Vendredi 19 mars 2021
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Exercices d'écriture # 3
1 : La photo
2 : Les textes
Le mari :
J’avais pris cette photo alors que son amant était là.
Il l’avait fait mettre le cul nu, lui demandant d’enfiler une paire de bas couleur chair, ce qu’elle avait
fait.
Il savait qu’Hélène de la Motte-Veuillé adorait se faire prendre en levrette.
Il l’avait ainsi installée au bord du lit, fixant lui-même l’écartement de ses jambes de manière à ce que
l’indécence soit à son maximum.
Puis il s’assit en face, me demanda d’en faire autant et de prendre une photo avec mon Samsung 8.
« Voyez-vous Comtesse, ce que l’on arrive à faire faire à une femme »
Elle voulut se relever consciente de sa position, qui ne la dérangeait jamais lorsqu’elle se faisait prendre, mais
qui comme cela, offerte aux regards de son amant en ma présence devenait un signe d’humiliation.
Il stoppa toute velléité par quelques mots : « Restez dans cette position Chère amie » et décrivit cette
anatomie féminine intime, insistant sur les grandes lèvres « qui avaient dû voir du passage », son trou du cul qu’elle ne donnait que peu souvent et jamais à moi.
Il disserta ainsi quelques minutes la laissant dans cette position.
Il se leva, déboutonna sa braguette et sortit un sexe vigoureux et dur, long et épais .
Il passa son gland allant du vagin à l’anus, la fouilla de son doigt, sentit qu’elle mouillait. Il la pénétra
allant et venant doucement sentant que le plaisir de Madame de la Motte-Veuillé montait, elle gémissait et jouissait
Lui aussi allait venait. C’est le moment qu’il choisit pour lui dire : « Attention comtesse ! »
Il se retira, mit son gland luisant du plaisir féminin contre l’anus qu’elle contracta comprenant où il voulait en
venir.
Une claque bien appliquée sur la fesse la surprit tellement qu’elle se relâcha. Il en profita pour l’enculer d’un
coup.
Elle hurla, il explosa dans son cul qu’elle avait si généreusement exposé aux regards.
L'amant :
La deuxième séance de lecture eut lieu dans le cadre plus intime d'une chambre où régnait une douce chaleur propice
à la nudité. J'avais opté pour un blason anatomique anonyme du XVIème siècle : "le blason du Q",
À quatre pattes sur le lit, savamment dévêtue et légèrement cambrée, elle me présentait son arrière-train dans son
intégrale nudité. J'ai débuté la lecture en posant le livre ouvert sur le lutrin de ses reins:
"Et si vous avez l'intelligence telle
Qu'en vous serrant le mâle vient femelle
Tout pour l'honneur et grand santé des sens
Votre savoir en vaut autre cinq cents."
À genoux, la tête penchée sur les pages, je sentais monter de sa raie culière les parfums forestiers de sa vulve et
de son anus étoilé. Tel le fidèle ayant franchi le narthex, frontière invisible entre le profane et le sacré, je me trouvais maintenant devant le tabernacle sacré de son cul. Au fil des vers et
des rimes, les effluves de son ventre se firent capiteuses, presque enivrantes. La cantique des mots opérait comme un philtre d'amour : son vagin suintait, son périnée et sa divine pastille
palpitaient d'émoi...
"Chacun connaît et voit évidemment
Que de beauté êtes le fondement,
Vous faites bien et mal si vous voulez
Vous savez tout et les secrets célés."
Il était temps pour moi d'y porter les lèvres, d'embrasser à pleine bouche le Saint Fondement, de le sucer à la
manière d'un galet en sucre, d'y darder la pointe de la langue pour en savourer les saveurs ténébreuses. Elle en a gémi...
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