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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
1. La photo
2. Les textes
Le mari.
Assise sur la terrasse d’un hôtel du Périgord, Hélène de la Motte-Veuillé était en pleine conversation téléphonique. Elle buvait un verre en compagnie de son mari.
Un peu vautrée sur son fauteuil de jardin, les jambes croisées, sans aucune pudeur, laissant apparaître, selon l’angle de vue, son string, puisqu’elle ne portait que ce type de sous-vêtement.
Elle téléphonait, mais s’apercevait qu’un homme la regardait fixement, que son regard allait de bas en haut, s’arrêtant longuement sur ses jambes.
Elle ne fit rien pour modifier sa position.
Ses lunettes de soleil masquaient la direction de son regard, mais elle détaillait cet homme comme celui-ci la détaillait.
Elle continuait sa conversation téléphonique le plus naturellement du monde. Laissant ses cuisses découvertes.
Avec sa main gauche elle jouait avec la clef de la chambre dont la large plaque porte-clef laissait voir le numéro.
Sa conversation terminée, elle dit à son mari qui était assis à côté d’elle." Je pense ne pas être indifférente au bel homme qui ne cesse de me regarder. Soyez assez aimable, de lui dire de venir s’asseoir boire un verre avec nous ce soir après le dîner dans notre chambre. Il en connaît certainement le numéro. Vous adorez me voir être baisée par un autre, je serai ravie de vous faire encore une fois ce plaisir."
L'amant.
C'était une belle journée d'été, ensoleillée mais pas encore caniculaire. Je suis passé au manoir en fin d'après-midi ; comme je l'avais pressenti, Hélène s'était installée dans le parc, à l'ombre d'un parasol pour profiter du beau temps. Une fois épuisées les formules de politesse d'usage, j'ai pris l'air faussement surpris de ne pas voir son mari que je savais absent pour la journée et à plus de deux heures de route de là.
- Il a un rendez-vous d'affaires, je crois... Il ne rentrera que cette nuit, me confirma Hélène avant de me proposer un rafraîchissement.
Elle était ravissante, les jambes nues joliment hâlées, vêtue d'une jupe de cotonnade unie toute simple et d'un polo rose pâle.
- Qu'allez-vous me lire aujourd'hui ? Une de vos nouvelles ?
- Non, mais je peux vous dire un sonnet de Louise Labé... Je le connais par cœur. Le premier quatrain est remarquable.
- Alors, je vous écoute.
Baise m'encor, rebaise-moi et baise :
Donne m'en un de tes plus savoureux,
Donne m'en un de tes plus amoureux,
Je t'en rendrai quatre plus chauds que braise.
Aux derniers mots, elle me parut soudain très pensive, le regard dans le lointain.
- C'est une femme qui a écrit ces vers ? Louise Labé, vous dites ?
- Oui, une poétesse de la Renaissance.
- Dites le moi encore...
Mais alors que je venais d'achever le dernier vers, son portable sonna. Hélène me fit signe de la main pour me demander le silence. Elle entra en grande conversation avec quelqu'un qu'elle tutoyait. Cependant, sans cesser de parler, elle a retroussé sa robe et m'a montré ses cuisses nues. C'était une invitation. Alors, quittant ma chaise, je me suis mis à quatre pattes sur le gravier, et, tel un chien en chasse, je suis venu fourrer ma tête sous sa robe, entre ses jambes écartées, la truffe à la recherche de sa fente en chaleur.
C'est ainsi, alors qu'elle parlait au téléphone des petits riens du quotidien, que je lui ai lapé la vulve, sucé le clitoris, enfoncé ma langue dans le vagin qui débordait de son désir et de ma salive mêlés. Elle avait posé sa main libre sur ma nuque pour maintenir ma bouche ventousée à son ventre.
La conversation prit fin :
- C'est entendu. Bonne route, mon chéri, sois prudent. À ce soir.... C'était mon mari... Il vous passe le bonjour.
Puis, le ventre ouvert, elle s'est laissée aller en arrière sur sa chaise et a murmuré :
Baisez-moi encor, rebaisez-moi et baisez...
Cliquez sur les liens ci-dessous pour lire ou relire les exercices précédents :
Les dessinateurs du Canard Enchaîné n° 5257 du mercredi 11 août n'ont pas manqué de célébrer à leur manière la publication du rapport très alarmiste du GIEC. Je vous en ai sélectionné deux qui m'ont semblé représentatitfs de notre désarroi mais aussi de notre légerété face à la catastrophe annoncée.
Dessin de Lefred-Thouron Dessin de Chappatte
Tatiana de Rosnay : "Spirales". Roman paru en 2008 aux Editions Héloïse d'Ormesson. Collection Le Livre de Poche n° 32873 (185 pages)
Hélène, une quinquagénaire paisible, mariée, mère de deux enfants, se laisse aller à une aventure éphémère avec un inconnu.
Extrait, pages 23 à 25.
" − Je vous attendais, dit-il. j'étais sûr que vous alliez revenir.
Hélène était comme hypnotisée. Elle ne pouvait plus parler. Elle ne pouvait plus que regarder cet homme qui avait encerclé son poignet de ses doigts. Il prit sa main, l'ouvrit, saisit la clef qu'elle serrait de toutes ses forces.
− Rangez ça, murmura-t-il.
Elle glissa la clef dans la poche de sa robe.
− Venez, ordonna-t-il avec un sourire. Venez avec moi. Maintenant.
Il avait toujours cet accent indéfinissable. La chaleur écrasante semblait la pousser vers lui. Elle se liquéfiait, se désintégrait. Elle n'avait plus de substance. Elle ne pensait plus. Le suivre maintenant ? Oui, elle le devait. Elle le voulait. Elle était venue pour ça.
Une porte cochère à la peinture écaillée, une cour délabrée, une autre porte, puis un petit appartement sombre, étouffant de chaleur. Elle ne remarqua pas le désordre, la saleté. Elle ne voyait que l'homme debout devant elle qui, d'un geste brutal, défit les boutons de sa robe. Elle ne voyait que les mains qui prenaient possession de la moiteur de sa peau.
L'homme parlait, disait qu'elle était belle, qu'elle était excitante, qu'il allait la faire jouir. Hélène n'avait pas l'habitude de ces mots-là. Elle les savoura comme un dessert nouveau. L'homme était pressé, haletant. Mais il souhaitait avant tout lui donner du plaisir. Il s'agenouilla devant elle, enfouit son visage entre ses cuisses nues.
Pendant un très court instant, Hélène revint à elle. Elle se vit, plaquée contre le mur décrépi d'une pièce désordonnée. Elle vit la tête d'un étranger contre son ventre, une épaisse chevelure sombre. Elle vit les mains d'un étranger, les ongles noirs de crasse, agrippées à ses hanches. Elle faillit hurler, le repousser, s'enfuir. Les lèvres de l'étranger lui procuraient un plaisir inconnu.
Impossible de s'en aller. Impossible de faire autre chose que de rester rivée à lui, incandescente. Elle ne savait plus qui elle était. Elle s'en fichait. Seul importait cet homme.
Sa jouissance était presque douloureuse tant elle la vida. Il y eut du noir devant ses yeux, une pression sur ses tempes. Elle vacilla. L'homme la rattrapa. Ses yeux étaient fiévreux, son visage presque hagard. Il parlait, mais elle ne l'entendait plus. Il la guida vers un lit défait, retroussa davantage la robe froissée. Tout se passa très vite. Il était en elle.
Au début, elle le subit, affolée, confuse. mais petit à petit, sa jouissance toute récente sembla se raviver, se décupler. C'était une sensation à la fois exquise et insupportable. Le centre du monde, cette chambre brûlante comme un four, cet inconnu qui pétrissait son corps, les grognements et les cris qu'elle n'avait pas l'impression de pousser, mais qui venaient pourtant d'elle. Leurs chairs rendues glissantes par la sueur se collaient l'une à l'autre avec un bruit mat de ventouse.
Le temps s'était arrêté. Il n'y avait plus pour Hélène que cet accouplement sauvage, charnel dans lequel elle puisait une volupté frénétique. Elle ne voulait pas que cela finisse, elle subodorait déjà dans les mouvements de l'inconnu qu'il allait jouir, alors elle ferma les yeux pour garder au plus profond d'elle, au plus intime, ce qu'elle était en train de vivre.
Avec un râle, presque un cri, l'homme s'écroula sur elle, l'écrasant de son poids. Yeux toujours fermés, elle accueillit ce corps étranger qu'elle enveloppa de ses bras avec une sorte de tendresse. Elle avait envie de lui dire merci, merci pour tout ce qu'elle n'avait jamais connu et qu'elle découvrait à cinquante ans, grâce à lui. Elle sentit son souffle chaud contre son oreille, puis il eut un soubresaut, comme un dernier spasme de plaisir.
Le calme tomba sur leurs deux corps toujours luisants de sueur. Elle se sentait bien avec cet homme blotti dans ses bras comme un enfant. Comme il était apaisé, silencieux, après l'orage de cette possession si brutale. "
"Biblio Paradiso", le titre de mon article fait bien sûr référence au film "Cinéma Paradiso" (film italien de 1988, réalisé par Giusseppe Tornatore) et plus particulièrement à la scène finale où le cinéaste interprété par Jacques Perrin visionne toutes les chutes de films accumulées pendant des années et montées par le projectionniste du cinéma qui vient de décéder dans l'incendie de son cinéma (personnage interprété par Philippe Noiret). Ces chutes ne sont constituées que de scènes de baiser interdites par la censure fasciste et donc coupées par le projectionniste avant la projection. La séquence est très émouvante.
Toutes proportions gardées, mes articles regroupés sous la rubrique "Lectures X" procèdent du même projet. Evidemment, il n'est pas question ici de censure, mais mon but est de proposer aux lecteurs, pour chaque roman, un extrait qui parle de sexe, de constituer "une petite anthologie des scènes de cul" de ma bibliothèque personnelle. À ce jour, j'en suis à plus de 400 extraits...
Andreï Makine, "Le testament français". (343 pages) paru aux éditions Mercure de France, disponible en collection Folio n° 2934. Ce roman a obtenu en 1995 le Prix Goncourt, le prix Médicis et le prix Goncourt des lycéens
Pages 236-237 : En compagnie de son ami Pachka, le narrateur alors âgé d'une quinzaine d'années, se glisse un soir le long de la coque d'une péniche amarrée au bord de la Volga. Par les hublots mal fermés par du contreplaqué, ils espionnent ce qu'il se passe à l'intérieur.
"Je me collai au hublot de gauche (...). Ce que je vis à travers la fente était à la fois banal et extraordinaire. Une femme dont je ne voyais que la tête, de profil, et le haut du corps, semblait accoudée à une table, les bras parallèles, les mains immobiles. Son visage paraissait calme et même ensommeillé. Seule sa présence, ici, dans cette péniche, pouvait surprendre. Quoique après tout... Elle secouait légèrement sa tête aux cheveux clairs frisés, comme si, sans arrêt, elle approuvait un interlocuteur invisible. (...) Je me déplaçai vers le hublot voisin, me noyant dans l'une des fissures dont était perforé le bois qui le bouchait, en essayant de retenir dans mon regard la vision qui venait de m'aveugler.
C'était une croupe féminine d'une nudité blanche, massive. Oui, les hanches d'une femme agenouillée, vue toujours de côté, ses jambes, ses cuisses dont la largeur m'effraya, et le début de son dos coupé par le champ de vision de la fente. Derrière cette énorme croupe se tenait un soldat, à genoux lui aussi, le pantalon déboutonné, la vareuse en désordre. Il empoignait les hanches de la femme et les tirait vers lui comme s'il voulait s'enliser dans cet amas de chair qu'il repoussait en même temps par des secousses violentes de tout son corps. (...) Je fis un pas à gauche, me retrouvant près du premier hublot. Je serrai le front contre son cadre d'acier. Dans la fente apparut la femme aux cheveux frisés, au visage indifférent et sommeilleux, celle que j'avais vue d'abord. Accoudée sur ce qui ressemblait à une nappe, vêtue d'un chemisier blanc, elle continuait à acquiescer par des petits hochements de tête et, distraitement, elle examinait ses doigts...
Ce premier hublot. Et le deuxième. Cette femme aux paupières lourdes de sommeil, son habit et sa coiffure très ordinaires. Et cette autre. Cette croupe nue dressée, cette chair blanche dans laquelle s'enlisait un homme paraissant fluet à côté d'elle, ces épaisses cuisses, ce mouvement pesant des hanches. Dans ma jeune tête affolée, aucun lien ne pouvait associer ces deux images. Impossible d'unir ce haut d'un corps féminin à ce bas !
Pages 249-250 : (ma double appartenance à la culture russe et française) scindait la réalité en deux. Comme elle avait fait avec le corps de cette femme que j'espionnais à travers deux hublots différents : il y avait une femme en chemisier blanc, calme et très ordinaire, et l'autre — cette immense croupe rendant presque inutile, par son efficacité charnelle, le reste du corps. Et pourtant , je savais que ces deux femmes n'en faisaient qu'une."
Frédéric Beigbeder, "L'amour dure trois ans"
Extrait n° 3 : pages 177 et179
Séjour à l'hôtel sur l'île de Formentera, en compagnie de son ami Jean-Georges
" Nous jetons des œillades à la serveuse. Elle est à croquer, porte un boléro, sa peau mate est légèrement duveteuse, grands yeux noirs, se tient cambrée, farouche comme une squaw. (...) La serveuse en robe dos nu s'appelle Matilda. Elle est booonne. Jean-Georges lui a chanté la chanson de Harry Belafonte : Matilda she take me money and run Venezuela. (...) Au bar de Ses Roques, nous l'avons invitée à danser. Elle tapait dans ses mains mates, ondulait des hanches, sa chevelure tourbillonnait. Elle avait des poils sous les bras, Jean-Georges lui a demandé :
- Pardon Mademoiselle, nous cherchons un endroit où dormir. Vous n'auriez pas de la place chez vous, por favor ? (...)
De retour à la Casa, complètement raide, Matilda a saisi ma queue à bras-le-corps. Elle avait une chatte géante mais musclée qui sentait les vacances. Ses cheveux puaient la sinsemilla. Elle criait si fort que Jean-Georges a rempli sa bouche pour la faire taire ; ensuite nous avons échangé les places avant d'éjaculer en chœur sur ses gros seins fermes. Juste après avoir joui, je me suis réveillé en sueur, mort de soif. Un véritable ermite ne devrait pas trop abuser des plantes exotiques."
Vu en une du Canard Enchaîné n° 5254 du mercredi 21 juillet 2021, ce dessin de Mougey dont je vous laisse apprécier l'humour coquin
Frédéric Beigbeder, "L'amour dure trois ans"
Extrait n° 2. pages 112-113
" Désormais, quand j'ai bu des alcools délayés, je marmonne seul, comme un clochard. Je vais me branler dans une cabine de projection vidéo, 88 rue Saint-Denis. Je zappe entre 124 films pornos. Un mec suce un Noir de 30 cm. Zap. Une fille attachée reçoit de la cire sur la langue et des décharges électriques sur sa chatte rasée. Zap. Une fausse blonde siliconée avale une bonne gorgée de sperme. Zap. Un mec cagoulé perce les tétons d'une Hollandaise qui hurle "Yes, Master". Zap. Une jeune amatrice inexpérimentée se fait enfoncer un godemiché dans l'anus et un dans le vagin. Zap. Triple éjac faciale sur deux lesbiennes avec pinces à linge sur les seins et le clitoris. Zap. Une obèse enceinte. Zap. Double fist-fucking. Zap. Pipi dans la bouche d'une Thaïlandaise encordée. Zap. Merde, je n'ai plus de pièces de 10 francs et je n'ai pas joui, trop ivre pour y arriver. Je parle tout seul dans le sex-shop en faisant des moulinets avec les bras. J'achète une bouteille de poppers. Je voudrais être copain avec ces ivrognes de la rue Saint-Denis qui crient en titubant que les plus belles femmes du monde étaient à leurs pieds, dans le temps."
Le sex-shop du 88 de la rue Saint-Denis
Frédéric Beigbeder : "L'amour dure trois ans", roman paru en 1997 aux Éditions Grasset & Fasquelle. Disponible en Poche Folio n° 3518 ( 194 pages)
Extrait 1 : pages 103-105. Le narrateur, Marc Marronnier, nous parle de sa relation amoureuse avec Alice, sa maîtresse.
" Alice considère le sexe, non comme une obligation, mais comme un jeu dont il convient de découvrir les règles avant, éventuellement, de les modifier. Elle n'a aucun tabou, collectionne les fantasmes, veut tout explorer. Avec elle, j'ai rattrapé trente années de retard. Elle m'a appris à caresser. Les femmes, il faut les effleurer du bout des doigts, les frôler avec la pointe de la langue : comment aurais-je pu le savoir si personne ne me l'avait dit ? J'ai découvert qu'on pouvait faire l'amour dans un tas d'endroits (un parking, un ascenseur, des toilettes de boîtes de nuit; des toilettes de train, des toilettes d'avion, et même ailleurs que dans les toilettes, dans l'herbe, dans l'eau, au soleil) avec toutes sortes d'accessoires (sados, masos, fruits, légumes) et dans toutes sortes de positions (sens dessus dessous, sans dessous dessus, à plusieurs, attaché, attachant, flagellant de Séville, jardinier des Supplices, distributeur de jus de couilles, pompe à essence, avaleuse de serpents, domina démoniaque, 3615 Nibs, gang-bang gratos aux chandelles). Pour elle, je suis devenu plus qu'hétéro, homo ou bisexuel : je suis devenu omnisexuel. Pourquoi se limiter ?
Je veux bien baiser des animaux, des insectes, des fleurs, des algues, des bibelots, des meubles, des étoiles, tout ce qui voudra bien de nous. Je me suis même trouvé une étonnante capacité à inventer des histoires plus abracadabrantes les unes que les autres rien que pour les lui susurrer dans le creux de l'oreille pendant l'acte. Un jour j'en publierai un recueil qui choquera ceux qui me connaissent mal. En fait, je suis devenu un authentique obsédé pervers polymorphe, bref, un bon vivant. Je ne vois pas pourquoi seuls les vieillards auraient le droit d'être libidineux.
En résumé, si une histoire de cul peut devenir une histoire d'amour, l'inverse est très rare."
Ma représentation personnelle du couple d'amants, Alice et Marc
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