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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Paula Modersohn-Becker est une artiste allemande née à Dresde en février 1876 et décédée en novembre 1907 à la suite d'un accouchement difficile. En 1906, elle fut, dans l'histoire de l'art, la première auteure d'autoportraits nus.
Pour plus d'informations, consultez l'article très bien documenté de Wikipédia Paula Modersohn-Becker
Née en 1953 à Los Angeles, Lisa Lyon fut, au début des années 1980, une pionnière du bodybuiding féminin. Adepte des arts martiaux, elle devint la première femme championne du monde de bodybuilding. Sa notoriété allait bien au-delà des salles de musculation puisqu'elle faisait aussi la une des magazines de charme et posait pour les grands photographes de l'époque comme Helmut Newton, Robert Mapplethorpe ou Marcus Leatherdale. En 1982-83, Lisa Lyon fut la compagne de Bernard Lavilliers.
Photos de Helmut Newton
Photos de Robert Mapplethorpe
Photo de Marcus Leatherdale
Claire CASTILLON : "Les cris" roman paru en 2010 aux Editions FAYARD ( 190 pages).
Récit de la difficile séparation entre la narratrice et Adam. Le travail d'écriture de cette rupture est incarné ici par le "monstre textuel"
Extrait pages 105-106.
" Adam m'a donc téléphoné pendant que le chien luttait pour ne pas sortir. Il voulait rester avec sa maîtresse. Le téléphone a sonné longtemps. J'ai même fini par me boucher les oreilles, je ne pouvais pas interrompre mon programme. Voilà Adam, me suis-je dit, il revient, la queue basse, combien de temps déjà ?
Je répondrai au prochain appel. Il est important d'amener Adam à penser que je ne suis pas barricadée chez moi à l'attendre. Es-tu fière de tes bas réflexes ? enrage le monstre textuel.
Détourner son attention. Lui faire part d'informations récemment acquises. Le remplir pour qu'il me vide. J'ai lu que l'orgasme vaginal était si fort qu'il fallait le garder secret afin de ne pas culpabiliser les femmes clitoridiennes en le leur disant. J'ai aussi entendu que le foie gras était un aliment diététique, contrairement aux idées reçues.
Le montre textuel me demande si c'est là tout ce que j'ai dans le crâne. Il ajoute : Naughty girl, au lieu de raconter des bêtises, sentez-vous ces odeurs de nous, mêlées entre vos cuisses ?
Je sursaute. Vouvoiement ?
À la télévision, la femme dit : J'aime vivre avec mon molosse. J'aime qu'il m'attende quand je rentre. J'aime son odeur, j'aime son poil, son haleine. j'aime son dynamisme, sa vigueur, sa compagnie, sa fidélité. Mais parfois c'est du travail, je me demande si je l'aime. Ou si j'aime la mousse autour de lui.
Je suis certaine que la femme dit cela.
Après, je me concentre pour ne pas quitter la femme. Comme si j'écoutais une chanson dont on arrêtait soudain la musique, mais dont je devrais continuer à chanter le paroles. Si je perds la femme sous prétexte qu'elle quitte l'écran, je perds mon temps. Et si je perds le fil de sa journée, le monstre textuel va sonner le cloches.
Cela fait un moment que je caresse mon bras pour apaiser le monstre et tenter de l'endormir, mais une forte décharge ouvre mon entre cuisses.
Touchez-vous, dit le monstre textuel, tout chez vous m'excite ! Je vous veux, langue pendante, affûtée, aux abois, ne vous calmez pas. Laissez venir."
Exercices d'écriture, # 9
La photo
Retour au format classique, à savoir deux textes non concertés sur une même image. Cette fois, vous pourrez constater que les deux points de vue sont vraiment très différents !
Le texte du mari
Ma femme, lorsqu’elle arriva dans le salon eut un mouvement de recul, en même temps que Michel lui présentait les deux courtiers d’art : « Mes amis agissent pour le compte d’un Etat africain ? J’ai pensé que la collection de votre mari les intéresserait, tout comme vous."
En aparté, Hélène lui glissa : « J’espère qu’ils ne vont pas me mettre dans une marmite et mettre le feu dessous. »
Robert et Albert Megara avaient entendu cette réflexion désobligeante, les rabaissant aux pires instants de «Tintin au Congo »
– Veuillez excuser Madame de la Motte-Veuillé, je suis sûr qu’elle aura à coeur de vous faire oublier ces propos déplacés.
– Vous savez, Hélène, que mes amis sont de véritables experts et vous mériteriez vraiment une fessée. Mais j’ai plutôt décidé de leur faire admirer votre corps et d' user de vous, lui chuchotant «on a bien dit que je décidais, »
En même temps parlait, il commença à déboutonner les boutons de la robe manteau d’Hélène et avec rapidité la fit tomber. Hélène se retrouva en bas, string, soutien gorge et escarpins.
Robert ressemblait à Sydney Poitier . Albert était beaucoup plus rustique dans l’allure. C’est lui qui s'exprima : «Chère Madame pour la marmite, c’est nous qui allons nous faire rôtir le balai dans vos marmites".
Albert et Robert se déshabillèrent intégralement. Hélène regarda fixement leurs entrejambes où pendaient leurs sexes. Elle était aussi étonnée qu’effrayée : leurs verges ressemblaient à de solides branches d’arbre, pendant quasiment à mi-cuisse, avec au bout un gland que leur circoncision découvrait entièrement en proportion de la verge
– Mais c’est monstrueux, dit Hélène alors que Robert lui prenait les mains pour la serrer contre lui et qu’Albert dégrafait son soutien-gorge et faisait descendre son string.
Robert appuya ses deux larges mains sur les épaules d'Hélène la forçant à s’agenouiller, le visage à hauteur de sa bite, bientôt rejointe par celle d’Albert.
– Lèche bien nos bites, vieille salope ! dit Albert.
La langue d'Hélène montait et descendait à tour de rôle sur ces longues tiges qui se gonflaient.
– N’oublie pas de bien passer ta langue sur les glands, renchérit Robert.
Ma femme obéissait. Alors que les deux noirs bandaient, Robert passa derrière, prenant la tête d'Hélène entre ses mains lui ordonnant d’ouvrir grand la bouche, Son retard à s'exécuter provoqua la colère d’Albert qui lui pinça violemment le nez lui faisant ouvrir la bouche dans laquelle il enfila son gland. Robert, derrière, empêchait toute dérobade.
Hélène n’avait rien à faire que de garder sa bouche grande ouverte pour recevoir le mouvement de la bite qui la forçait jusqu’au larynx provoquant une sensation d’étouffement. Mais prise entre les mains de Robert et la base du sexe d’Albert, elle ne pouvait qu’essayer de suivre le mouvement de va et vient.
Elle sentit qu’Albert arrivait à l'orgasme. Elle voulut se jeter en arrière, mais il était trop tard : Albert jouissait au fond de sa bouche, avec une prolixité peu commune, Elle ne pouvait que déglutir cette profusion de sperme, sous les quolibets d’Albert : « Alors cela a un goût différent de ce dont vous avez l’habitude ? ». Il retira sa bite et lui fit lécher et avaler ce qui suintait encore de son gland.
– Dans l'intimité, on m’appelle "le Jouisseur" .
Il la conduisit vers un petit fauteuil crapaud lui faisant présenter son cul, les mains appuyées contre le dossier.
Robert était derrière elle, la bite tendue au maximum.
Il enfila la comtesse sans crier gare, il allait et venait. Le rude traitement subi par Hélène avait largement excité ma superbe salope qui ne put s’empêcher de jouir bruyamment sous les moqueries des deux frères Mégara : « La comtesse apprécie les tiges noires dirait-on !! »
Elle ne disait rien, tout à la jouissance éprouvée.
Michel et moi étions fascinés par la docilité de la Comtesse et, faut-il le dire, bandions dans nos pantalons.
Robert continuait d’aller et venir mais se retenait. Il retira sa bite pour poser son énorme gland sur l’anus d’Hélène, qui s’il avait été souvent visité par Michel et quelques autres amants, n’avait jamais cependant connu un tel engin.
Comprenant le risque, elle essaya de se dégager, mais Albert vint la tenir en l’entourant de ses bras.
Robert avait toute liberté de manœuvre pour forcer l’anus récalcitrant. Albert chuchota à l’oreille de la Comtesse : « Son surnom c’est le défonceur ».
Sans doute par égard et connaissant l’épaisseur du gland et les effets que cela pouvait provoquer sur un petit trou du cul, Albert le lui barbouilla d’un geste circulaire, avec son gland qui suintait. Tout à coup elle sentit la vive brûlure de son anus ainsi pénétré. Albert Mégara se retira par trois fois et par trois fois lui enfila dans le cul ses 25 centimètres de bite. A chaque fois la Comtesse hurla de douleur.
Avec rapidité, il se retira, la tourna et la mit à genoux forçant sa bouche dans laquelle il éjacula une épaisse semence qu’elle dut déglutir comme celle d’Albert.
Hélène regarda Michel : «Vous avez eu raison de me procurer cette expérience. J’espère que le spectacle de mon humiliation vous a plu.»
Michel sourit : « Beaucoup, et je pense que vous y avez trouvé beaucoup de plaisir, il faudra y penser pour l'avenir ».
Le texte de l'amant
Au téléphone, Hélène m'avait juste dit qu'elle me donnait rendez-vous, à partir de 15 heures, dans le petit salon "pour jouer", sans plus de précision. Avec elle, je devais m'attendre à tout. Aussi, lorsque je suis arrivé, j'ai été à peine surpris de la trouver à moitié nue, les fesses à l'air, immobile, appuyée debout au dossier d'un fauteuil. Elle me tournait le dos, comme si elle refusait de me regarder.
– Je vous attendais, dit-elle sans se retourner. Sur le petit guéridon, vous trouverez une boîte de gants en latex... Enfilez-en une paire. On va jouer à la prisonnière et au gardien de prison... Vous avez compris ? Pas la peine de vous expliquer la règle du jeu... Monsieur, le gardien, je vous jure que je ne cache rien...
– Désolé, mais vous connaissez la procédure après chaque parloir ! Écartez les jambes et penchez-vous en avant...
Elle a obtempéré sans rechigner, comme résignée à son triste sort... Sans ménagement, j'ai ouvert ses fesses et glissé ma main droite gantée de latex entre ses cuisses... Comme je m'y attendais, elle était déjà ruisselante de jus épais... Je lui ai introduit l'index et le majeur dans le vagin, au plus profond. Elle s'est cambrée pour me faciliter la tâche... Alors dans le fond, juste sous le col de l'utérus, j'ai senti sous mes doigts une boule dure... C'était une sorte d'œuf en plastique, genre Kinder surprise...
– Et ça, c'est quoi ?
– Oh, je vous en supplie, Monsieur le gardien. Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne m'envoyez pas au mitard...
– Vous planquez de la drogue là-dedans ?
– Oh, non !!!... Je me le mets juste pour m'exciter... En cellule, je me sens si seule... J'ai tellement besoin d'une bite ! Je peux vous sucer si vous voulez...
Le jeu commençait à m'exciter et je bandais sérieusement. Mon ton est devenu menaçant.
– Si ça se trouve, vous en avez un autre dans le cul. Ecartez bien les fesses que je vérifie...
Hélène avait le trou du cul aussi huileux que la chatte. J'y ai planté mon pouce... Elle a gémi.
– Monsieur le gardien, s'il vous plaît, baisez-moi, enculez-moi, prenez-moi comme une bête...
Représenter le désir, # 11
La complicité ou le fanstame partagé
Dans une vie, ils sont rares les moments où nos fantasmes rencontrent ceux de notre partenaire. Il s'opère alors comme une secrète alchimie qui procure, à tous les deux, une inoubliable sensation de bonheur intense, d'harmonie.
L'illustration que je vous ai choisie m'a semblé une belle image de cette rencontre des désirs. Le fétichisme des bas nylon est partagé par les deux amants : elle lui a volontiers donné son bas pour qu'il l'honore de sa bite et sans doute de son sperme. Mais elle ne se contente pas d'être simple spectatrice de son désir, elle l'accompagne du geste, de ses frôlements, de ses caresses, de sa présence... Leurs regards convergent vers la queue raide habillée de nylon, elle l'encourage à se donner du plaisir, un plaisir qu'ils partageront ensemble. C'est une communion !
Pour ma part, il m'est arrivé par deux fois de connaître ce bonheur. Oui, par deux fois seulement, mes fantasmes ont été en parfaite harmonie – et intégralement partagés – avec ceux de ma partenaire. Aussi, je vous propose de raconter une des vos expériences personnelles, un de ces instants magiques où vous avez atteint le suprême bonheur du partage.
J'attends vos témoignages avec impatience ; en retour, je vous livrerai les miens.
Si vous regardez la télé, vous avez déjà sûrement vu ce spot publicitaire pour une crème dessert "Fondant de Mamie Nova". Mais avez-vous bien regardé en arrière-plan le fessier de la jeune femme en petit caleçon de soie plus que sexy ? Avez-vous remarqué ce petit serrement des fesses lorsqu'elle décroche le téléphone, petite contraction qui ne se relâche pas ensuite, signe d'une excitation certaine. Un spot décidément très sexuel, comme l'exprime explicitement la jeune fille qui déclare en voix off : "Bon, si il m'appelle pas, j'ai le droit de me consoler" ... Le verbe "se consoler" étant en langage imagé synonyme de "se masturber"... (durée du spot : 21 secondes)
Pour visionner le spot cliquez ICI
En 2012, j'avais déjà consacré un article à ce roman paru en 1984 aux "Editions de Minuit". Marguerite DURAS , L'Amant. Ce second article est consacré au récit du premier rapport amoureux de la jeune narratrice avec son riche "amant" chinois.
Extrait n° 1 : pages 49-50. La narratrice a suivi son amant jusque dans sa garçonnière dans le quartier de Cholen, à Saïgon.
" Il dit : vous m'avez suivi jusqu'ici comme vous auriez suivi n'importe qui. Elle répond qu'elle ne peut pas savoir, qu'elle n'a encore jamais suivi personne dans une chambre. Elle lui dit qu'elle ne veut pas qu'il lui parle, que ce qu'elle veut c'est qu'il fasse comme d'habitude il fait avec les femmes qu'il emmène dans sa garçonnière. Elle le supplie de faire de cette façon-là.
Il a arraché la robe, il la jette, il a arraché le petit slip de coton blanc et il la porte ainsi nue jusqu'au lit. Et alors il se tourne de l'autre côté du lit et il pleure. Et elle, lente, patiente, elle le ramène vers elle et elle commence à le déshabiller. Les yeux fermés, elle le fait. Lentement. Il veut faire des gestes pour l'aider. Elle lui demande de ne pas bouger. Laisse-moi. Elle dit qu'elle veut le faire elle. Elle le fait. Elle le déshabille. Quand elle le lui demande il déplace son corps dans le lit, mais à peine, avec légèreté, comme pour ne pas la réveiller.
La peau est d'une somptueuse douceur. Le corps. Le corps est maigre, sans force, sans muscles, il pourrait avoir été malade, être en convalescence, il est imberbe, sans virilité autre que celle de son sexe, il est très faible, il paraît être à la merci d'une insulte, souffrant. Elle ne le regarde pas au visage. Elle ne le regarde pas. Elle le touche. Elle touche la douceur du sexe, de la peau, elle caresse la couleur dorée, l'inconnue nouveauté. Il gémit, il pleure. Il est dans un amour abominable.
Et pleurant il le fait. D'abord il y a la douleur. Et puis, après cette douleur est prise à son tour, elle est changée, lentement arrachée, emportée vers la jouissance, embrassée à elle.
La mer, sans forme, simplement incomparable. "
Extrait n° 2 : pages 54-55 . Le même jour
" Je lui dis de venir, qu'il doit recommencer à me prendre. Il vient. Il sent bon la cigarette anglaise, le parfum cher, il sent le miel, à force sa peau a pris l'odeur de la soie, celle fruitée du tussor de soie, celle de l'or, il est désirable. Je lui dis ce désir de lui. Il me dit d'attendre encore. Il me parle. Il me dit qu'il a su tout de suite, dès la traversée du fleuve, que je serais ainsi après mon premier amant, que j'aimerais l'amour, il dit qu'il sait déjà que lui je le tromperai et aussi que je tromperai tous les hommes avec qui je serai. Il dit que quant à lui il a été l'instrument de son propre malheur. Je suis heureuse de tout ce qu'il m'annonce et je le lui dis. Il devient brutal, son sentiment est désespéré, il se jette sur moi, il mange les seins d'enfant, il crie, il insulte. Je ferme les yeux sur le plaisir très fort. Je pense : il a l'habitude, c'est ça qu'il fait dans la vie, l'amour, seulement ça. Les mains sont expertes, merveilleuses, parfaites. j'ai beaucoup de chance, c'est clair, c'est comme un métier qu'il aurait, sans le savoir il aurait le savoir exact de ce qu'il faut faire, de ce qu'il faut dire. Il me traite de putain, de dégueulasse, il me dit que je suis son seul amour, et c'est ce qu'il doit dire et c'est ce qu'on dit quand on laisse le dire se faire, quand on laisse le corps faire et chercher et trouver et prendre ce qu'il veut, et là tout est bon, il n'y a pas de déchet, les déchets sont recouverts, tout va dans le torrent, dans la force du désir."
Note : difficile de trouver une illustration qui convienne pour ce genre de texte. Alors, à défaut, je vous propose cette "nipponnerie moralement correcte"
Photo n° 39
La proposition
Les lieux : une chambre mansardée, un peu fouillis. Des vêtements sont posés en vrac sur le lit. Si l'on en croit la bouteille d'eau minérale Volvic, nous sommes en France, sans doute en soirée (les lampes de chevet sont allumées). La robe légère de la femme suggère qu'il fait chaud dans la pièce. L'omniprésence des livres (il y a a même sous le lit) laisse supposer qu'on se trouve dans un milieu plutôt intello
Les personnages : La jeune femme occupe presque toute l'image. Mariée (elle porte une alliance à l'annulaire gauche), elle n'est vêtue que d'une petite robe noire à manches courtes mais elle a gardé ses bottes, comme si elle venait d'arriver. Difficile de savoir si elle porte des bas ou si elle est jambes nues. De sa main droite, elle tient une coupe de champagne... Sa main gauche est posée sur le poignet d'un homme qui a lui-même posé sa main droite sur son genou. En bas, à gauche de la photo, on voit le genou d'un autre homme vêtu d'un jean, c'est sans doute celui qui prend la photo.
L'interpération : Leur rencontre n'est pas fortuite. Elle a été programmée, comme en témoignent la tenue plutôt sexy de la jeune femme, la coupe de champagne et le choix de la chambre pour boire un verre. Ces trois-là sont réunis pour une soirée sexe. Le couple invité à gauche ; leur hôte d'un soir à droite. La main posée sur le poignet peut être différemment interprétée : s'agit-il d'écarter voire de repousser la main trop pressante ou de l'encourager à s'aventurer plus haut sur ses cuisses. Compte tenu des indices, la seconde option paraît la plus probable. D'ailleurs, le regard de la jeune femme ne semble pas fâché, bien au contraire. On peut penser que ce geste est le premier contact physique entre eux, geste d'approche, d'apprivoisement. Sa bouche esquisse un sourire complice et on aimerait bien savoir ce qu'elle lui dit. Son mari immortalise la rencontre... La soirée coquine va pouvoir commencer...
Avril 2025 | ||||||||||
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