Samedi 5 février 2011 6 05 /02 /Fév /2011 11:08

ZOOM 59, décembre1978-janvier 1979

Couverture du studio Hipgnosis pour le poster de l’album « Deception Bends » du groupe 10CC

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Quelques photos rares des ouvrages de la collection « Trésors de la photographie » édités par André Barret

Emilienne d’Alençon, photo de Paul Nadar ( album « La Parisienne » )

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Mannequin de Paul Poiret, photo de Talbot, 1910 ( La Parisienne )

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La Belle Otéro ( la Parisienne ) où l’on voit qu’on ne lésinait guère sur les retouches !!

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Photo de Léopold Emile Reutlinger ( La Parisienne)

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Geneviève Lantelme, photo deReutlinger ( La Parisienne)

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Photo de Antonin Personnaz ( album « Autochromes »)

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Prêtresse du culte des Trois Mondes, photo de Bussy, 1915 ( Autochromes)

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Quelques réalisations du studio Hipgnosis qui rassemblait trois graphistes : Storm, Po et Peter. Revoir ces pochettes d’album réjouira les nostalgiques…

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Une belle photographie signée Serge Lutens, déjà largement présenté dans ce blog.

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Pour terminer, à l’occasion de la sortie des « Mémoires d’une chanteuse allemande » aux éditions de L’Hérésiarque et illustrées par Pichard, une belle vignette du maître…

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Vendredi 4 février 2011 5 04 /02 /Fév /2011 07:19

Hier, on entrait dans l'année du lapin. Pour fêter ça, je vous propose 8 images d'autrefois et d'aujourd'hui pour célébrer la beauté de l'Empire du milieu

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Jeudi 3 février 2011 4 03 /02 /Fév /2011 07:34

 

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En 1559, dans un ouvrage intitulé « De re anatomica », Matteo Colomb, maître d’anatomie à l’université de Padoue, fit part au monde, descriptions à l’appui, de sa découverte qu’il nomma l’ « amor veneris » et qui trouva plus tard son appellation définitive d’après le mot grec kleitoris ( ou petite aspérité). Matteo Colomb soutenait que cet organe était le siège unique de la jouissance et de l’amour pour les femmes. Cette affirmation lui valut d’échapper d’extrême justesse au bûcher de l’Inquisition.

Ce n’est qu’en 1998 que l’urologue australienne Helen O’Connel a découvert la vraie nature du clitoris. Le petit bouton n’est que la partie visible de l’organe qui se prolonge et forme une sorte de pénis intérieur long d’une dizaine de centimètres.

savoir16-clit-hugdebert2savoir16-clit-hugdebertdeux vignettes de Hugdebert qui sait si bien représenter le corps et la jouissance des femmes


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Mercredi 2 février 2011 3 02 /02 /Fév /2011 08:00

Le loup

« Amants agneaux deviennent maris loups. »

Isaac de Benserade

 loup-Rory Kurtz - Waking with Wolves ctloup1-2loup6

« Les loups ne craignent guère

Les pasteurs amoureux qui chantent leur bergère. »

Le roi et les deux bergers

Jean Pierre Claris de Florian ( 1792)

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« Tout conjugue le verbe aimer. Voici les roses.

Je ne suis pas en train de parler d’autres choses ;

Premier mai ! L’amour gai, triste, brûlant, jaloux,

Fait soupirer les bois, les nids, les fleurs, les loups. »

Victor Hugo

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« Qui a peur des loups ne va pas au bois »

Proverbe russe

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« Quand on parle du loup, on en voit la queue. »

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Mardi 1 février 2011 2 01 /02 /Fév /2011 07:16

Comme me  l'avait suggéré Lilly dans un commentaire sur le concombre, voici donc un arrivage d'aubergines !

Aubergine

Botanique.

Plante potagère annuelle de la famille des solanacées, cultivée pour son fruit consommé comme légume. Le nom provient du catalan alberginia, dérivé de l’arabe al-bâdinjân

Choisissez-la bien ferme, avec une peau lisse et brillante. Ainsi elle ne contiendra pas trop de graines amères.  De plus, elle est riche en antioxydants, surtout sa pelure : évitez donc de la peler.

Citation.

«  Sinistres visiteurs et messages sibyllins, aubergine géante et piège perfide, sans parler d’une vraie débâcle, ni de l’apparition d’un revenant qui n’est même pas un fantôme… »

Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, Lemony Snicket, 2005

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fl-aubergine10fl-aubergine11fl-aubergine12fl-auberginefl-aubergine6fl-aubergine9fl-aubergine-anal2fl-aubergine-analEt pour terminer une photo de ma collection personnelle

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Lundi 31 janvier 2011 1 31 /01 /Jan /2011 06:53

Le nouveau Koppera est arrivé. Après La seconde vie de Maximilien Bémol et Body Gym, voici 50 coïts non interrompus que vous trouverez dans les rayons de toutes les bonnes librairies. C'est bientôt la Saint Valentin, l'occasion ou jamais de préparer la fête en cherchant parmi les 50 lieux passés en revue un endroit original et inédit pour vos ébats amoureux...

Bonne lecture à tous.

50 coïts non interrompus, éditions La Musardine

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Dimanche 30 janvier 2011 7 30 /01 /Jan /2011 11:07

« Les femmes sont curieuses ; fassent le ciel et la morale qu’elles contentent leurs curiosités d’une manière plus légitime qu’Eve leur grand-mère, et n’aillent pas faire des questions au serpent. »

Théophile GAUTIER, Préface à Mademoiselle de Maupin, 1835

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Samedi 29 janvier 2011 6 29 /01 /Jan /2011 09:50

Il n’est point de serpent ni de monstre odieux,

Qui par l’art imité ne puisse plaire aux yeux,

D’un pinceau délicat l’artifice agréable

Du plus affreux objet fait un objet aimable.

Boileau, l’art poétique ( 1674) chant III

 

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Vendredi 28 janvier 2011 5 28 /01 /Jan /2011 17:54

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Les Basiliens et les Carpocrates (IV et Vème siècles ap J.C ) prétendaient que nous naissions dans l’état de nature innocente, tel qu’Adam au moment de la création, et que par conséquent ils devaient imiter sa nudité. Ils détestaient le mariage, soutenaient que l’union conjugale n’aurait jamais eu lieu sur la terre sans le péché. Ils pratiquaient leur dogme dans un superbe temple souterrain, chauffé par des poêles, dans lequel ils entraient tout nus, hommes et femmes. Là, dès que le chef de la secte avait prononcé les paroles de la Génèse, "Croissez et multipliez", tout leur était permis jusqu’aux unions que nous nommons adultère et inceste. Tranchelin renouvela cette secte au XIIème siècle. Il prêchait ouvertement que la fornication et l’adultère étaient des actions méritoires. Les plus fameux de ces sectaires furent appelés les Turlupins en Savoie. ( Source : Mirabeau, Erotika Biblion )

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Jeudi 27 janvier 2011 4 27 /01 /Jan /2011 13:34

Henry MILLER , SEXUS ( la Crucifixion en rose)

Editions Buchet/Chastel, 1968

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Marié avec Maud, Henry rencontre Mara avec qui il entretient une relation plus que tumultueuse. Vivant de jobs précaires, il continue de voir Maud ( ils ont une fille ensemble) qui, bien que se sachant trompée,  se laisse parfois aller à ses désirs.

L’épisode qui va suivre est certes long, mais constitue un des monuments de la littérature érotique.

Les circonstances : En difficulté financière, Henry vient rendre visite à Maud afin de lui soutirer un peu d’argent frais. Maud se plaint de douleurs intimes et se prête avec passivité à son examen. Au moment où commence cet extrait, Henry a déjà la main sur le ventre de Maud

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 1 ) Pages 295 à 300.

sexus2Feignant de prendre le plus vif intérêt à ce qu’elle me racontait, je lui rappelai soudain son beau-père, qu’elle avait perdu. Comme je le prévoyais, ce rappel eut sur elle l’effet d’une décharge électrique. Stimulée par la seule évocation de ce nom, elle posa sa main sur la mienne, pressant vivement celle-ci. Ma main pouvait bien glisser un peu plus bas, mes doigts s’embrouiller dans l’épaisseur du poil – cela lui était égal, apparemment… pour l’instant. Et pendant ce temps, elle babillait, parlait du beau-père, avec une pétulance de collégienne. (…)

Jouant donc avec les poils raides et piquants de son fameux buisson, laissant un doigt s’égarer à l’occasion un peu plus bas, à l’orée du con, je songeais vaguement et mes pensées vagabondes s’enfonçaient loin dans le passé. J’avais presque l’impression d’être ce fameux père élu, jouant avec sa fille lascive dans la pénombre hypnotique d’une pièce surchauffée… Je n’avais qu’à continuer à jouer la comédie : elle écarterait les cuisses avec une ardeur volcanique.

- Voyons un peu si ça fait mal à l’intérieur, chuchotai-je, retirant ma main et la glissant expertement sous la soie pour remonter droit au con.

Elle jutait tant et plus ; ses jambes s’entrouvrirent légèrement, répondant à la faible pression de ma main.

- Là, par exemple…ça fait mal,  ? demandai-je, poussant à fond .

Ses yeux étaient mi-clos. Elle bougea vaguement la tête… ni oui ni non. J’introduisis doucement deux autres doigts dans le con et m’allongeai tranquillement à côté d’elle. Je passai un bras sous sa nuque et l’attirai doucement à moi, sans cesser de baratter la sève qui continuait à suinter.sexus4

Elle gisait immobile, absolument passive, l’esprit entièrement occupé du jeu de mes doigts. Je pris sa main et la glissai dans ma braguette qui se déboutonna magiquement. Elle empoigna solidement ma verge, mais doucement, la caressant, l’effleurant habilement. Je lui jetai un bref coup d’œil par-dessous et vis une expression de quasi béatitude sur ses traits. C’était cela qu’elle aimait : cet échange aveugle, tactile, d’émotions. (…)

Je la regardais pour voir si elle pouvait lire mes pensées, sans cesser cependant d’explorer les plis et replis de son con embrasé, à grands palpes hardis et agressifs. Ses paupières étaient étroitement closes ; ses lèvres, lascivement entrouvertes ; le bas de son corps se mit à gigoter et à se tortiller, comme un poisson se débat dans un filet. Doucement, je retirai sa main de ma verge, soulevant en même temps, délicatement, une de ses jambes et la passant par-dessus moi. Je laissa ma pine tressaillir et frémir quelques instants à l’entrée de la fente, l’autorisant à glisser d’avant en arrière et vice-versa, tel un jouet flexible en caoutchouc. Un refrain stupide tournait sans arrêt dans mon crâne : « Devine c’que j’tiens au-d’ssus d’ta tête… du supérieur ou de l’extra ? » Je continuai ce petit jeu provocant pendant un bout de temps, tantôt passant le nez de ma pine à l’intérieur, de deux ou trois centimètres, tantôt le frottant à l’extrême pointe du con et le blottissant ensuite  dans le buisson humide de rosée. Tout à coup, elle ahana et, les yeux grand ouverts, se retourna complètement. En équilibre sur mains et genoux, elle se mit, frénétiquement, à vouloir coincer ma verge dans son piège gluant. Je la pris par les fesses, à deux mains, mes doigts faisant un glissando le long du bord interne et gonflé du con ; et ouvrant celui-ci comme j’eusse fait d’une balle en caoutchouc crevée, je plaçai ma pine au point vulnérable et j’attendis qu’elle se rabattit de tout son poids. Un instant, je crus qu’elle avait brusquement changé d’idée. Sa tête, qui jusqu’alors ballait en liberté, les yeux inertes tournant au rythme frénétique du con, se redressa soudain roide et tendue, en même temps que son regard se portait subitement sur un point de l’espace au-dessus de ma tête. Une expression de plaisir extrême et égoïste emplissait les pupilles dilatées et folles. Et tandis qu’elle imprimait à son cul un mouvement de rotation, ma verge n’étant encore qu’à demi entrée, elle se prit à mâcher sa lèvre inférieure. Sur quoi, me glissant un peu plus bas, je l’attirai à moi de toutes mes forces et l’enfilai jusqu’à la garde - si profondément qu’elle poussa un gémissement et que sa tête s’affala, face contre l’oreiller.

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2) Pages 302 à 304. Maud et Henry ont été interrompus dans leurs ébats par Mélanie (la femme de ménage) qui vient annoncer à  Henry qu’il a un coup de fil urgent. Il apprend que Mara, sa maîtresse, vient de faire une tentative de suicide. Henry s’apprête à prendre congé de Maud.

« Brusquement, je me rendis compte que ce serait cruel de ma part, de me tirer sans une petite manifestation de tendresse.

- Il faut réellement que je me sauve, dis-je, lâchant chapeau et pardessus en m’approchant vivement d’elle. Cela me fait mal au cœur de te laisser en ce moment,… comme ça…

sexus3Et saisissant sa main qui cherchait le commutateur, je l’attirai contre moi et l’embrassai. Elle n’offrit pas de résistance. Au contraire : elle renversa la tête en arrière et tendit ses lèvres. La seconde d’après, ma langue était dans sa bouche, et son corps, mol et chaud, se pressait convulsivement contre le mien. Me fichant éperdument, désormais, de faire ou non une fausse manœuvre, je glissai une main sous son peignoir et plongeai les doigts dans la fourche. À ma surprise, elle chercha droit ma braguette, l’ouvrit et sortit ma verge. Je l’adossai au mur et la laissai mettre mon vit en batterie contre son con. Elle était en feu, à présent, consciente de chacun de ses gestes, résolue et impérieuse. Elle maniait ma pine comme un objet qui lui eût appartenu.

C’était malcommode d’essayer d’y arriver tout debout.

- Là, par terre, murmura-t-elle, tombant à genoux en me tirant et me forçant à faire de même.

- Tu vas prendre froid, dis-je, tandis qu’elle tentait fébrilement de faire glisser ses vêtements..

- Je m’en moque, dit-elle, rabattant mon pantalon et m’attirant follement à elle. Oh, Seigneur ! gémit-elle, mordant de nouveau ses lèvres et m’écrasant presque les couilles pendant que j’enfonçais lentement ma verge. Oh, Seigneur ! mets-le moi… tout au fond, tout au fond !

Et d’ahaner et de geindre. Je me reposai donc sur elle, la pine bien au chaud et raide comme un refouloir. Elle était pareille à un fruit mûr, à l’intérieur – un fruit dont la pulpe eût respiré. Bientôt, je sentis voltiger les deux petits drapeaux ; on eût dit une fleur oscillant sous le vent, et la caresse des pétales était un supplice de tantale. Ils bougeaient, irrésistiblement, non par saccades violentes et convulsives, mais comme de soyeuses oriflammes répondant à la brise. Ensuite, tout se passa comme si elle prenait brusquement la direction de la manœuvre : elle se changea (les parois de son con se changèrent) en une sorte de tendre presse-citron interne, pinçant et grippant à volonté ; presque comme s’il lui était poussé une main invisible. (…)

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