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1) Le mari
Le confinement avait empêché Michel de venir nous voir. Le temps avait paru long pour lui qui adorait baiser
mon épouse, pour moi de les voir et pour Hélène qui prenait du plaisir en nous satisfaisant tous les deux.
Il allait bientôt arriver et ma femme, assise sur un fauteuil crapaud vert, remontant ses bas, me montrait comment
elle avait choisi de s’habiller : un contraste entre un soutien-gorge et un string de dentelle blanche que lui avait envoyés Michel, et des bas noirs, en partie masqués par des cuissardes en
cuir noir d’un célèbre bottier parisien.
Elle me précisa : "J’ai eu Michel au téléphone, c’est dans cette tenue que j’irai lui ouvrir, vous attendrez
ici dans le petit salon. Nous avons décidé que votre rôle de cocu sera largement évoqué pendant nos ébats."
C’est donc ainsi que la Comtesse de La Motte-Veuillé remonta dans le petit salon avec Michel, très souriant, qui
avant même de me saluer l'embrassa sur les lèvres avec gourmandise, leurs langues s’entremêlant dans leur bouche.
Il me dit ensuite quel plaisir il avait de nous revoir, Hélène lui dit : « Cher ami, venez dans la chambre
conjugale, me baiser devant le cocu. » Il la suivit et moi derrière, qui m’assis dans un coin de la chambre.
Elle le déshabilla en le caressant, chemise, pantalon, chaussettes hautes, et enfin le caleçon. Elle s’agenouilla
et lui prit la bite pour la sucer avec volupté. Elle était déjà d’une raideur plus que convenable.
En même temps elle jetait des regards éloquents vers moi et lorsqu’elle s’arrêtait, c’était pour me dire : «Mon
chéri j’adore sa queue, il faut dire qu’elle a quelques bons centimètres de plus que la tienne ! »
Michel la remit debout, lui dégrafa le soutien gorge et fit glisser le string .Ma femme était nue en bas et
cuissardes. Il lui caressait les seins et elle gémissait en me regardant. Sa main descendait entre ses cuisses.
« Vous imaginez comme elle ne me refusera rien, n’est-ce pas cocu ? »
Je ne pus que répondre « oui »
il la fit s’allonger sur le lit et lui écartant les cuisses, vint coller sa bouche contre son sexe, ayant
préalablement écarté ses grandes lèvres pour que sa langue vienne doucement puis avidement caresser son clitoris. Connaissant ma femme pour être clitoridienne et vaginale, je savais qu’elle
allait commencer à jouir, ce qu’elle fit prenant la tête de son amant pour que sa langue la fouille. Sa jouissance fut bruyante et elle me regardait.
Maîtresse d’elle-même, et voulant me satisfaire aussi, elle me dit : « Tu as vu cocu comme j’ai joui ? »
Je hochais la tête, mon sexe déformant mon pantalon, mais j’avais évidemment l’interdiction de tout mouvement.
Michel la mit ensuite en position de levrette en face de moi afin que je ne perde rien de leurs regards.
Il la pénétra et allait et venait en elle sans aucune difficulté, l’orifice vaginal de ma femme étant largement
humide. Michel me dit : « Que c’est bon, cocu, de baiser votre femme devant vous et de la faire jouir.
Effectivement elle jouit bruyamment après avoir exigé que Michel la bourre sans retenue et qu’elle entende ses
couilles frapper ses cuisses.
Michel encore en elle lui dit : «Vous allez me donner ce que vous ne lui donnez pas. »
« Ah non ! » s’écria-t-elle. Trop tard évidemment, Michel encula la Comtesse qui après avoir poussé un
hurlement, me regarda et me dit : « Vous voyez, cocu, il n’y a que Michel, qui puisse disposer, pour lui ou pour ceux qu’il a choisis, de mon cul . »
Michel très satisfait, de soumettre ainsi la Comtesse, lui ordonna : « On ne peut pas le laisser comme cela,
déboutonnez sa braguette et achevez-le »
Il savait qu’Hélène avait horreur du sperme en bouche, aussi lui tint-il la tête alors qu’elle me suçait et je lui
tapissais la gorge de mon sperme.
« Décidément Comtesse, vous aimez ce que l’on vous en impose, alors j’irai beaucoup plus loin la prochaine
fois. »
2 ) l'amant
Après-midi de printemps. Hélène m'avait dit au téléphone qu'elle
aimerait bien qu'on parle ensemble cinéma. La connaissant un peu, je m'attendais à ce qu'on évoque Truffaut ou Sautet. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand elle m'a reçu au petit salon en
tenue vintage de putain de luxe. Elle était merveilleuse !
Elle avait revêtu la panoplie complète : les dessous chics en dentelle, le chemisier de soie, les
cuissardes de cuir à talons hauts, les bas noirs, le maquillage genre "parce que vous le valez bien"...
– Toute petit déjà, j'aimais les déguisements. Avec mes cousins, on jouait à la mariée, de la
cérémonie à l'église à la nuit de noces... J'attendais le moment où ils soulèveraient ma robe blanche pour enlever ma jarretière... Vous avez déjà regardé des films Marc Dorcel ?
– Sans doute... C'était pas du porno un peu kitch ?
– Exact, et c'est justement ça qui me plaît, le côté décalé. Les titres d'abord comme "Ma femme
est une putain" ou "Les nuits d'une bourgeoise". Tout un programme ! Et puis, les manoirs ou les luxueux appartements parisiens, les éclairages tamisés style "Les feux de l'amour",
les bouquets de pivoines, les maîtresses de maison en tailleur et escarpins mais salopes à l'extrême, qui baisent et sucent dans des salons cossus, qui s'envoient en l'air avec des bellâtres aux
bites infatigables. Des femmes mûres qui portent des colliers de perles mais qui se font enculer par leurs domestiques et pissent dans la bouche de leurs invités... C'est tout ça qui m'excite...
Rien que d'en parler, j'en suis toute mouillée... On va se regarder un bon vieux DVD ! Je vous laisse le soin de choisir dans notre collection privée.
– "Madame de Bon Plaisir", ça vous va ?
– Parfait. Eteignez le plafonnier et venez vous installer tout près de moi... Pendant le film, je
vous demanderai sans doute de me caresser, de me branler et même de me bouffer la chatte... À la fin, si le film vous a donné des idées, vous pourrez me baiser par tous les trous, je vous promets
que je ne dirai pas non...
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