Exercices d'écriture, # 9
La photo
Retour au format classique, à savoir deux textes non concertés sur une même image. Cette fois,
vous pourrez constater que les deux points de vue sont vraiment très différents !
Le texte du mari
Ma femme, lorsqu’elle arriva dans le salon eut un mouvement de recul, en même temps que Michel lui présentait les
deux courtiers d’art : « Mes amis agissent pour le compte d’un Etat africain ? J’ai pensé que la collection de votre mari les intéresserait, tout comme vous."
En aparté, Hélène lui glissa : « J’espère qu’ils ne vont pas me mettre dans une marmite et mettre le feu
dessous. »
Robert et Albert Megara avaient entendu cette réflexion désobligeante, les rabaissant aux pires instants de «Tintin
au Congo »
– Veuillez excuser Madame de la Motte-Veuillé, je suis sûr qu’elle aura à coeur de vous faire oublier ces propos
déplacés.
– Vous savez, Hélène, que mes amis sont de véritables experts et vous mériteriez vraiment une fessée. Mais j’ai
plutôt décidé de leur faire admirer votre corps et d' user de vous, lui chuchotant «on a bien dit que je décidais, »
En même temps parlait, il commença à déboutonner les boutons de la robe manteau d’Hélène et avec rapidité la fit
tomber. Hélène se retrouva en bas, string, soutien gorge et escarpins.
Robert ressemblait à Sydney Poitier . Albert était beaucoup plus rustique dans l’allure. C’est lui qui
s'exprima : «Chère Madame pour la marmite, c’est nous qui allons nous faire rôtir le balai dans vos marmites".
Albert et Robert se déshabillèrent intégralement. Hélène regarda fixement leurs entrejambes où pendaient leurs
sexes. Elle était aussi étonnée qu’effrayée : leurs verges ressemblaient à de solides branches d’arbre, pendant quasiment à mi-cuisse, avec au bout un gland que leur circoncision découvrait
entièrement en proportion de la verge
– Mais c’est monstrueux, dit Hélène alors que Robert lui prenait les mains pour la serrer contre lui et qu’Albert
dégrafait son soutien-gorge et faisait descendre son string.
Robert appuya ses deux larges mains sur les épaules d'Hélène la forçant à s’agenouiller, le visage à hauteur de sa
bite, bientôt rejointe par celle d’Albert.
– Lèche bien nos bites, vieille salope ! dit Albert.
La langue d'Hélène montait et descendait à tour de rôle sur ces longues tiges qui se gonflaient.
– N’oublie pas de bien passer ta langue sur les glands, renchérit Robert.
Ma femme obéissait. Alors que les deux noirs bandaient, Robert passa derrière, prenant la tête d'Hélène entre ses
mains lui ordonnant d’ouvrir grand la bouche, Son retard à s'exécuter provoqua la colère d’Albert qui lui pinça violemment le nez lui faisant ouvrir la bouche dans laquelle il enfila son gland.
Robert, derrière, empêchait toute dérobade.
Hélène n’avait rien à faire que de garder sa bouche grande ouverte pour recevoir le mouvement de la bite qui la
forçait jusqu’au larynx provoquant une sensation d’étouffement. Mais prise entre les mains de Robert et la base du sexe d’Albert, elle ne pouvait qu’essayer de suivre le mouvement de va et
vient.
Elle sentit qu’Albert arrivait à l'orgasme. Elle voulut se jeter en arrière, mais il était trop tard : Albert
jouissait au fond de sa bouche, avec une prolixité peu commune, Elle ne pouvait que déglutir cette profusion de sperme, sous les quolibets d’Albert : « Alors cela a un goût différent de ce dont
vous avez l’habitude ? ». Il retira sa bite et lui fit lécher et avaler ce qui suintait encore de son gland.
– Dans l'intimité, on m’appelle "le Jouisseur" .
Il la conduisit vers un petit fauteuil crapaud lui faisant présenter son cul, les mains appuyées contre le
dossier.
Robert était derrière elle, la bite tendue au maximum.
Il enfila la comtesse sans crier gare, il allait et venait. Le rude traitement subi par Hélène avait largement
excité ma superbe salope qui ne put s’empêcher de jouir bruyamment sous les moqueries des deux frères Mégara : « La comtesse apprécie les tiges noires dirait-on !! »
Elle ne disait rien, tout à la jouissance éprouvée.
Michel et moi étions fascinés par la docilité de la Comtesse et, faut-il le dire, bandions dans nos
pantalons.
Robert continuait d’aller et venir mais se retenait. Il retira sa bite pour poser son énorme gland sur l’anus
d’Hélène, qui s’il avait été souvent visité par Michel et quelques autres amants, n’avait jamais cependant connu un tel engin.
Comprenant le risque, elle essaya de se dégager, mais Albert vint la tenir en l’entourant de ses bras.
Robert avait toute liberté de manœuvre pour forcer l’anus récalcitrant. Albert chuchota à l’oreille de la Comtesse
: « Son surnom c’est le défonceur ».
Sans doute par égard et connaissant l’épaisseur du gland et les effets que cela pouvait provoquer sur un petit trou
du cul, Albert le lui barbouilla d’un geste circulaire, avec son gland qui suintait. Tout à coup elle sentit la vive brûlure de son anus ainsi pénétré. Albert Mégara se retira par trois fois et
par trois fois lui enfila dans le cul ses 25 centimètres de bite. A chaque fois la Comtesse hurla de douleur.
Avec rapidité, il se retira, la tourna et la mit à genoux forçant sa bouche dans laquelle il éjacula une épaisse
semence qu’elle dut déglutir comme celle d’Albert.
Hélène regarda Michel : «Vous avez eu raison de me procurer cette expérience. J’espère que le spectacle
de mon humiliation vous a plu.»
Michel sourit : « Beaucoup, et je pense que vous y avez trouvé beaucoup de plaisir, il faudra y penser pour
l'avenir ».
Le texte de
l'amant
Au téléphone, Hélène m'avait juste dit qu'elle me donnait rendez-vous, à partir de 15 heures, dans le petit salon
"pour jouer", sans plus
de précision. Avec elle, je devais m'attendre à tout. Aussi, lorsque je suis arrivé, j'ai été à peine surpris de la trouver à moitié nue, les fesses à l'air, immobile, appuyée debout au dossier
d'un fauteuil. Elle me tournait le dos, comme si elle refusait de me regarder.
– Je vous attendais, dit-elle sans se retourner. Sur le petit guéridon, vous trouverez une boîte de gants en
latex... Enfilez-en une paire. On va jouer à la prisonnière et au gardien de prison... Vous avez compris ? Pas la peine de vous expliquer la règle du jeu... Monsieur, le gardien, je vous
jure que je ne cache rien...
– Désolé, mais vous connaissez la procédure après chaque parloir ! Écartez les jambes et penchez-vous en
avant...
Elle a obtempéré sans rechigner, comme résignée à son triste sort... Sans ménagement, j'ai ouvert ses fesses et
glissé ma main droite gantée de latex entre ses cuisses... Comme je m'y attendais, elle était déjà ruisselante de jus épais... Je lui ai introduit l'index et le majeur dans le vagin, au plus
profond. Elle s'est cambrée pour me faciliter la tâche... Alors dans le fond, juste sous le col de l'utérus, j'ai senti sous mes doigts une boule dure... C'était une sorte d'œuf en plastique,
genre Kinder surprise...
– Et ça, c'est quoi ?
– Oh, je vous en supplie, Monsieur le gardien. Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne m'envoyez pas au
mitard...
– Vous planquez de la drogue là-dedans ?
– Oh, non !!!... Je me le mets juste pour m'exciter... En cellule, je me sens si seule... J'ai tellement
besoin d'une bite ! Je peux vous sucer si vous voulez...
Le jeu commençait à m'exciter et je bandais sérieusement. Mon ton est devenu menaçant.
– Si ça se trouve, vous en avez un autre dans le cul. Ecartez bien les fesses que je vérifie...
Hélène avait le trou du cul aussi huileux que la chatte. J'y ai planté mon pouce... Elle a gémi.
– Monsieur le gardien, s'il vous plaît, baisez-moi, enculez-moi, prenez-moi comme une bête...
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