Vendredi 25 mars 2011 5 25 /03 /Mars /2011 15:54

Au rayon fruits et légumes : corbeille de fruits.

corbeille1

«  Le ventre de la femme est un jardin qui porte toutes sortes de fruits » (proverbe arabe)

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«  Tout âge porte ses fruits, il faut juste savoir les cueillir » ( Raymond Radiguet)

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«  Ce que nous recherchons, c’est le fruit défendu. Sans lui, le Paradis n’est pas pour nous le paradis. » (Pouchkine)

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« Il ne faut pas attendre d’avoir de fausses dents pour mordre dans le fruit défendu » ( Jacques Deval)

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« La femme est comme une coupe d’argent où nous déposons nos fruits d’or » (Kant)

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Jeudi 24 mars 2011 4 24 /03 /Mars /2011 12:57

ephemeride16

Le onze novembre, le jour de l’armistice,

Tout près de la flamme du soldat inconnu,

Elle se chauffe les fesses et le haut des cuisses

Pendant qu’un militaire lui mate le cul.

ephemeride16-Soleil cybil

Puis, vient Noël, les cadeaux au pied du sapin :

Une queue dans la bouche, une autre dans la chatte,

Telle une vraie chienne, cambrée, à quatre pattes,

Sofia offre son cul de divine putain.

ephemeride17ephemeride17-1

Enfin, l’année se termine en apothéose,

En grande partouze. Aux douze coups de minuit,

On lèche, on se suce, on baise, on s’encule, on jouit…

La vie est si brève et la mort si peu de chose.

 

© Michel koppera, mars 2011

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Mercredi 23 mars 2011 3 23 /03 /Mars /2011 12:30

Au bal populaire du quatorze juillet,

Sofia danse avec deux légionnaires en rut

Qui font valser son cul et la traitent de pute,

De femme de marin au con toujours mouillé.

 ephemeride13

Quinze août, comme Marie, sainte mère de Dieu,

Sofia, le cul en l’air, grimpe au septième ciel,

Se fait dilater et défoncer la rondelle

Par un séminariste bandeur et très pieux.

ephemeride14

Dans les cimetières, le jour de la Toussaint,

Elle montre sa chatte aux veufs inconsolables

Qui se masturbent en lui tripotant les seins

Et balancent leur sperme orphelin sur le sable.

ephemeride15

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Mardi 22 mars 2011 2 22 /03 /Mars /2011 13:44

Suite et fin en trois articles de l'Ephéméride de S*. Pour les trois épisodes (9 strophes) précédents, reportez-vous aux articles des 17, 21 et 24 février 2011

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Le vingt-cinq mai, arrive le jour de sa fête :

Sainte Sophie, protégez votre pécheresse,

Que son con savoureux, que ses fesses parfaites,

Gardent à jamais les échos de nos caresses.

ephemeride10-1

En citoyenne, à la Pentecôte elle donne

Son lundi solidaire à des vieillards lubriques :

Devant eux, elle se déshabille ; ils s’astiquent,

Puis lui touchent les seins, la branlent et l’enconnent.

ephemeride11

Pour la fête des mères, elle offre un dîner

À des beaux orphelins en manque de tendresse.

Au dessert, toutes leurs jeunes bites se dressent

Quand elle les prie gentiment de l’enculer.

ephemeride12-1

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Lundi 21 mars 2011 1 21 /03 /Mars /2011 18:14

« Femme à la fenêtre » (1925), par Salvador Dali, Musée national de la Reine Sofia, Madrid ;

jadis-naguere-dali-femme-fenetre

Le titre du tableau varie au gré des sites : « Femme ou jeune fille à la fenêtre ». La jeune femme en question serait une certaine Anna Maria dont Dali fut à l’époque très épris. Aujourd’hui, au vu de sa croupe généreuse, je lui prêterais volontiers les traits de Carmen Maura, l’actrice fétiche d’Almodovar.

La fenêtre s’ouvre sur une anse où paresse un voilier. La pièce est sobre, sans doute une chambre au sol de parquet. On devine la femme nue sous sa robe dont le tissu léger et soyeux épouse discrètement les rotondités et esquisse la raie des fesses. Malgré son visage tourné vers le dehors, on la devine attentive à ce qui se passe dans son dos, à la présence de l’amant qui va s’approcher à pas lents et poser ses mains sur ses hanches. Il remontera sa robe haut jusqu’à sa taille, livrant à son regard concupiscent la blancheur laiteuse de ses fesses nues. Alors, elle écartera un peu les cuisses pour que sa main empaume son sexe moite.

Ils baiseront ainsi, dans l’embrasure de la fenêtre grande ouverte sur la sérénité de la mer.

 

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Samedi 19 mars 2011 6 19 /03 /Mars /2011 11:22

Troisième série d'images sur le thème des "Trois Grâces". J'ai trouvé intéressant de mélanger dans chaque galerie des images d'époques très différentes, allant de l'antiquité à nos jours, et sous différentes formes d'expression (sculptures, tableaux, photographies...). Par ce choix, j'ai voulu montrer la permanence, voire l'universalité du mythe qu'on retrouve même de façon diffuse dans les images pornographiques du net.

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Vendredi 18 mars 2011 5 18 /03 /Mars /2011 18:10

Les trois Grâces # 2

Les trois Grâces ne doivent pas être confondues avec les trois déesses du jugement de Pâris (souvent représentées avec une pomme à la main) Pâris, prince troyen, voit un jour apparaître devant lui trois divinités, Aphrodite, Athéna et Héra, qui lui demandent d’offrir la « pomme de discorde » à la plus belle des déesses de l’Olympe. Il désignera Aphrodite qui en récompense lui offrira l’amour de la belle Hélène qu’il enlèvera, déclenchant ainsi la guerre de Troie.

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Jeudi 17 mars 2011 4 17 /03 /Mars /2011 10:56

Les trois Grâces # 1

À l’occasion de l’acquisition et de l’exposition par le musée du Louvre des « Trois Grâces » de Lucas Cranach l’Ancien ( tableau daté de 1531), il m’a semblé opportun d’ouvrir une galerie virtuelle sur ce thème.

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Les Grâces. Au nombre de trois dans la mythologie grecque, les Grâces ( ou Charités) étaient filles de Zeus et d’Eurynome (Eurynome était la fille aînée d’Océan et de Thétys,. Elle fut l’une des premières divinités à régner sur l’Olympe avant d’en être chassée par Cronos). Les trois Grâces avaient pour nom Aglaé, Euphrosyne et Thalie et personnifiaient respectivement la beauté, la joie de vivre et l’abondance.

Dans la mythologie romaine, elles furent appelées Pulchritudino (Beauté), Voluptas ( Volupté) et Castitas ( Chasteté). Au début de leurs représentations, elles étaient vêtues d’amples robes, puis furent bientôt montrées nues pour indiquer sans doute qu’elles étaient exemptes de toute dissimulation.

Chez Cranach, les trois Grâces symbolisent chacune une vertu : la Charité, l’Amitié et la Générosité.

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Mercredi 16 mars 2011 3 16 /03 /Mars /2011 09:25

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Mirabeau rapporte que dans l’Antiquité, à Samos (île grecque de la mer Egée) les maisons publiques étaient appelées le parterre de la nature. Les hommes et les femmes s’y abandonnaient pêle-mêle à tous les genres de libertinage… Dans d’autres lieux, les vieilles mettaient encore à profit les restes de leur lubricité. Elles étaient tellement impudiques qu’on les comparait à des animaux dont elles avaient l’odeur, l’ardeur, la lascivité des boucs.

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Lundi 14 mars 2011 1 14 /03 /Mars /2011 07:28

Un tableau narratif.

Léopold-Louis ROBERT est un  peintre suisse né en 1794 et mort en 1835 à Venise. Des familles de brigands lui servirent de modèles pour ses compositions de scènes italiennes qui lui valurent sa renommée et la clientèle d’une élite bourgeoise en mal d’émotion.

En 1831, son tableau intitulé « L’arrivée des moissonneurs dans les marais pontins » lui valut la croix de la Légion d’Honneur que lui remit le roi Louis-Philippe en personne. L’œuvre se trouve aujourd’hui exposée au Louvre dans les salles consacrées aux peintures françaises du XIXème siècle.

Leopold-louis-robert

Le tableau est un bon exemple de la peinture narrative.

Sous les apparences d’une banale scène de genre campagnard, se dissimule un scénario d’une grande sensualité (ce qui explique sans doute en partie son succès). Le personnage central de la composition est un bellâtre dépoitraillé au pantalon plus que bien garni, immortalisé dans une pose déhanchée très provocante. Encadré de deux bœufs aux naseaux écumants (ce qui suggère des capacités physiques et sexuelles hors du commun), il regarde avec effronterie deux jeunes femmes à sa droite. De toute évidence, il a jeté son dévolu sur celle qui tient serrée contre son ventre une gerbe de blé, symbole de fertilité donc de désir. Sont-ils déjà amants ou vont-ils le devenir le soir même ? Une chose est claire : il vont baiser.

Mais le plus intéressant réside dans le comportement et les réactions des personnages environnants. Dans la charrette, l’homme au chapeau et à l’écharpe orange qui regarde le Don Juan (son père, un parent ?) est visiblement fier des exploits du jeune qui n’est pas sans lui rappeler ses conquêtes passées. Il y a aussi la femme debout dans la charrette, avec un bébé dans les bras : son visage est empreint d’une infinie tristesse ; sans doute que l’enfant qu’elle porte est le fruit de ses amours avec le beau bouvier dont elle se sait déjà abandonnée. Et puis, aux côtés de la jeune femme à la gerbe, il y a cette camarade des champs qui porte un chemiser bleu, et qui adresse à sa voisine un regard lourd de reproches. Il suffit de lire le dépit sur sa bouche : jalousie ? déception ? Ce n’est pas elle que le bel étranger baisera ce soir…

Et tout autour, la fête, les danses du grand rut des moissons.

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