ôta son manteau et son écharpe. Pendant qu’il faisait chauffer l’eau pour le café, M. Kervalec lui présenta quelques factures intermédiaires : fournitures de sable, de ciment… Sofia l’observait du coin de l’œil : un grand costaud avec d’énormes mains calleuses aux ongles rongés par la chaux, mal rasé, mais un beau regard bleu… « Quarante, quarante-cinq ans », pensa-t-elle.

Le café n’était pas terrible. M. Kervalec ouvrit une cannette de bière.

- Excusez-moi un instant, je reviens !

Il sortit. Sofia pensa qu’il était allé surveiller le travail de ses ouvriers, mais quand elle jeta un œil par la fenêtre embuée, elle le vit, à quelques mètres, debout sous la pluie, en train de pisser au pied du pignon de la maison. Comme il se tenait de profil, elle ne pouvait pas ne pas voir la queue sortie de la braguette : un beau morceau de chair, en harmonie avec la taille du maçon : grande et massive.chantier2-2-1

À son retour, Sofia se sentait tout moite et déjà putain. Ils se faisaient face de chaque côté de la tablette amovible qui faisait office de « table de living ». Elle croisa les jambes bien haut, de façon à ce qu’il entrevoie un peu de chair nue au-delà des bas, elle soupira, chipota sur le prix du mètre cube de gravier, demanda s’il ne serait pas possible de trouver un arrangement à l’amiable sur la T.V.A… M. Kervalec ne mit pas longtemps à comprendre de quoi il retournait. Avec une redoutable efficacité dans les gestes, il releva la « table » et la robe de Sofia, baissa sa petite culotte mauve aux chevilles, lui écarta les cuisses, ouvrit son pantalon de coutil bleu, sortit sa queue déjà raide, se mit à genoux,  glissa ses mains calleuses sous les fesses de Sofia, lui souleva le bassin en l’attirant à lui, pointa la grosse tête de son gland décalotté à l’entrée du vagin et s’y enfonça puissamment. Une fois au fond, il lui déboutonna sa robe, dégrafa tant bien que mal le soutien-gorge et, de ses mains rugueuses de colosse, il entreprit de lui caresser les seins. Avec maladresse, il lui triturait les mamelons, les écrasait de ses doigts gourds. Sofia mouillait, son con semblait fait pour la grosse bite de M. Kervalec. Sans cesser de lui pétrir les seins, il la pistonna pendant de longues minutes, puis, d’un seul coup, le foutre fusa en cascade droit sur le col de l’utérus, si bien que Sofia fut saisie par un orgasme ravageur et en pissa un peu de plaisir…

- On pourra dire que c’était un café arrosé, dit M. Kervalec en se reculottant. Pour la T.V.A, je vais voir ce que je peux faire…

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 1 septembre 2010 3 01 /09 /Sep /2010 07:35

 

Le Chantier

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Chapitre 1

Un samedi de juin, Sofia D* devint une femme respectable en épousant Sébastien T*, responsable marketing de la société Styx-Europa. Ils formaient un beau couple. Sophie avait 35 ans, Sébastien 38. Son travail le menait souvent à  l’étranger où il pouvait rester parfois une semaine entière, surtout en Asie où les signatures de contrats nécessitaient beaucoup de patience.

Aussi, quand ils décidèrent de transformer un corps de ferme quasiment en ruines en maison de campagne, ce fut à Sofia que revint la mission de mener à bien le chantier de la rénovation. La maison – enfin ce qui devait devenir la maison - était construite sur les bords de l’Atlantique, dans un petit village côtier du Sud-Bretagne. Pour se rendre sur place, il fallait soit emprunter le train puis un taxi, soit y aller directement par la route, mais dans les deux cas, c’était une expédition.

Sofia y allait une fois par mois. Elle y restait deux jours, le temps de rencontrer les équipes d’artisans, de veiller aux malfaçons et d’arrêter le planning des travaux pour les semaines à venir.

Mais avant tout, il avait été nécessaire de s’adresser à un architecte pour les démarches administratives, choisir le nouvel agencement intérieur et estimer le coût total des travaux…

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Le cabinet d’architecte.

La première fois que Sofia se rendit seule au rendez-vous fixé par l’architecte, ce fut en décembre par un triste après-midi de pluie. Sébastien était à Londres pour deux jours. Ce jour-là, M. Burgaud devait lui remettre l’autorisation officielle de rénovation ainsi qu’un premier devis. Sofia avait déjà rencontré M. Burgaud à de multiples reprises : c’était un homme affable, d’une cinquantaine d’années, un peu grisonnant. Elle avait remarqué qu’il avait de belles mains et une voix très persuasive.

chantier1-3Pour l’occasion, Sofia avait mis une jupe et des bottes en daim couleur fauve, un pull violet en cachemire. Dès son arrivée, M. Burgaud la débarrassa de son manteau, et, geste furtif qui n’échappa pas à Sofia, il tira le verrou de la porte de son bureau. Pour lui expliquer les devis en détail, il invita Sofia à s’asseoir à ses côtés devant le bureau où étaient éparpillés les documents. Ils se touchaient presque. De sa voix douce et envoûtante, il lui annonçait des chiffres ; de ses doigts soignés, il lui montrait des colonnes, des totaux. Sofia se laissait bercer. Et il n’y avait pas que le charme de la voix et de la main : il flottait autour de l’architecte comme un parfum de tabac blond qui la mettait en émoi et achevait de l’enivrer.

Aussi,  lorsque la main de l’architecte quitta les devis et se posa sur sa cuisse, Sofia se laissa faire. C’était la première fois depuis sa rencontre avec Sébastien, trois ans auparavant, qu’un homme posait la main sur elle. Elle pensa à son mari, non par culpabilité, mais pour reconnaître combien la main de l’architecte était plus habile et plus excitante. Au fur et à mesure que les doigts progressaient sous sa jupe, elle sentait ses mamelons devenir durs comme du marbre, sa bouche s’assécher, son con mouiller. Alors que la main gauche de M. Burgaud atteignait son sexe, la droite se glissait sous son pull et lui caressait les seins. Sofia écarta les cuisses et s’abandonna au plaisir. Elle se laissa renverser sur le bureau, dans un lit de paperasses. Elle entrevit M. Burgaud qui sortait sa queue raide de sa braguette et, l’instant d’après, elle l’avait dans le vagin, grosse, chaude et vivante…chantier1-6

Sofia s’étonna à peine d’y prendre du plaisir. Cela dura un petit quart d’heure, le temps pour elle de se permettre deux orgasmes discrets. L’architecte se retira pour jouir et lui envoyer trois giclées de sperme sur le ventre, ce qui lui remplit la fontaine du nombril. Elle en fut un peu contrariée mais n’en laissa rien paraître.

Finalement, ce qui surprit Sofia, ce fut que M. Burgaud se sentit obligé de la remercier en lui accordant une ristourne plus que conséquente sur ses honoraires. Sofia pensa qu’on la payait comme une putain, et loin de la fâcher, cette pensée lui trotta dans la tête jusqu’au retour de Sébastien.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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