Aujourd'hui, lundi 5 septembre, c'est la rentrée des classes. On se dit que cela ressemble plus ou moins à ça :
Mais, imaginez un instant que cela se passe tout autrement ...
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Aujourd'hui, lundi 5 septembre, c'est la rentrée des classes. On se dit que cela ressemble plus ou moins à ça :
Mais, imaginez un instant que cela se passe tout autrement ...
ZOOM n° 83, septembre 1981. Spécial mode
- Couverture signée Lane Pederson (photographe américain originaire du Minnesota)
- Photographie de Florence Chevallier, née en 1955 à Casablanca, elle réalisa ses premiers autoportraits photographiques en 1979. Autoportrait photographique, à l’époque exposé au Centre Pompidou, dans le cadre d’une expo sur ce thème.
- Série de photographies de Dominique Issermann. ( née en 1947) Il s’agit de clichés réalisés pour les collections de Sonia Rykiel. La première est sans doute l’une des plus connues de l’artiste.
« Je ne perds pourtant pas le point de vue du portrait et ce n’est pas parce que, dans cette affaire, le mannequin a perdu son visage (sous le chapeau) que ce n’est plus un portrait de femme : la façon dont Anne Rohart penche la tête, plie son poignet, même de dos, le chapeau baissé, ne compose pas une nature morte. »
« Ensuite, dans la deuxième collection, je voulais montrer de plus près le vêtement, mais je restais impressionnée par la puissance de la silhouette ; et cela a donné les vis-à-vis avec leur ombre. D’ailleurs, les vis-à-vis, les doubles, les triples, masculin-féminin ou copies conformes, sont suggérés complètement pas Sonia dans les défilés. »
« Composer, isoler un détail, un trait qui raconte le reste du vêtement, et, surtout dans le cas des cahiers de publicité de Vogue, une image qui doit rendre compte d’une collection entière sur ce qui la rend singulière d’une année sur l’autre en même temps que sur ce qui lie indissociablement une collection à l’autre au fil du temps. »
- Une autre série, en couleur cette fois, de photographies signées Erwin Blumenfeld. (1897-1963), déjà
présenté dans ce magazine. Il s'agit là d'une représentation sublimée de la femme, élevée au statut d'icone. Aujourd'hui cela peut apparaître à certains d'entre nous désuet ou trop
daté.
- Pour terminer deux photos de Steve Hiett ( né en 1940 en Grande-Bretagne )
CHANSON GALANTE
( toujours tirée du recueil "cantilènes en gelée")
Où tu sais
Un pot de Khonfiture
De groseilles de saison
Ma Lison
Bien rouges et bien mûres.
À coups de langue mutins
Le matin
Je prélèverai ma dose
Et tu prendras en retour
Mon amour
Ta ration de gyraldose.
Peter FENDI est un artiste autrichien né en 1796 et décédé en 1842. Son œuvre la plus connue est composée d’aquarelles érotiques ou pornographiques. Les femmes de Fendi arborent des fessiers plus que généreux. Quant aux tableaux licencieux, ils représentent dans un décor très sobre des scènes de genre mêlant caresses, accouplements et amours en groupe. La série présentée ici que j’ai intitulée «acrobates » constitue une suite logique à l’article d’hier : « La piste aux étoiles »
Au cirque
« Le cirque est un petit bout d’arène close, propre à l’oubli. Un temps plus ou moins bref, il nous permet de ne plus penser à nous, de nous dissoudre dans l’émerveillement et la félicité, d’être transportés de mystère » ( Henry Miller in « Le sourire au pied de l’échelle »)
La luxure est dans les sous-bois
« La forêt, c’est encore un peu de paradis perdu. Dieu n’a pas voulu que le premier jardin fût effacé par le premier péché. » (
Marcel Aymé)
« Dieu est grand mais la forêt est encore plus grande. » ( Proverbe brésilien)
« Tu trouveras bien plus dans les forêts que dans les livres » ( Saint-Bernard de Clairvaux)
« Les forêts ont une fonction sacrée » (louis Nucera)
« Rien n’est moins vierge qu’une forêt » (Jacques Prévert)
« Une forêt au fond d’un vallon comme le buisson d’un sexe »
( Sylvain Tesson)
L’amour est dans le pré
« L’air frais des champs, voilà notre vraie place ; il semble que là l’esprit de dieu entoure l’homme, et qu’il soit soumis à une influence divine » ( Goethe )
« Même la petite rosée fait prospérer le champ » (Christian
Jacq )
« Il ne faut pas mettre toute sa semence dans le même
champ » ( proverbe anglais )
Sophie CADALEN, « Jazz » in « Femmes amoureuses » (nouvelles érotiques) Editions Blanche 2005 (Pocket 12558)
Elle a 45 ans, elle a invité Denis, 22 ans, à partager un dernier verre…
« Elle se glisse à ses pieds, se met à genoux devant lui, pose le verre dont il n’a su se défaire. Elle ouvre on pantalon
et le lui enlève avec toute l’autorité de sa fièvre. Toujours assis sur le canapé, il se laisse déshabiller par cette mère impatiente qui presse le mouvement. Elle lui ôte le slip. S’arrête et
contemple la verge presque trop grande pour ce corps si frêle. Lui-même ne la connaissait pas
si arrogante. Elle la caresse, en évalue la pression, décide de lui épargner une fellation qui, elle en est sûre, abrègerait leurs ébats d’une irrépressible éjaculation. Elle se rassoit sur
le canapé, sur lui, sur sa bite. À califourchon, elle s’enfile, preste et fluide, sur l’engin dressé. Le jeune homme est avalé par la femme, aspiré en des profondeurs inconnues, effrayantes, mais
tellement bonnes, tellement mouillées, tellement souples et tellement tièdes. Elle s’enfonce doucement, s’écrase sur lui, mêle sa toison à la pilosité clairsemée de Denis, cherche à l’emmener
plus loin en elle, jusqu’à buter sa matrice, jusqu’à la défoncer. Il fourrage à nouveau ses seins pendant qu’elle se lève et se rassoit, qu’elle va et vient le long de sa verge, qu’elle se lime
et s’énerve au rythme de ses reins. Sa cadence est rageuse, elle veut jouir, jouir, jouir, elle veut décoller, elle veut s’envoler sur la piste de cette queue, elle veut s’immoler sur cette
torche, cadeau d’un ciel auquel elle ne croit pas.
Le jeune homme ne résiste pas aux accélérations du bassin qui l’engloutit et le vomit, qui l’assaille vigoureusement. Il décharge soudain, la transperce de sa semence, il s’épanche et se répand en elle, tout au fond d’elle, jusqu’au bout d’elle. »
Commentaire : recueil de nouvelles très inégal, comme c’est souvent le cas dans ce genre de compilation. Certaines histoires sont vraiment excitantes, d’autres s’apparentent
plutôt à des exercices de style ( un peu forcés et artificiels) et n’ont d’érotique que le nom de leurs auteures
ZOOM n° 82, juillet-août 1981
- Photo de couverture de Jim Greenberg
- Trois photographies signées Jean-Claude Palisse ( né en 1951 à Paris, Aujourd’hui, vit et travaille à Bruxelles). Photos où l’on voit que l’érotisme d’une image ne tient parfois qu’à un tout petit détail : un pli de tissu, un téton qui pointe sous la maille d’un lamé, un minuscule triangle de peau nue à la lisère d’un bas ou encore une constellation de taches de rousseur dans l’échancrure d’un blouson.
- Une série de photographies publicitaires de Ryszard HOROWITZ ( né en 1939 en Pologne, déjà présenté dans le magazine ZOOM )
affiche d’auto-promotion
Publicité pour une firme pharmaceutique pour illustrer des douleurs gastriques.
Photos destinées à la version allemande de Playboy pour illustrer les moments de la journée d’un homme qui fantasme sur les femmes ( le rasage du matin, la première cigarette)
Couverture d’un album consacré au violoniste électrique Michael Urbaniak : « L’extase ». Cette image a été attaquée par un groupe féministe américain parce qu’elle donnait une image avilissante de la femme
Photo d’une campagne publicitaire pour des collants spéciaux pour femmes « fortes ».
Enfin, une galerie de tableaux du « merveilleux petit théâtre » de François Gillet (né en 1949, installé à Stockholm, lui aussi déjà plusieurs fois présenté dans le magazine ZOOM). À revoir ces images, je me dis que Tim Burton les a forcément vues et s’en est inspiré pour certains de ses films comme « Charlie et la chocolaterie » ou « Alice au pays des merveilles »
Lucrèce BORGIA ( 1480-1519) était la fille naturelle de Rodrigo Borgia (il deviendra pape sous le nom d’Alexandre VI) et de Vannozza Catenei (une noble romaine) Lucrèce est passée à la postérité pour ses prétendues relations incestueuses avec son père et son frère, César Borgia. Sa mort prématurée fut causée par une septicémie contractée en couches à la naissance de son énième enfant. Au-delà d’une vie scandaleuse, deux éléments font l’unanimité : son exceptionnelle beauté et son amour des arts.
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