Vendredi 22 janvier 2021 5 22 /01 /Jan /2021 08:00

Le saviez-vous ? 

Les cultes liés à la sexualité dans la Rome antique.

La religion romaine avait institué des cultes propres aux femmes, les uns pour les matrones respectables, les autres pour les prostituées.

Cupido et Voluptas furent ainsi érigés en divinités. Selon les récits mythologiques, Voluptas était la fille de Psyché et de Cupidon, fils de Vénus, dieu du désir et dieu de l'amour qui portait en latin deux dénominations, tantôt Cupido, tantôt Amor.

Chaque année, du 28 avril au 3 mai, les Ludi Florales étaient des jeux dédiés à la déesse Flora, divinité de la germination. Ces jeux furent institués vers l'an 238 av JC pour conjurer une famine et devinrent annuels en 173. D'après la légende, Flora fut une courtisane bienfaitrice qui, à sa mort,  aurait légué sa fortune au peuple romain et serait ainsi devenue la patronne des prostituées. Les rites qui lui étaient consacrés avaient un caractère licencieux et nocturne : les citoyens se rendaient de nuit à son temple, situé près du Circus Maximus, pour voir défiler les prostituées. Le 23 avril, les Vinalia étaient une autre  fête en l'honneur des prostituées.

Le culte de Vénus pouvait prendre deux formes. Au Capitole, le temple de Vénus Érycine était fréquenté uniquement par des prostituées. Le 23 avril, il s'y tenait un veritable marché où se rendaient les proxénètes pour y faire leurs affaires. Ce jour de fête était appelé le "jour des prostituées' (dies meretricum). Le culte de Vénus Verticordia dura environ un siècle, il s'adressait uniquement aux femmes vertueuses. Lors de ce culte en avril, les femmes honorables se baignaient couronnées de myrte et buvaient un breuvage composé de pavot écrasé dans du lait avec du miel, le cocetum, que la déesse elle-même aurait consommé avant d'être conduite à son époux; 

Le désir sexuel féminin était placé sous la protection de la Bona Dea qui possédait un sanctuaire au pied du Mont Aventin. Sa fête annuelle se déroulait dans la demeure d'un magistrat, excluait toute présence masculine et nécessitait la présence des vestales. Sous le nom de lait, les fidèles y buvaient du vin, boisson strictement interdite aux femmes. Ces cérémonies qui se tranformaient parfois en orgie furent ainsi condamnées par Juvenal dans ses Satires : " Alors, c'est le prurit qui ne supporte pas d'attendre, c'est la femelle naturelle, c'est la même clameur répétée dans l'antre tout entier. "C'est désormais permis, faites entrer les hommes !" Si l'amant dort, elle ordonne à un jeune homme d'enlever sa cape et de se hâter : à défaut, on court aux esclaves ; si l'espoir d'avoir des esclaves s'évanouit, un porteur d'eau viendra ; si on cherche celui-ci et que les hommes manquent, elle n'attend nullement pour soumettre ses fesses à la saillie d'un âne."

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Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 19 janvier 2021 2 19 /01 /Jan /2021 08:00

J'ai le plaisir de vous présenter un nouveau projet élaboré avec la complicité d'un lecteur fidèle : après avoir choisi une photo de son épouse, nous avons écrit, chacun de notre côté, sans aucune concertation, un court récit. Pour une même photo, il y aura donc deux textes, celui du mari, et le mien qui incarne l'amant virtuel.

Voici le premier article 

1 : la photo

duo1

2 : les deux textes

Le mari :

Sur cette photo, prise lors d’un dîner récent, mon épouse, Madame de la Motte-Veuillé, laisse entrevoir qu’elle porte des bas.

Je lui demande toujours de croiser et décroiser ses jambes afin que l’interlocuteur qui est en face n’ignore pas qu’elle en porte.

Cela provoque toujours une excitation qui, immanquablement lorsqu’il se trouve à table à côté d’elle, lui fait poser la main sur sa cuisse. Il la remonte lentement avec la douce sensation du bas, puis celle plus rugueuse de la bande autofixante (Ma femme ne porte que des bas up), avant de sentir la peau nue de sa cuisse.

Elle se laisse faire.

Il a une cinquantaine d’années, elle vingt de plus, en aparté il lui dit « j’adore les salopes dans votre genre »

Après le dîner, alors que les invités sont au salon, elle prend prétexte de vouloir lui montrer une peinture et le fait monter à l’étage.

La peinture, une copie 19ème du Titien, est au-dessus d’une commode ; elle se plante devant, les mains sur le marbre de la commode.

Il se tient derrière.

Elle relève lentement sa jupe noire laissant apparaître ses longues jambes, ses cuisses puis son cul qu’un string ficelle ne dissimule pas.

De ses pieds, il lui écarte les jambes, elle ne se retourne pas, mais simplement se cambre.

Il baisse son string à mi-cuisses, qui reste tendu entre ses jambes écartées. Il passe ses doigts sur son sexe et son anus, elle sent que de l’autre main il ouvre sa braguette. Elle attend.

Elle sent ensuite contre son sexe une tige épaisse. Elle mouille déjà, depuis quelques minutes. Il l’enfile avec facilité.

Madame de la Motte-Veuillé lui dit :  « Allez-y. Bourrez-moi bien. »

Son mari est dans l’encadrement de la porte, ravi du spectacle qui lui est offert.

 

L'amant : Ce jour-là, j'avais accompagné mon frère dans une de ses visites commerciales chez de riches particuliers de la région. C'était un couple plutôt guindé, à l'image de leur vénérable demeure. En préambule à tout palabre professionnel, nos hôtes nous ont invités à prendre un verre dans leur vaste salon. Les pieds posés devant la cheminée où flambait un grand feu, les épaules enveloppées dans un châle en cachemire et vêtue d'une courte jupe de cuir noir, la maîtresse de maison me parut absente, presque hautaine.  Après avoir échangé quelques banalités d'usage, mon frère et son client se sont retirés dans une pièce voisine pour parler affaires. Je me suis donc retrouvé seul avec la femme qui sirotait en silence son verre de xérès... Et puis, brusquement, sans me regarder, elle prononça quelques mots :

- Alors, monsieur Koppera, je me suis laissé dire que vous étiez écrivain !

- Oui, c'est exact... J'écris des romans et surtout des nouvelles.

- Et qui parlent de quoi ?

- De sexe... Je raconte des histoires de cul !

C'était sorti spontanément, les mots m'avaient échappé, comme si j'avais cherché à la choquer, à bousculer sa froide indifférence . Cependant, après un nouveau silence qui me laissait présager le pire, elle croisa lentement les jambes, dévoilant avec une indécence calculée, la ligne fuyante de ses cuisses fuselées. Elle but une longue gorgée de xérès et reprit :

 

- Alors, si vous en trouvez le temps, je serais ravie que vous veniez me faire un peu de lecture... 

 

 


 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 15 janvier 2021 5 15 /01 /Jan /2021 08:00

Etrange itinéraire de vie que celui de Valentine de Saint-Point. Valentine Vercell est née en 1875 à Lyon. Elle était l'arrière-petite-nièce de Lamartine dont elle choisit de porter le nom du château où il avait vécu. C'est ainsi qu'elle devint Valentine de Saint-Point. Elle mène d'abord une vie d'épouse provinciale avant, veuve à 24 ans, de monter à Paris en 1899. Parisienne de la "Belle époque" elle se fit une renommée libertine et sulfureuse dans le monde artistique et politique où on la surnommait la "Muse pourpre" ou "l'Amazone"; Il faut dire que Valentine ne manquait ni d'énergie, ni d'audace ! Elle fut tour à tour ou en même temps, élève et maîtresse de Rodin, auteure du "Manifeste futuriste de la luxure", et de romans lesbiens, adepte de l'équitation, de l'alpinisme et du Kama-sutra, pratiqua le spiritisme et l'aviation, tout en collectionnant les amant(e)s... Danseuse et chorégraphe, elle dansa nue à Paris et à New-York où elle mit en application sa "métachorie", une approche globale de la danse faisant appel à toutes les capacités du corps humain. Bousculant tous les tabous, elle écrivit en 1907 "L'inceste", récit ayant pour thème une mère qui initie son fils à l'amour physique...

vsp vers 1910

 Portrait de Valentine vers 1910

Mais, après la Grande Guerre, Valentine, jusque là tenante de la "supériorité de la race occidentale", se convertit à l'islam lors d'un voyage au Maroc. Elle change alors de nom s'appellera désormais Rawhiyya Nourredine et, fin 1924, elle part s'installer en Egypte où elle entame une seconde vie très spartiate faite de prières et de méditation. Elle demeurera au Caire jusqu'à sa mort en mars 1953, et sera inhumée sur place pour, comme elle le souhaitait, "donner son corps au sable du désert"

Vous pouvez consulter ICI sur le site "lettres et arts" un article très documenté sur la vie et l'œuvre de Valentine de Saint-Point.

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Photo : Valentine sur scène


Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 12 janvier 2021 2 12 /01 /Jan /2021 08:00

Dans leur livre "À l'insu de mon plein gré" (Éditions Solar), Christophe Duchiron et Manuel Tessier dressent une étonnante anthologie des défenses des sportifs pour se disculper des accusations de dopage. Parmi celles-ci, quelques-unes relèvent de la vie sexuelle des suspects. Ainsi, lorsque Daniel Plaza, médaillé d'or espagnol d'athlétisme (20 km marche) aux J.O de Barcelone en 1992, est contrôlé positif à la nandrolone (testotérone synthétique qui favorise la prise de masse musculaire), il avance comme explication des cunnilingus prolongés et réguliers qu'il aurait prodigués à son épouse qui, enceinte, aurait pu sécréter sans le savoir cette substance. Plus récemment, souvenez-vous en 2009, du tennisman français Richard Gasquet contrôlé positif à la cocaïne qu'il aurait ingurgitée, par mégarde, lors d'un baiser torride avec une certaine Pamela rencontrée dans une boîte de nuit de Miami.

Le plus étonnant, c'est que ces deux affaires se termineront pas un non-lieu !

Moins de chance pour LaShawn Merritt, athléte américain, coureur du 200 et 400 m,  médaillé d'or aux J.O et aux Championnats du monde. Contrôlé positif en 2010 aux stéroïdes anabolisants, il invoquera comme explication la prise régulière d'un médicament destiné à agrandir la taille de son pénis. Il sera suspendu de compétition pendant 21 mois !

Alors, après les I.S.T (infections sexuellement transmissibles), voici venu le temps des D.S.T (dopages sexuellement transmissibles) ?

dopage

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 8 janvier 2021 5 08 /01 /Jan /2021 08:00

Un couple baise debout, face à face. Leurs sexes glabres s'emboitent à la perfection. En un long plan séquence de 3 minutes 27 secondes, ils se laissent aller au plaisir de l'urolagnie. L'urine coule à flots de sa vulve détrempée, il est difficile de savoir qui pisse, sans doute les deux, ensemble ou à tour de rôle.  Une très belle vidéo, d'une sensualité troublante et chargée de tendresse et d'amour réciproque.

Apparemment, la vidéo n'est plus visible. J'en suis désolé ! Vous pouvez quand même vous consoler avec des vidéos semblables qui vous sont proposées sur le site...

video-pisser en baisant

Finalement, j'en ai retrouvé une autre version(image inversée) 

Pour lire la vidéo, cliquez ICI

Par michel koppera - Publié dans : videos et webcam - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 5 janvier 2021 2 05 /01 /Jan /2021 08:00

Je poursuis avec vous la lecture de "La vie sexuelle à Rome" de Géraldine Puccini-Delbey (2007)

Page 116 et suivantes : la prostitution féminine

Le Digeste (code juridique du droit romain) définissait les prostituées comme les femmes "sur lesquelles on ne commet pas de délit sexuel" comme étant "celles qui font de l'argent avec leur corps". Ces femmes, à qui on reconnaissait un statut, se trouvaient cependant au bas de l'échelle sociale : c'étaient des femmes qui "vivent honteusement", des "femmes déshonorées". Pour autant, les prostituées étaient indispensables au bon fonctionnement de la société romaine. Elles assuraient une véritale fonction de régulation sociale qui permettait de canaliser les pulsions sexuelles masculines et devait éviter aux hommes des relations sexuelles illicites avec le groupe protégé des matrones (épouses légitimes des citoyens romains). Recourir aux services des prostituées, lorsqu'on était un citoyen libre, n'était donc nullement déshonorant, à condition de ne pas en devenir dépendant, ce qui aurait témoigné d'un état de servitude vis-à-vis de ses pulsions.

Les prostituées appartenaient à deux catégories bien distinctes. Les unes étaient de misérables créatures, esclaves contraintes par leur maître, les autres étaient des courtisanes d'un milieu social modeste ou élevé, voire aristocratique, qui choisissaient volontairement  de se prostituer. Nonius Marcellus donne pour chacune de ces deux catégories une définition précise :" Entre la courtisane et la prostituée, la différence consiste en ce que la courtisane est d'un rang plus honorable. En effet, les courtisanes tirent leur nom du fait de gagner un salaire parce qu'elles se rendent accessibles seulement de nuit, tandis qu'on les appelle prostituées parce qu'elles se tiennent debout devant leur bouge pour gagner de l'argent nuit et jour." L'idéologie traditionnelle en faisait de purs objets de plaisir avec lesquels les hommes satisfaisaient leurs désirs, objets " que l'on prend et que l'on quitte après en avoir fait bon usage."

Le prostitution forcée provenait de l'esclavage des femmes, des hommes et des enfants servant à la satisfaction sexuelles de leur maître, qui pouvait aussi les faire travailler dans un lupanar. ( À propos de ce dernier mot, saviez-vous qu'il est dérivé de " lupa " la louve. C'est cette métaphore animale qui servait à désigner les prostituées et les courtisanes. Ainsi, la mythologique louve romaine qui aurait allaité les deux frères Romulus et Rémus n'était en réalité qu'une prostituée qui vendait ses charmes, au bord du Tibre !)

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Illustration : Prostituée au "travail", fresque de Pompei 

Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 1 janvier 2021 5 01 /01 /Jan /2021 08:00

voeux2021

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Mardi 29 décembre 2020 2 29 /12 /Déc /2020 08:00

"Les démons", roman de Simon Liberati paru en 2020 aux éditions Stock (333 pages)

C'est suite à l'écoute de l'émission "Le Masque et la Plume" sur France Inter que je me suis décidé à acheter et lire ce roman. La critique en était bonne. Il ne m'a pas été facile de pénétrer dans l'univers du roman mais, une fois dedans, impossible d'en sortir indemne...

Extrait page 21 à 24 : Années 60, région parisienne. Taïné et Serge, sœur et frère, sont seuls dans l'orangerie de la vaste demeure familiale, au bord de la Seine. À la chaleur du poêle à bois, ils sont blottis l'un contre l'autre sur le divan.

liberati-demons" Il mit la main sur ses cheveux, elle la prit dans les siennes, tira l'index, en suça le bout qui était salé et qui sentait le feu de bois, elle caressa la pulpe, les yeux fermés comme si elle le branlait ou se branlait elle-même dans l'obscurité. Près de sa joue le velours bougea, aucune femme, même la plus naïve des petites filles qu'il avait connues dans le parc, n'ignorerait le sens qu'il donnait au déhanchement presque imperceptible qu'elle sentit sous sa nuque et qui la fit basculer un peu plus dans le velours chaud et rugueux. Une odeur plus puissante que tout à l'heure remonta d'entre les plis froncés où chaque boutonnière recélait en son creux un orifice de chaleur, un rideau de bordel qui séparait l'espace de la vie normale de l'alcôve où se cachait la verge. Il ne parlait plus, au moins il ne faisait plus semblant, elle avait gagné sur ce point quelques centimètres sur la puissance du mensonge. Une fois sortie du pantalon, la verge devenait anonyme, elle oscilla dans l'air autrefois pur de l'orangerie comme celle de n'importe quel homme du monde, et il allait bien falloir que Taïné fasse les gestes ordinaires que chacun connaît pour le branler et le faire jouir.

Collées aux carreaux, d'innombrables présences invisibles les observaient. Les pans défaits de la chemise qu'elle avait écartée d'un geste brusque lui permirent de se cacher le visage. Elle releva les hanches pour retirer son pantalon de marin, qu'elle fit glisser sur ses jambes sans l'aide de son frère. Elle ne manquait pas de pudeur, au contraire, mais quelque chose d'impérieux l'obligeait à la braver aussi brutalement que possible. Remuant les pieds, elle jeta le lourd pantalon de laine au sol. Elle put enfin ouvrir les cuisses et sentir l'air froid venu de l'extérieur qui mieux qu'une lampe montrait aux présences agglutinées qu'elle était nue et qu'elle se branlait. Lui n'avait toujours pas bougé, sans doute la regardait-il mais elle n'en était pas certaine. Il demeura figé et seule la dureté de sa verge nue montrait qu'elle était pour quelque chose dans tout cela.

Entre eux la relation sexuelle était devenue obligatoire. (...) Un jour prochain ils allaient s'accoupler, elle mouilla tellement à cette idée qu'elle jouit, agitant son bassin alors qu'il venait de se décider à poser enfin la main sur elle avec force. Les présences invisibles purent se repaître de son cul. Elle s'ouvrit à elles avec son aide à lui. (...) Un mouvement de hanches lui rappela qu'il n'avait pas joui. Il se redressa, la faisant basculer dans les coussins du divan, et il s'agenouilla sur elle. C'était la première fois qu'il procédait ainsi avec elle. À cheval sur son ventre, dans une posture qu'ils adoptaient quand ils se battaient enfants. Elle releva son pull-over et sa chemise, elle était nue jusqu'au cou, il l'aida à passer la tête dans le trou, la dépouillant jusqu'à ce qu'elle soit complètement nue. Il jouit fortement, une giclée par derrière son cou dans ses cheveux les autres sur le ventre et les seins. L'odeur du foutre de jeune homme, une amande fraîche qu'on a écrasée près d'elle. Elle le tira par les oreilles, le força à la regarder. Pour une fois, il avait l'expression du cœur, pas une autre qu'il avait décidé d'afficher mais le visage de celui qui vient de jouir sur sa sœur, les yeux plus bridés, les dents plus pointues."

liberati-demons-2


Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 25 décembre 2020 5 25 /12 /Déc /2020 08:00

noel2020 

Photo qui se passe de commentaires

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Lundi 21 décembre 2020 1 21 /12 /Déc /2020 08:00

Le saviez-vous ? # 137 (3)

Suite des extraits de "La vie sexuelle à Rome" de Géraldine Puccini-Delbey 

Page 45 : croyances médicales de la Rome antique, au sujet de l'âge du mariage 

savoir137-3 leonard de vinci"Les garçons doivent être puberes, capables de consommer le mariage, c'est-à-dire capables de produire du sperme. L'origine  du sperme est expliquée par Lucrèce, qui reprend la théorie de la pangenesis d'Hippocrate. D'après ce dernier, le sperme (comme d'ailleurs le sang de la menstruation pour les filles) est diffusé dans le corps tout entier. C'est l'élément le plus puissant du fluide corporel et il commence à se répandre lorsque les veines sont devenues suffisamment larges et qu'elles le conduisent dans les parties génitales. Durant l'enfance, les veines sont trop étroites pour que le sperme puisse se diriger vers l'organe sexuel et s'y concentrer. D'autres théories existent sur l'origine du sperme. Platon soutient que le sperme émane du cerveau et de la moelle épinière. Aristote, pour sa part, estime que le sperme est un résidu du sang et que les enfants en sont dépourvus car il consument toute leur nourriture durant leur développement, tandis que les personnes âgées n'ont pas assez de chaleur pour fabriquer suffisamment de sang."

illustration : dessin anatomique de Léonard de Vinci

Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Fantasmes et écriture
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