Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Représenter le désir, # 9
Et si le désir n'était qu'une variante de la gourmandise ? Au restaurant, le serveur qui s'adresse aux clients ne dit-il pas : "Désirez-vous un apéritif" ou "Désirez-vous un dessert ?"
La photo est explicite : le cornet de glace est phallique, la crème glacée spermatique, la dégustation fellatrice, les langues gourmandes et le sucre orgasmique !
Au XVIIIème siècle, dans les couples aristocratiques, la liberté amoureuse était admise. Mari et femme pouvaient prendre des amants, sans que cela choque ou provoque des tensions. Ce fut notamment le cas d'Émilie du Châtelet. Née en 1706, Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil qui épousa le marquis Florent Claude du Châtelet (avec qui elle eut trois enfants) reçut une solide formation en mathématiques et physique. Surdouée, elle maîtrise le latin, le grec, l'allemand et l'anglais, le clavecin et la danse. En 1733, à 27 ans, elle rencontre Voltaire dont elle devient la maîtresse. Il l'initie à la physique de Newton dont elle entreprend de traduire en français les "Principia mathematica" Enceinte d'un nouvel amant Jean-François de Saint-Lambert, militaire et philosophe, elle meurt prématurément en couches à l'âge de 43 ans.
Extrait de l'ouvrage "La sexualité dans la magie" (Yves Verbeek), chapitre Magie d'hier et d'ailleurs
"Dans certaines tribus africaines islamisées, la composition des philtres d'amour est directement sexuelle. Pour séduire ou conserver sa belle, l'amant lui fait manger du sucre sur lequel il a déposé un peu de sa salive et de son sperme. Quant à la femme qui poursuit le même but, elle introduit un petit pain de sucre dans son vagin, puis le concasse et le fait goûter à l'élu de son cœur. La recette, paraît-il, est infaillible. La femme peut aussi utiliser à cette fn son sang menstruel, évidemment dans le plus grand secret. Même l'urine est supposée efficace, comme en témoigne ce poème incantatoire que cite A.R. de Lens dans un ouvrage intitulé Pratiques des harems marocains :
"Je t'ai fait prendre de mon eau
Afin que tu ne voies plus que par mes yeux,
Que tu n'entendes plus que par mes oreilles
Que tu ne parles pus qu'avec mes paroles !
Je te donne ma salive
Pour adoucir ton cœur,
Pour que tu oublies tout,
Même ton frère de père et de mère !"
Deuxième extrait de l'ouvrage "La sexualité dans la magie" de Yves Verbeek.
Pages 64-65 : chapitre intitulé : des pratiques peu avouables
" De nombreux peuples primitifs croient à la vertu virilisante ou fécondante de la nudité. En Polynésie, par exemple, on est persuadé qu'en découvrant les parties génitales et en les présentant à la lumière, elles subiront l'influence bénéfique du mana, c'est-à-dire de l'esprit qui habite le totem protecteur du clan qui porte son nom.
S'il existe des fluides magiques favorables à l'épanouissement de la sexualité, en retour, l'exercice de la sexualité a souvent la réputation d'accroître les pouvoirs occultes de l'individu. Mais dans le monde de la magie, rien n'est "normal", et par conséquent, l'acte sexuel propice à la puissance magique ne saurait l'être. Il se doit même souvent d'enfreindre les tabous les plus rigoureux. Aussi a-t-il généralement un caractère incestueux.
Dans une tribu de Madagascar, les hommes qui partent pour la pêche, la chasse ou la guerre ont des relations sexuelles avec leurs sœurs ou des parentes très proches, afin de favoriser le bon déroulement de l'expédition. Cette pratique se retrouve en divers points du continent africain, surtout chez les peuples chasseurs, et cela bien que l'inceste y soit rigoureusement interdit en toute autre circonstance. L'inceste n'a pas seulement la réputation d'accroître la puissance agressive du guerrier ou du chasseur. Dans certaines tribus, on y voit un moyen de lutter contre les dangers extérieurs, notamment contre la morsure des serpents les plus vénimeux. Chez les Anyanja du Nyassaland (aujourd'hui Malawi), on est même persuadé que d'avoir des rapports sexuels avec sa mère, sa sœur ou, pis-aller, avec sa tante, met ensuite à l'abri des balles de l'ennemi. En outre, les sorciers de cette tribu recourent couramment à l'inceste pour renforcer les plus dangereux de leurs pouvoirs occultes. Il arrive ailleurs que le sorcier ne puisse vraiment inaugurer sa "carrière" qu'après avoir eu un commerce sexuel avec sa propre fille.
C'est du reste une constante dans l'histoire de la magie noire : les sorciers et les sorcières auront presque toujours la réputation de se livrer aux pratiques sexuelles les moins avouables, non seulement à la sodomie et à l'homosexualité, mais aussi à l'inceste. De là vient d'ailleurs la croyance largement répandue selon laquelle la sorcellerie serait héréditaire, leurs enfants naissant des amours entre sorciers et sorcières étroitement apparentés.
Comme chaque année, Jac-Zap m'a adressé ses vœux que je me fais un plaisir de partager avec vous. En outre, je vous invite fortement à visiter son site qui ne vous décevra pas : JAC-ZAP
Le texte de l'article ci-dessous est extrait de l'ouvrage "La sexualité dans la magie" de Yves VERBEEK paru en 1978 aux Editions Idégraf (246 pages)
Chapitre Magie d'hier et d'ailleurs : dans l'Antiquité
"Outre le bouc, partiellement représenté par les satyres, un autre animal faisait partie du cortège de Dionysos-Bacchus : l'âne. Ambigu comme tous les animaux qui intervenaient dans la mythologie, ce quadrupède était appelé à jouer également un rôle important dans les traditions de la magie noire, plus particulièrement dans celles qui touchaient à la bestialité, preversion consistant à avoir des relations sexuelles avec une bête. Il mérite donc que l'on ouvre une parenthèse à son sujet.
L'âne a parfois pris un caractère sacré. Chez les Sémites, il était l'incarnation de Baal-Phégor, dieu de la fertilité dont la puissance fécondante et bénéfique s'opposait au pouvoir destructeur de Moloch, divinité néfaste et cruelle qui exigeait des sacrifices humains. Comme Dionysos, plusieurs dieux de l'Inde antique le choisirent pour monture, de même que Balaam, héros de plusieurs légendes de la tradition juive. Jésus lui-même fut gardé par un âne alors qu'il était encore nouveau-né et ce fut également sur un âne qu'il fit son entrée dans Jérusalem.
Mais l'âne n'eut pas toujours cette bonne réputation et même en Occident, bien qu'il eût été associé à la figure du Christ, il prit place dans l'arsenal imaginaire de la magie noire. Déjà en Egypte, on le vouait à Seth, le meurtrier fratricide d'Osiris. Symbole du Mal, il pouvait être aussi bien celui de la bêtise (le roi Midas avait des oreilles d'âne) et bien sûr à celui de l'obstination. Mais surtout, on voyait en lui une incarnation de la puissance sexuelle sous sa forme la plus brutale et la plus lascive. Dans une légende indienne, il est la Bête qui séduit la Belle, en l'occurrence une princesse : dans la journée, il n'était qu'un quadrupède mâchonnant du foin, mais la nuit il prenait forme humaine pour honorer sa maîtresse.
Si l'on en croit les fabulistes gréco-latins, les femmes ne pouvaient résister aux appâts de cette bête lubrique. Un conte licencieux de Lucien de Samosate en fait foi. Transformé en âne par les potions magiques d''une sorcière, l'auteur-narrateur était devenu sous cette forme l'amant d'une dame de l'aristocratie. Femme d'une grande beauté, elle était tombée follement amoureuse de cet étrange compagnon aux appétits insatiables. Mais un jour, Lucien parvint à trouver des roses et à les dévorer, remède infaillible pour combattre les sortilèges de la magicienne. Aussitôt, il retrouva son apparence humaine et n'eut rien de plus pressé, le soir venu, que d'aller rejoindre sa belle maîtresse. Il était persuadé qu'elle se pâmerait de ravissement en découvrant que son étrange amant était en réalité un homme que la sorcellerie avait mué en bête. Quelle ne fut pas sa découvenue ! Certes, la jeune femme l'accueillit bien et le retint à dîner. Mais c'est qu'elle croyait que l'âne s'était provisoirement métamorphosé en être humain. Et l'affaire tourna mal lorsque la vérité éclata. Lucien de Samosate raconte la suite :
− Je soupe donc avec elle parfumé d'essence et couronné de ces roses bien-aimées, auxquelles de devais ma réintégration parmi les hommes. La nuit étant déjà avancée, et le temps de se mettre au lit venu, je me lève, et croyant accomplir un bel exploit, je me déshabille et me mets tout nu, estimant que je lui plairais davantage par la comparaison avec l'âne. Mais elle,voyant que je n'étais réellement qu'un homme, jette sur moi un regard de mépris, et en même temps :
− Va te morfondre loin de moi et de ma maison, s'écrie-t-elle, va te coucher où tu voudras !
− Quel crime ai-je donc commis ? lui dis-je à mon tour.
− Par Jupiter, dit-elle, ce n'est pas de toi, c'est de l'âne que j'étais amoureuse ; c'est avec lui, et non avec toi que j'ai couché : je pensais que tu avais conservé le grand et beau membre qui distinguait mon âne. Mais je vois bien qu'au lieu de ce charmant et utile animal, tu n'es plus, depuis ta métamorphose, qu'un singe ridicule !..."
En 2008, j'avais déjà consacré à ce texte un article que vous pouvez relire en cliquant sur ce lien Lucius ou l'âne
Sous le pseudo de Skire, un fidèle lecteur du blog m'a offert ce beau texte-cadeau que je vais partager avec vous.
Ils ne s’étaient pas vus depuis un moment. L’homme paraissait fatigué, désabusé. La femme gardait cette éternelle jeunesse, la peau fine et rayonnante et arborait toujours cette expression de joie intérieure qui ne demandait qu’à exploser. Sans un mot leurs pas les conduisirent dans la chambre. Là, la femme commença à se déshabiller sous le regard pensif de son acolyte. Il se demandait s'il arriverait à bander. Entièrement nue, elle commença à s’attaquer à ses vêtements à lui. Il l’aida en retirant son caleçon et ses chaussettes. Son sexe pendait sur ses couilles pleines. Elle le frôla de sa main. Il ressentit quelques picotements et ensemble ils regardèrent son mât commencer lentement, par petits à-coups, à se dresser. Il décalotta son gland d’un geste machinal et s’agenouilla, invitant ce faisant sa compagne d’ébats occasionnels à s’allonger sur le lit, de manière à ce que ses pieds lui soient accessibles. Venue chaussée d'une paire de bottes hautes en cuir dans lesquelles elle avait dû parcourir en marchant le chemin de la gare jusque chez lui, ses pieds portaient les stigmates olfactifs de ce périple. Il en fut ravi. Il huma l’odeur de la plante douce et lisse, commença à lécher le talon pour, lentement, monter prendre chaque orteil entre ses lèvres, l'un après l'autre. De sa main libre, il branlait lentement sa queue qui prenait forme. Il se releva péniblement, ressentant alors ses cinquante ans comme un fardeau et, après avoir contemplé sa chatte luisante aux lèvres déjà ouvertes en une promesse humide, attira à lui cette féminité qu’il entreprit de bouffer goulûment. Les gémissements commencèrent, retenus, puis plus rauques, plus sonores. Ça l’excitait de l’entendre, comme de constater qu’elle mouillait de plus en plus.
Sûr, enfin, de cette bite parfois capricieuse, qui bandait fière et dure entre ses jambes, il lui intima l’ordre de le sucer. Elle s’exécuta dans ce jeu de rôle qu’elle affectionnait tant. Il devenait juste durant cette parenthèse ordurier à souhait. Elle aimait ce gland puissant, cette tige épaisse et longue qu’elle voulait en elle, dans sa bouche, dans son con et dans son cul. L’entendre lui débiter des insanités dans le même temps rendait cela exquis. Ses pensées, déjà, s’égaraient. Ah, le bonheur de sucer ce membre quand il lui avait ramoné l’anus, le nettoyer après l’usage… Elle mouillait abondamment et fourrageait de ses doigts devenus fous son intimité trop négligée à son goût. Elle aimait baiser, se faire prendre et décharger à l’ancienne. L’idée même du sperme jaillissant à l’intérieur de son sexe la rendait folle quand elle sentait le plaisir commencer à lui vriller le bas-ventre sous les coups de butoir. « Je vais te baiser ». Elle se rejeta en arrière sur le matelas, les jambes bien ouvertes dans la posture la plus impudique qui soit. Il s’agenouilla devant elle, lui prenant les pieds dans ses mains et laissa sa bite trouver son chemin. Elle mouillait tellement qu'il entra en elle d’un coup de reins. Il avait envie de lui faire mal. Elle avait envie qu’il lui fasse mal. Il s’exécuta par de violents allers-retours, lents, saccadés, cadencés, qu’il arrêtait par moment pour la faire monter doucement jusqu’au supplice. Alors il reprenait son mouvement, toujours plus violent, toujours plus cadencé comme une marche militaire. Mais là, il montait carrément au combat. Alors qu’il sentait son plaisir à elle poindre il se retira, la retourna sans ménagement et, crachant dans la paume de sa main pour lubrifier son gland, l’encula en lui tenant les hanches solidement. Il entama un sprint qui aurait pu le faire éjaculer rapidement mais son dessein était autre. Alternant les visites dans les deux orifices au mépris des plus élémentaires règles d’hygiène, et sentant sa sève au bord de l’explosion, il se retira et vint se poster devant son visage. Elle ouvrit la bouche, en avalant littéralement son gros gland et commença à le « nettoyer ». Il se retira et se branla à quelques centimètres de son visage en se masturbant de sa main libre. Ils jouirent quasiment en même temps, de longs jets brûlants venant percuter son joli visage asiatique en y laissant de grosses traînées laiteuses et abondantes. Ils jouirent ainsi bruyamment tous les deux, se moquant qu’on les entende.
De ses doigts elle ramenait le sperme de son amant d’une main vers sa bouche, de l’autre vers sa chatte, n’en perdant rien.
Sans temps mort, ils se relevèrent et s’habillèrent en omettant volontairement tout passage par la salle de bain. Ils voulaient garder sur eux l’odeur particulière du sexe qui flotte dans les pièces et sur les corps lors des ébats particulièrement intenses.
Photo n° 38
Sieste méridienne
La lecture
Un premier constat : l'image est belle.
Les éléments du décor : un salon, dans un appartement. Le mobilier est simple et fonctionnel : un canapé aux coussins en tissu uni, une table basse en bois brut, une autre plus petite, un abat-jour près de la fenêtre, un meuble plus sombre derrière le canapé. Bien qu'on soit en plein jour, la pièce est comme plongée dans la pénombre. Dehors, par la fenêtre, on voit des branches d'arbres avec des feuilles d'un vert tendre. L'appartement doit être à l'étage...
Allongée sur le ventre dans le canapé, le buste relevé par un coussin, la tête tournée vers la fenêtre, il y a une femme intégralement nue. On devine que c'est une femme mûre. Elle ne dort pas, elle se repose.
Lecture subjective : nous sommes chez un couple de femmes résolument écologistes comme en témoigne les tables conçues à partir de matériaux de récupération. Elles sont en couple depuis plusieurs années et toujours très amoureuses. C'est un jour de printemps, un des premiers vrais beaux jours de l'année. L'appartement baigne dans une douce chaleur propice aux câlins. Celle qui prend la photo ne se lasse pas de la beauté charnelle de la croupe de sa compagne : elle aime ses fesses pleines, sa raie culière riche de secrets et de senteurs intimes, son clitoris maintes fois caressé, léché, sucé comme un petit bonbon toujours sucré... Son clitoris qu'elle frotte au sien lorsque leurs ventres se rejoignent, que leurs fentes s'embrassent, mêlent leurs mouillures et qu'elles jouissent ensemble en se regardant amoureusement... D'ailleurs, à peine la photo prise, elle va la rejoindre sur le canapé et poser ses mains fiévreuses sur la peau nue de ses reins...
Quand on est étudiant(e), toutes les occasions sont bonnes pour faire la fête. Et pourquoi pas improviser des soirées entre filles... C'est chaud !!!
Derniers Commentaires