Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 08:00

Second triptyque de photos d'Atsuko, de nouveau légendées par son mari-photographe.

Photo n° 4

Atsuko4

Un regard de biche, un visage angélique, des petits seins de rêve. Bref, toute la douceur et le charme japonais...

Photo n° 5

Atsuko5

La belle et impudique Nipponne faisant admirer son intimité

Photo n° 6

Atsuko6

L'Origine du monde capturée par le photographe et mari de cette ravissante native du "Pays du Soleil-Levant"


Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 08:00

Le dessin est paru dans les années 70. C'est au cours de cette décennie qu'on vit en Europe les premières voitures équipées de lève-vitres électriques. Je me souviens qu'il n'y avait aucune sécurité pour un arrêt automatique de fermeture en cas d'obstacle et que, de ce fait, les accidents (doigts pincés ou animaux estropiés) étaient fréquents.

leve-vitre automatiques

Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère
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Vendredi 9 juillet 2021 5 09 /07 /Juil /2021 08:00

En décembre 2011, j'avais déjà consacré un article à Louise Brooks dont la beauté est d'une grande modernité. Pour (re)voir l'article du 23 décembre 2011, cliquez  ICI

Poursuivant le ménage et le classement de mes archives, j'ai retrouvé cette photo de Louise Brooks, photo prise à l'occasion de la sortie du film allemand  "Die Büsche der Pandora" (La boîte de Pandore) réalisé par G.W Pabst en 1929 et sorti en France sous le titre "Loulou", personnage sulfureux incarné par L. Brooks

Voir l'article de Wikipédia consacré au film Loulou

louise brooks loulou

 La photo était accompagneé d'une citation de Henri Langlois (1914-1977) , fondateur de la Cinémathèque française : " Elle (Louise Brooks) est la plus parfaite incarnation de la photogénie. Son art est si pur qu'il devient invisible."  



Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 6 juillet 2021 2 06 /07 /Juil /2021 08:00

Joël Dicker, "La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert" roman paru en 2014 aux  Editions de Fallois. Disponible en édition de poche, 855 pages.

Ellipse narrative : entre ces deux extraits, le récit s'est poursuivi mais ailleurs, avec d'autres personnages. Pour vous aider, je vous ai mis en caractères gras les deux éléments qui vous permettent de combler le vide de l'ellipse

Extrait 1. Page 203. Juin 1975Jenny, jeune serveuse dans le bar du village, est secrètement amoureuse de Harry, écrivain new-yorkais. En l'absence de ce dernier elle pénètre dans sa maison et découvre un brouillon de lettre d'amour dont elle est persuadée qu'elle lui est destinée

" Rayonnante de bonheur, Jenny se mit à embrasser la feuille et la serra contre elle. Puis elle esquissa un pas de danse et s'écria à haute voix : " Harry, mon amour, vous n'êtes pas fou ! Moi aussi je vous aime et vous avez tous les droits du monde sur moi. Ne fuyez pas, mon chéri ! Je vous aime tant !" Excitée par sa découverte, elle s'empressa de reposer le feuillet sur le pupitre, craignant d'être surprise, et retourna aussitôt au salon. Elle s'allongea sur le canapé, releva sa jupe pour que l'on voie ses cuisses et dégrafa sa boutonnière pour faire ressortir ses seins. Personne ne lui avait jamais rien écrit d'aussi beau. Dès qu'il reviendrait, elle se donnerait à lui. Elle lui offrirait sa virginité." 

dicker

Extrait 2. Page 206. Mais les heures ont passé et Harry n'est pas rentré chez lui.

" À vingt heures, Jenny se réveilla en sursaut. À force d'attendre sur le canapé, elle s'était assoupie. Le soleil déclinait à présent, c'était le soir. Elle était vautrée sur le divan, un filet de bave au coin de la bouche, l'haleine lourde. Elle remonta sa culotte, rangea ses seins, s'empressa de remballer son pique-nique et elle s'enfuit de la maison de Goose Cove, honteuse."

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Vendredi 2 juillet 2021 5 02 /07 /Juil /2021 08:00

Voyage vers le "Pays du Soleil Levant" en compagnie de Atsuko dont le mari nous offre trois photos commentées

photo n° 1

Atsuko1

Une ravissante Japonaise à quatre pattes sur un sofa ( qui a connu de nombreux accouplements !) arborant un sourire coquin, heureuse de faire admirer à son mari sa plastique, et tout particulièrement sa croupe.

photo n° 2

Atsuko2

Atsuko allongée sur le dos, les jambes en l'air, dans une pose destinée à donner envie à son mari photographe, de lui prouver, ô combien, elle est désirable.

photo n° 3

Atsuko3

Atsuko, impassible, vêtue exclusivement de rouge à lèvres et d'un bronzage intégral, faisant admirer ses petits seins aux tétons sensibles et érectiles, sa toison bien rafraîchie et ses petits pieds qui devraient ravir les amateurs de petons à sucer et à lécher.

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 29 juin 2021 2 29 /06 /Juin /2021 08:00

L'inconnue de la caisse 9

Samedi d'affluence dans l'hypermarché. Il est 11h 45. On se presse aux caisses où les caddies font la queue comme les voitures à un péage d'autoroute un jour de grand départ. En attendant mon passage en caisse, mon regard erre au hasard sur les chaussures des clients lorsqu'il est attiré par une paire d'escarpins noirs aux talons assez hauts. Les pieds sont nus, révélant des orteils aux ongles vernis de rouge carmin. Mais malgré leur charme, ce ne sont pas les pieds de la dame qui ont retenu mon regard, mais, prenant racine au-dessus de sa cheville, un tatouage filiforme d'une vingtaine de centimètres qui, tel un lierre, grimpe le long de son mollet gauche. À chaque extrêmité, fleurit ce qui pourrait être une rose aux pétales d'un rouge intense. Le tatouage a quelque chose de gracile, d'une délicatesse de bouquet japonais. Je suis resté de longs instants, c'est du moins ce que j'ai ressenti, à contempler ce dessin, à essayer d'en deviner le sens, le message.

Brusquement, elle fait deux pas en avant, alors, mon regard est remonté jusqu'à ses genoux nus juste sous l'ourlet d'une jupe droite  en tissu noir, plutôt moulante, qui met en valeur la cambrure naturelle de ses reins. Elle porte aussi une petite veste beige très cintrée. Elle me tourne le dos si bien que je n'ai d'abord vu que sa nuque en partie découverte par une chevelure courte d'un gris cendré.

Elle a sorti de son sac quelques emplettes qu'elle a déposées sur le tapis roulant de la caisse : moins de dix articles, provisions de femme seule, célibataire ou veuve - je préfère nettement l'idée de la veuve. J'ai supposé qu'elle doit avoir une soixantaine d'années. Elle s'est tournée vers la caissière et j'ai enfin pu la voir de profil. Malgré le masque, elle m'est apparue belle, avec un front haut, des sourcils soignés, un regard vif. Sa poitrine généreuse écarte naturellement les deux pans de sa veste ouverte. Elle a échangé quelques mots avec la caissière. Je n'ai pas saisi ce qu'elles se disaient, cependant le timbre de sa voix douce a fait naître en moi, dans mon bas-ventre, une boule de chaleur qui a généré un érection spontanée. Mon imagination bat librement la campagne : je nous ai vus ensemble, serrés l'un contre l'autre, puis enchevêtrés, mes lèvres parcourant son tatouage, de la cheville jusqu'au genou, puis plus haut entre ses cuisses à la rencontre de sa fente affamée... Elle fouille fébrilement dans mon pantalon et, mettant bas le masque, me taille une pipe en bout de caisse.

caisse 9

Je me sens incapable de la quitter du regard. Elle a payé ses achats en liquide puis, le ticket de caisse en main, s'est éloignée d'un pas nonchalant. C'est alors que, comme brusquement consciente du poids de mon regard sur sa croupe, elle s'est retournée et que nos yeux se sont croisés, avec la fulgurance du désir. Elle m'a semblé hésiter un instant, elle au-delà des caisses, debout immobile dans la galerie commerciale, moi encore dans le magasin, coincé derrière une cliente qui vide lentement son caddy sur le tapis roulant. Alors, l'inconnue de la caisse 9 s'est éloignée et a été avalée par la grande porte à tambour qui donne sur le parking. La cliente qui me précède est devenue mon bouc émissaire, réceptacle innocent de ma frustration et de ma lâcheté car, au fond de moi, je sais très bien que je n'aurais jamais eu le courage d'aborder ma belle inconnue. Je suis bien trop timide pour cela ! 

Cinq minutes plus tard, lorsque j'ai débouché sur le parking ensoleillé, je l'ai cherchée du regard, soulagé de ne pas l'apercevoir. Elle était partie. De toute façon, je ne bandais plus.

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Vendredi 25 juin 2021 5 25 /06 /Juin /2021 08:00

"L'amante religieuse" Ne vous méprenez pas, il ne s'agit pas d'une faute d'orthographe. Le jeu de mots – pauvre, je l'admets volontiers – m'est venu spontanément à l'esprit en contemplant le tableau de Pierre Bonnaud (1865-1930) intitulé "Salomé" et peint vers 1900.

Certes, si l'on s'en réfère strictement au texte de la Bible, Salomé n'était pas l'amante de Jean-Baptiste dont elle avait, au sens propre, réclamé la tête au roi. Mais P. Bonnaud a tellement érotisé la scène (quasi nudité de Salomé, cuisses légèrement écartées...) que la relation entre Salomé et sa victime devient très ambiguë. Alors, j'ai pensé au rituel macabre de la mante religieuse qui, pendant l'accouplement, décapite le mâle afin d'accroître sa puissance sexuelle.

Salome-bonnaud

Le tableau de Pierre Bonnaud


salome-2000

Une version contemporaine de la légende

Voir ici l'article de Wikipedia Salomé

Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 22 juin 2021 2 22 /06 /Juin /2021 08:00

Eric Laurrent, "Une fille de rêve" roman paru chez Flammarion en 2020 (243 pages)

Ce livre aurait pu s'appeler "Grandeur et misère des bimbos". Sur un canevas assez proche de Nana,  mais contemporain, Eric Laurrent nous retrace la brève carrière d'une jeune femme qui, à trop vouloir s'approcher du soleil de la gloire, finira comme Icare par chuter. 

Extrait pages 20-21 : Septembre1982. À peine sortie de l'adolescence, la jeune Nicole Sauxilange (pas encore Nicky Soxy) se présente à un casting pour le "magazine pour hommes" Dreamgirls. C'est Claudie Meyer, assistante du patron du magazine et chargée du recrutement des futures modèles qui va tester ses compétences

" NIcole s'était déjà déshabillée, témoignant par là d'une désinvolture peu commune, a fortiori pour son âge, qui est, comme on sait, celui des pudeurs maladives. Elle se tenait au centre de la pièce, les mains sur les hanches, solidement campée sur ses deux jambes, et attendait en souriant. L'embarras qu'elle avait manifesté jusque-là s'était totalement dissipé, comme si la nudité lui apportait toute la contenance dont elle avait manqué, quand se dévêtir suscitait en règle générale une gêne palpable chez les modèles qui passaient ici, dont la plupart ne pouvaient s'empêcher tout à la fois de se couvrir la poitrine d'un bras et de plaquer une main au bas de leur ventre.

" Dites donc, fit observer Claudie Mayer, on dirait que vous avez fait ça toute votre vie. Vous avez déjà posé nue ? — Oui... Souvent. — Ah bon ? Et pour qui ? — Pour un petit ami. — Ça n'a pas l'air de vous gêner plus que cela en tout cas. — Pourquoi ça devrait me gêner ? c'est juste un corps." (...)

une fille de reveSitôt eut-elle inséré un film dans le tiroir de l'appareil (un Polaroïd), elle la vit alors faire un geste qu'elle n'avait jamais vu chez aucune des centaines de filles qu'elle avait photographiées pour Dreamgirls : avec un naturel qui suggérait effectivement une maîtrise innée de l'art de poser nue et, au-delà, une connaissance précise de son anatomie, l'adolescente se pinça par deux fois les mamelons afin de les faire se dresser, tirant dessus avec rudesse, jusqu'à soulever ses seins, avant de les relâcher d'un coup, et cela sans laisser transparaître le moindre signe de douleur ni de désagrément, comme si elle eût tourné deux vulgaires commutateurs pour établir une communication ou éclairer une pièce. " C'est bon, madame, dit-elle après s'être assurée du résultat, vous pouvez y aller, Je suis prête."


Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 18 juin 2021 5 18 /06 /Juin /2021 08:00

"Mon écran, mon amour..."

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Lorsque je suis tombé sur ces illustrations en surfant sur le net, j'ai été séduit par leur indéniable beauté et en même temps j'ai ressenti comme un malaise. Et ce malaise perdure. Il y a quelque chose de dérangeant dans ces images, quelque chose qui me dit "Attention, c'est un chemin dangereux... L'amour, ce n'est pas ça !" Quoique...

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Mardi 15 juin 2021 2 15 /06 /Juin /2021 08:00

Pour accéder à l'article de Wikipédia, cliquez sur le lien suivant Blanche d'Antigny

blanche -d-antigny

Née Marie Ernestine Antigny (1840-1874) jeune provinciale "montée" à Paris posa dès 1857 pour le peintre académique "pompier" Paul Baudry, notamment pour deux tableaux, "Diane au repos" et "Madeleine pénitente"

Baudry -diane au repos

Diane au repos

baudry-la madeleine pénitente

Madeleine pénitente

Le fait que Blanche d'Antigny ait beaucoup inspiré Emile Zola pour créer le personnage de Nana semble faire consensus.  Il est vrai que les parcours des deux jeunes femmes sont très semblables : même origine modeste, mêmes modestes débuts dans le monde des artistes, même ascension sociale fulgurante et même succès auprès des hommes, même goût du luxe et de l'extravagance... Même dans leur déchéance leurs chemins restent identiques : Blanche d'Antigny et Nana meurent toutes les deux jeunes, dans la misère et rongées par la maladie.

Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère - Communauté : Arts érotiques
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