Mardi 15 février 2011 2 15 /02 /Fév /2011 07:41

Jadis et naguère.

Image n° 1 : le cul de Brigitte Bardot (photo parue dans Playboy en juillet 1964 )

cul-b-bardot

La photographie date sans doute de 1963, lors du tournage du film de Jean-Luc Godard, « Le Mépris ». Au vu de la lumière et du décor, je pense que c’est lors du tournage des scènes en Italie ( peut-être Capri )

J’ignore le nom du photographe qui a pris ce cliché, mais on peut dire que Brigitte Bardot lui offrit, à cette occasion - et avec quelle complaisance ! – une vue sublime sur son fessier à peine masqué par le voile de la petite culotte.

Le contraste est saisissant entre ce qui se passe à l’extérieur (B.B en conversation avec Godard, le caméraman au travail) et l’intérieur de la pièce avec son cul épanoui en haut de ses jambes merveilleuses.

De toute évidence, elle ne pouvait ignorer la présence du photographe dans son dos, alors elle se donne à voir, à désirer…

C’est pourquoi cette photo a toute sa place au top des images érotiques du temps passé.

Par michel koppera - Publié dans : jadis et naguère - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 14 février 2011 1 14 /02 /Fév /2011 06:51

Les légumes du pot-au feu

«  La femme rend lâche. C’est elle qui conseille au gréviste de rentrer à l’usine, à l’artiste de faire du commerce, au soldat de plier le dos. Parce qu’elle ne pense qu’à la pâtée, qu’elle a un pot-au-feu dans le cœur. » (Roland Dorgelès, Le château des brouillards)

fl-pot-au-feu

«  le pot-au-feu, c’est l’idéal pour travailler sur un dossier » ( Jack Lang )

Indispensable : des carottes

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Des navets

fl-pot-au-feunavet fl-pot-au-feu-navet-2

du poireau

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Facultatif : du céléri en branche ( pour le bouquet garni )

fl-pot-au-feu-celeriLaissez mijoter deux heures à petit feu et bon appétit !

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Dimanche 13 février 2011 7 13 /02 /Fév /2011 09:48

Une nouvelle série d'illustrations consacrées au fantasme des nonnes lubriques

nun-d-lequeuEt+nous+aussi+nous+serons+meres,+car...

« Elle aimait tout dans la vie religieuse, jusqu'à ses austérités et ses humiliations » (Oraison funèbre d'Anne de Gonzagues de Clèves)

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« La bonne religieuse est celle qui apporte dans le cloître quelque grande faute à expier » (Diderot, La Religieuse, 1796)

nun-d-musset gamiani 07nun-d-musset gamiani2nun-d-92nun-d-week1nun-d-week2nun-d-96-Stu Mead - All of Me, 2008

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Samedi 12 février 2011 6 12 /02 /Fév /2011 10:10

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À Ponape, dans le Pacifique Sud, l’art du cunnilingus atteint des sommets artistiques : les hommes y aiment à glisser un petit poisson vivant dans le vagin de leur amante, afin de l’aspirer doucement au dehors avec leur bouche. ( in Le secret des femmes, éditions Odile Jacob, 2010 )

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Jeudi 10 février 2011 4 10 /02 /Fév /2011 12:29

L'âne

âne6« Tout animal est triste après l'amour, sauf l'âne et le poète » ( Renan )

ane-manara ane-manara2

«  Il n'est forteresse qu'un âne chargé d'or ne puisse approcher » ( Philippe II de Macédoine)

ane-apuleeane-libertin«  Défense de mélanger les choses : tu ne laboureras pas avec un boeuf et un âne » ( Paul Claudel, Journal )

ane-musset gamianiâne-musset gamiani 09«  L'âne est bien patient, mais à tirer sur sa queue, il y a une limite. » (Massa Makan Diabaté, le boucher de Kouta )

âne5ane-perse«  Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d'un ange faisait parler. » (Victor Hugo)

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Mercredi 9 février 2011 3 09 /02 /Fév /2011 13:56

 

Hommage à Maria Schneider

Il est évidemment impossible d'évoquer la carrière cinématographique de Maria Schneider sans parler de son extraordinaire performance dans Le Dernier tango à Paris de Bertolucci. Elle avait 19 ans à l'époque, j'en avais 20. Outre sa beauté et sa grâce encore juvénile ( elle avait une sublime poitrine à faire bander les ermites les plus endurcis et un corps d'une grande sensualité), ses scènes d'amour avec Marlo Brando qui étaient pour le moins torrides ne faisaient qu'ajouter à son charme.

Quand il m'arrive de repenser au film, ce n'est pas la sulfureuse scène dite « du beurre » qui me revient spontanément en mémoire, mais le dernier plan séquence. Nous sommes dans l'appartement presque vide qui a été le cadre unique de tous leurs ébats ; on y voit au premier plan Jeanne (Maria Schneider), dans l'ombre d'une encoignure, un pistolet à la main et en arrière-plan, le cadavre de Paul ( Marlon Brando) étendu sur le balcon. Elle vient de le tuer et semble complètement perdue... Elle se parle à elle-même. Je cite de mémoire : « Je ne le connais pas, je ne sais pas qui c'est. Il m'a suivie, il voulait me faire du mal, je me suis défendue... je ne sais pas qui c'est.... »

Ces paroles m'ont marqué pour la vie, comme si elles étaient à elles seules un terrible résumé des rapports homme-femme, et des rapports humains en général.

Plus tard, j'ai revu Maria Schneider dans Profession reporter d'Antonioni, dont je ne garde aucun souvenir précis

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Lundi 7 février 2011 1 07 /02 /Fév /2011 16:34

J.M.G LE CLEZIO

Ritournelle de la faim, Editions Gallimard 2008

Collection Folio n° 5053

 Lorsque notre tout récent Prix Nobel de Littérature se laisse aller à la scène érotique, cela donne ça :

Page 131

Ethel et Laurent se sont baignés longuement, sans nager, juste à se laisser porter par la vague molle. Il y avait un silence intense sur la plage, personne à des kilomètres. Sur le tapis âcre des aiguilles, ils ont fait l’amour sans ôter leurs maillots trempés, un simulacre plutôt, le sexe de Laurent tendu sous l’étoffe noire appuyé sur le sexe d’Ethel creusé dans son maillot blanc, c’était une danse longue et lente d’abord, puis plus rapide, leurs peaux frissonnant dans la fraîcheur de l’air, où perlaient de petites gouttes de sueur salée comme de l’eau de mer, Ethel le visage renversé en arrière, les yeux fermés sur le ciel, Laurent arc-bouté, les yeux grands ouverts, le visage un peu grimaçant, les muscles de son dos et de ses bras tendus. Ils écoutaient le bruit saccadé de leurs cœurs, le halètement de leurs poumons. Ethel a joui en premier, puis Laurent, qui s’est aussitôt déporté sur le côté, la main appuyée sur son maillot où s’agrandissait une étoile chaude.

Laurent restait silencieux à reprendre son souffle, il allait s’excuser, toujours aussi gauche, presque honteux, mais Ethel ne lui en laissait pas le temps. Elle roulait sur lui et l’écrasait de tout son poids, le sable crissait entre ses dents, les mèches de ses cheveux cachaient entièrement son visage comme des algues noires. Elle l’embrassait pour le faire taire. Il ne fallait rien dire, surtout ne prononcer aucune parole, pas un mot, surtout ne pas dire : je t’aime, ou quoi que ce soit de ce genre. 

 

Etonnant, non ? ( comme l'aurait dit Desproges )

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Samedi 5 février 2011 6 05 /02 /Fév /2011 11:08

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Couverture du studio Hipgnosis pour le poster de l’album « Deception Bends » du groupe 10CC

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Quelques photos rares des ouvrages de la collection « Trésors de la photographie » édités par André Barret

Emilienne d’Alençon, photo de Paul Nadar ( album « La Parisienne » )

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Mannequin de Paul Poiret, photo de Talbot, 1910 ( La Parisienne )

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La Belle Otéro ( la Parisienne ) où l’on voit qu’on ne lésinait guère sur les retouches !!

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Photo de Léopold Emile Reutlinger ( La Parisienne)

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Geneviève Lantelme, photo deReutlinger ( La Parisienne)

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Photo de Antonin Personnaz ( album « Autochromes »)

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Prêtresse du culte des Trois Mondes, photo de Bussy, 1915 ( Autochromes)

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Quelques réalisations du studio Hipgnosis qui rassemblait trois graphistes : Storm, Po et Peter. Revoir ces pochettes d’album réjouira les nostalgiques…

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Une belle photographie signée Serge Lutens, déjà largement présenté dans ce blog.

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Pour terminer, à l’occasion de la sortie des « Mémoires d’une chanteuse allemande » aux éditions de L’Hérésiarque et illustrées par Pichard, une belle vignette du maître…

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Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 4 février 2011 5 04 /02 /Fév /2011 07:19

Hier, on entrait dans l'année du lapin. Pour fêter ça, je vous propose 8 images d'autrefois et d'aujourd'hui pour célébrer la beauté de l'Empire du milieu

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Par michel koppera - Publié dans : agenda
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Jeudi 3 février 2011 4 03 /02 /Fév /2011 07:34

 

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En 1559, dans un ouvrage intitulé « De re anatomica », Matteo Colomb, maître d’anatomie à l’université de Padoue, fit part au monde, descriptions à l’appui, de sa découverte qu’il nomma l’ « amor veneris » et qui trouva plus tard son appellation définitive d’après le mot grec kleitoris ( ou petite aspérité). Matteo Colomb soutenait que cet organe était le siège unique de la jouissance et de l’amour pour les femmes. Cette affirmation lui valut d’échapper d’extrême justesse au bûcher de l’Inquisition.

Ce n’est qu’en 1998 que l’urologue australienne Helen O’Connel a découvert la vraie nature du clitoris. Le petit bouton n’est que la partie visible de l’organe qui se prolonge et forme une sorte de pénis intérieur long d’une dizaine de centimètres.

savoir16-clit-hugdebert2savoir16-clit-hugdebertdeux vignettes de Hugdebert qui sait si bien représenter le corps et la jouissance des femmes


Par michel koppera - Publié dans : le saviez-vous ? - Communauté : Fantasmes et écriture
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