Mardi 9 février 2021
2
09
/02
/Fév
/2021 08:00
Deuxième exercice d'écriture en duo à partir d'une photo. Pour le protocole d'écriture, voir le premier article
:
Exercices d'écriture, #
1
1 : La photo
2: Les textes
Le mari :
Hélène de la Motte-Veuillé attisait le feu lorsqu’elle sentit une main soulever sa jupe, c’était moi, son mari,
alors que notre ami Arnaud était là.
- Pas mal, dit-il, tu me la prêterais ?
- Sans difficulté, Hélène t’a toujours trouvé beau garçon.
Hélène vint se planter devant nous.
Comme d’habitude elle s’était habillée avec distinction : une jupe noire, un haut panthère, escarpins avec talons
de 8 cm et, en dessous, bas-up, string et soutien-gorge noirs.
Une apparence correspondant à son nom et des dessous correspondant à une sexualité très présente chez elle.
Arnaud, homme du monde, se leva prit un des coussins du canapé qu’il mit par terre, lui faisant signe de
s’agenouiller devant lui, tout en disant, : " Chère Hélène, vous voyez que je n’ai pas envie que vous filiez vos bas."
Elle s’agenouilla sans la moindre protestation.
Arnaud baissa son pantalon et son caleçon
- Vous imaginez votre rôle Chère Comtesse.
Elle prit le sexe dans ses mains, il était d’une consistance raisonnable, les mains qui l’empoignaient le firent en
quelques secondes durcir. La tige était longue et épaisse, elle n’eut aucun mal à décalotter le gland sur lequel elle faisait passer sa langue, qui descendait le long de la tige pour s’enrouler
savamment autour de ses couilles.
Il passa ses mains derrière sa tête lui indiquant la voie et enfourna sa bite majestueuse dans sa bouche,
commandant avec douceur le va-et-vient.
Il avait soin de ne pas aller trop loin pour qu’elle trouve son plaisir sans s’étouffer.
Au bout de quelques minutes, il n’en pouvait plus, et répandit sa semence dans sa bouche. Il se retira.
- Délicieux spectacle, dis-je.
Hélène de la Motte-Veuillé se releva prit une coupe de champagne pour se rincer la bouche et déclara à l’adresse de
son mari : « Alors maintenant venez avec Arnaud me donner mon plaisir ».
L'amant :
Le jour de notre premier rendez-vous, j'avais apporté un de mes recueils de nouvelles intitulé "50 coïts non
interrompus". Elle m'a précédé jusqu'à la grande salle où un feu de bois inondait la pièce de sa chaleur odorante. Elle était habillée comme quelqu'un qui s'apprête à se rendre à une soirée
mondaine : escarpins à talons hauts, chemisier de soie imprimé façon léopard, courte jupe noire fendue sur le côté...
Pour me mettre en confiance, elle tint à m'informer, mais sans me convaincre, que son mari était absent. Quand je lui demandai de choisir, dans la table des matières, la nouvelle qu'elle souhaitait que je lui lise, elle consulta la liste
avec attention, sembla hésiter puis se décida :
- "Baiser dans une cabine d'essayage", ça me tente !
Pour la lecture, j'ai pris place dans un fauteuil alors qu'elle est restée debout devant le feu. Elle écouta
intégralement la nouvelle sans m'interrompre. Le silence revenu, elle se permit un bref commentaire :
- J'aime bien la scène finale avec les giclées de sperme sur les vêtements en solde. Vous savez, je me branle
souvent dans les cabines d'essayage parce que l'idée du danger, que quelqu'un ouvre le rideau sans prévenir et me surprenne en train de me caresser devant le miroir, c'est très excitant...
Je me sus pas quoi lui répondre. Cette femme était vraiment étonnante. Elle posa un pied sur le bord de l'âtre et
se pencha vers le feu. Cette position ouvrit sa jupe et me dévoila sa cuisse nue au-dessus de ses bas noirs ainsi que la naissance de ses fesses.
- Monsieur Koppera, mon époux vous a-t-il dit que j'avais été intégralement épilée au laser ? J'ai le sexe aussi
lisse et doux que celui d'une enfant. Vous voulez voir ?
Derniers Commentaires