Dimanche 3 juillet 2011 7 03 /07 /Juil /2011 09:24

ZOOM n° 76, novembre-décembre 1980

- Couverture de Chris Thomson

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- Deux portraits réalisés par Doug Metzler, photographe new-yorkais qui a entre autres travaillé avec Antonioni sur le film « Blow up ». Ensuite, il s’est consacré à la peinture.

Patti Smith, 1975

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Rainbow Green, danseuse, 1976

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- Oeuvres de Richard Cerf, né au Maroc en 1950

- Présage

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- L’unique

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- Un exil bleu

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- Elle se nourrissait de thym et de miel

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- Une nouvelle série de photos de Chris Thomson ( déjà présenté dans le numéro précédent à propos de sa campagne pour la bière Heineken) Recherches personnelles en studio.

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- Trois compositions de Pierre Commoy et Gilles Blanchard, concepteurs et auteurs de photos publicitaires.

Eva

(on dirait qu'il s'agit d'Eva Ionesco, mais je n'en suis pas sûr... Si quelqu'un peut me renseigner)

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Marie-France

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Zuleika

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 2 juillet 2011 6 02 /07 /Juil /2011 10:04

Attention aux contrepéteries !

 

Il court, il court, le furet,

Le furet des bois, mesdames.

Il court, il court, le furet,

Le furet du bois joli

 

Le furet est bien caché

Le furet des bois, mesdames.

Pourras-tu le retrouver ?

Le furet du bois joli

 

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Vendredi 1 juillet 2011 5 01 /07 /Juil /2011 14:14

Fondation de France. France : le pays ou la femme ?... On se sait plus...

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Jeudi 30 juin 2011 4 30 /06 /Juin /2011 13:39

Changement d'époque, énorme ellipse narrative ! Nous voici plongés dans le XXIème siècle. Adam et Eve ne sont plus au jardin d'Eden mais dans les mailles virtuelles d'Internet. On n'y parle plus ni de fruit défendu, ni d'arbre de la Connaissance... C'est le monde du sexe sans tabou.

Alors les voilà, nos Adam et Eve d'aujourd'hui. Ils sont comme le reflet de notre époque : mélange d'exhibitionnisme et de tendresse... Il suffit de regarder les gestes, de suivre les regards pour y découvrir au-delà de l'impudeur beaucoup d'humanité et d'amour... Je vous laisse juges...

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Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 29 juin 2011 3 29 /06 /Juin /2011 17:17

Après Cranach, voici une nouvelle galerie de tableaux représentant le couple myhique. Ce n'est pas tant le coup de la pomme qui importe que le décor dans lequel ils sont représentés... Cachent-ils leur sexe ou sont-ils encore à nu, ce qui sous-entend que le fuit défendu n'a pas encore été consommé ? A ce propos, avez-vous remarqué qu'Adam a un tout petit zizi rabougri et qu'Eve une esquisse de fente ?... Ne seraient-ils pas que de grands enfants au ventre prépubère ? Regardez aussi leurs gestes : il y en a parfois d'une grande tendresse, d'autres plus énigmatiques, comme l'avant-dernier tableau où on les voit dans une position très équivoque, plus proche d'un couple déjà rompu aux plaisirs amoureux. ( je n'ai pas indiqué le nom des auteurs mais vous n'avez qu'à vous référer d'un simple clic droit aux propriétés des docs)

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera
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Mardi 28 juin 2011 2 28 /06 /Juin /2011 09:26

Lucas Müller, dit Lucas Cranach L’Ancien est né en 1472 à Kronach (Allemagne) et décédé en 1553 à Weimar.

« Afin de répondre à la demande pressante des villes et principautés converties à la Réforme, la production de son atelier devint sérielle. Cranach propose alors plusieurs variations iconographiques d’un même thème (ici, celui d’Adam et Eve). Comme de nombreux artistes de son temps, il travaille avec des livres de modèles, gravés, qui offrent à ses élèves un catalogue de corps, de visages, de mains ou d’animaux, prêts à l’emploi et réagençables à volonté. Ces séries d’images ont été longtemps jugées comme une forme de standardisation , et donc d’appauvrissement de l’art original du peintre. Il faut plutôt les comprendre comme une réponse nécessaire au combat pour la défense d’une foi en expansion »

D’après le texte de Naïma Ghermani pour le catalogue de l’exposition « Cranach et son temps », Musée du Luxembourg ( du 9 février au 23 mai 2011 ) 

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera
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Dimanche 26 juin 2011 7 26 /06 /Juin /2011 10:52

ZOOM n°75, Spécial Photokina

Couverture réalisée par Ingo Harney, photographe publicitaire né à Berlin en 1947

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- Galerie de nus féminins de Michaël RUSS, né en 1945 à Berlin mais installé aux USA en 1960.

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- Campagne publicitaire pour Heineken réalisée par Chris THOMSON

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- Une photographie signée Laura PETTIBONE

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- Trois œuvres de Clarence John LAUGHLIN, écrivain et photographe américain né en 1905 en Louisiane

Le lit qui fait horreur, 1941

« Cette photo devient l’image d’un mariage sans amour, supporté à cause des conventions ou pour des nécessités économiques. La maison s’est laissé mourir de frustration et le lit matrimonial s’est désintégré, en devenant une tête monstrueuse dont le mufle est posé sur la hanche d’une silhouette sans nom, vêtue de noir. À force de désillusion et de répugnance, la tête, comme toute la pièce, en a été marquée. »

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Les masques se posent sur nous, 1947

«  Dans notre société, la plupart d’entre nous portent des masques pour se protéger, des masques psychologiques de toutes sortes et pour diverses raisons. Très souvent, les masques prennent possession de nous, changent nos traits originels et représentent le personnage que nous prétendons être. Ce processus est indiqué ici en termes visuels et symboliques par plusieurs expositions du même négatif – le facteur déroutant étant que le masque superposé est comme la fille elle-même, et devient plus dur et plus superficiel. »

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Celui qui n’est pas encore né, 1941

«  Sur un fond évoquant la nudité, la silhouette avec une main de névrotique et un visage privé d’émotion, devient le symbole de toutes les femmes dont le désir de maternité a été bafoué par les conditions mêmes de notre société. Remarquez la petite tête dans le cadre, qui suggère à la fois celle d’un vieillard et celle d’un enfant et qui exprime les promesses irréalisées d’une génération qui n’est pas venue au monde. »

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 25 juin 2011 6 25 /06 /Juin /2011 09:11

Boris VIAN

Un homme tout nu marchait

extrait du recueil de poèmes : « Je voudrais pas crever »

 

Un homme tout nu marchaitpub-visa

L’habit à la main

L’habit à la main

C’est peut-être pas malin

Mais ça me fait rire

L’habit à la main

L’habit à la main

Ah ah ah ah ah ah ah

Un homme tout nu

Un homme tout nu

Qui marchait sur le chemin

Le costume à la main.

 

 

Cet été, je consacrerai plusieurs articles aux poèmes érotiques de Boris Vian, tirés de l’ouvrage intitulé « Cantilènes en gelée » et paru aux éditions 10/18 en 1970 (n° 517 )

Quant au rapprochement avec la pub pour la carte Visa, il m'a paru comme allant de soi

 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 24 juin 2011 5 24 /06 /Juin /2011 07:32

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Par michel koppera - Publié dans : sapho - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 23 juin 2011 4 23 /06 /Juin /2011 10:35

La Nue, Michel Bernard

Editions Cercle Poche, n° 63, 2004  ( Editions “L’or du temps », 1969 )

lanue

Pages 43-44

lanue4« Fé quitte la salle Louis XV, dont le carrelage évoque trop précisément le jeu du narrateur, et gagne un boudoir pentagonal , entièrement tapissé de miroirs (murs, planchers, plafond), meublé de gonflables transparents. Nulle fenêtre, nulle source visible d’éclairage, mais une douce lumière cependant, ce qui s’explique par le fait que quatre des miroirs latéraux sont sans tain et cachent derrière leur surface trompeuse des candélabres. Fé referme la porte, s’accroupit. Elle ne peut se retenir de pisser en ce lieu où rôde la magie. L’urine forme une grossière étoile d’or sur le miroir ainsi brouillé, et Fé y voit l’image vorace de son sexe. Ensuite, elle s’étend sur l’un des sofas de plastique et guette dans la perspective infinie des répétitions suggestives les frémissements de ses cuisses. Si l’os poli qu’elle glisse en elle ne suffit pas à les provoquer – ce qui peut arriver, quand elle a déjà beaucoup joui - , elle invoque alors la scène suivante : sur ce même sofa, nue et fardée comme elle ( les yeux, les ongles), une autre qui lui ressemble à s’y méprendre se livre au même manège. Mais au lieu de se contempler dans les miroirs, elle regarde – sans la voir, bien sûr – Fé qui la guette derrière l’un des panneaux sans tain. Fé l’imite, et bien que cela soit ordinairement impossible, c’est du même os qu’elle se sert ; en sorte que, avec un seul et unique objet, et bien que séparées par une cloison, fût-elle de verre, elles se posséderaient mutuellement. L’effet ne tarde pas, Fé tremble de tout son corps, et elle n’a pas trop de ses mains, de toutes ses mains, pour maintenir tous ces corps  sur leurs couches respectives. Elle en déduit que le lieu est propice à la lévitation. »

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Commentaire : bon livre, langue  intéressante et riche.  Cadre spatio-temporel très mystérieux, parfois déroutant. Analyse de rapports humains complexes (domination/soumission, recherche d'identité...)

lanue5

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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