Samedi 27 mars 2010
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C'est extra.
Chacun(e) d’entre nous, même sans être un admirateur de Léo Ferré a au moins
une fois entendu cette chanson, véritable hymne à la femme et plus particulièrement à son sexe. J’ai eu le bonheur d’assister à un récital de Léo Ferré (c’était au début des années 1970) Il
effectuait une tournée, avec Robert Charlebois en première partie. Je me souviens que des groupes d’étudiants ( maoïstes ou trotskistes) avaient tenté de saboter son récital en le sifflant
copieusement et en lui reprochant d’être un anar de pacotille, descendu pour la nuit à l’hôtel le plus luxueux de la ville. Ça le faisait plutôt marrer. Puis, il avait chanté, et toute la salle
l’avait écouté respectueusement. Je me souviens encore du frisson qui avait parcouru le public aux premières notes de « C’est extra ».
Une robe de cuir comme un fuseau
Qu'aurait du chien sans l'faire exprès
Et dedans comme un matelot
Une fille qui tangue un air anglais
C'est extra
Un Moody Blues qui chante la nuit
Comme un satin de blanc marié
Et dans le port de cette nuit
Une fille qui tangue et vient mouiller
C'est extra c'est extra
C'est extra c'est extra
Des cheveux qui tombent comme le soir
Et d'la musique en bas des reins
Ce jazz qui d'jazze dans le noir
Et ce mal qui nous fait du bien
C'est extra
Ces mains qui jouent de l'arc-en-ciel
Sur la guitare de la vie
Et puis ces cris qui montent au ciel
Comme une cigarette qui brille
C'est extra c'est extra
C'est extra c'est extra
Ces bas qui tiennent hauts perchés
Comme les cordes d'un violon
Et cette chair que vient troubler
L'archet qui coule ma chanson
C'est extra
Et sous le voile à peine clos
Cette touffe de noir jésus
Qui ruisselle dans son berceau
Comme un nageur qu'on n'attend plus
C'est extra c'est extra
C'est extra c'est extra
Une robe de cuir comme un oubli
Qu'aurait du chien sans l'faire exprès
Et dedans comme un matin gris
Une fille qui tangue et qui se tait
C'est extra
Les Moody Blues qui s'en balancent
Cet ampli qui n'veut plus rien dire
Et dans la musique du silence
Une fille qui tangue et vient mourir
C'est extra
C'est extra
C'est extra
C'est extra
Par michel koppera
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Vendredi 4 décembre 2009
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/2009 09:33
Dans mon précédent article, j'avais mis en ligne une publicité "Perrier" datant des années 1980 (
sans doute 1982 ) À la lecture de la signature du dessin je l'avais attribuée à un certain Ancet. Or, après de nombreuses recherches sur le net et dans les archives de la
marque, je n'ai pu retrouver aucune trace de cet illustrateur ( J'ai pourtant essayé d'autres graphies comme Anlet, Aulet... sans résultat) De même, pas de trace de cette campagne de
pub qui s'était pourtant déclinée en plusieurs dessins dont je n'ai gardé que 3 exemplaires.
Si quelqu'un connaît le nom de l'auteur de ces illustrations, je lui serais très reconnaissant de me renseigner, et s'il a lui-même d'autres images de cette campagne, de nous les faire partager.
En attendant, je vous présente les deux autres pages en ma possession, ainsi, en bonus, qu'une affiche signée Villemot pour Perrier ( celle-là, vous la connaissez déjà sans
doute, mais ça ne fait pas de mal de la revoir ! )
Par michel koppera
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Dimanche 15 novembre 2009
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Par michel koppera
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Mercredi 4 novembre 2009
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/2009 08:19
Dans le grenier familial, j'ai retrouvé un disque de Georges Jouvin. Pour les connaisseurs, Il
s'agit d'un disque 33 tours, produit par la maison de disques " La voix de son maître", référence FSDF 1004. Je n'ai pu retrouver l'année de sortie de ce disque
(il ne figure pas dans la discographie de G Jouvin qu'on peut trouver sur internet ) par contre compte tenu des morceaux interprétés comme " Tous les garçons et les filles", "J'entends
siffler le train" "L'idole des jeunes" ou "Les comédiens", je pense que le disque date du milieu des années 60.
Cependant, ce ne sont pas les morceaux qui m'ont le plus intéressé, mais la photo de la pochette du disque. ( photo Baumgartner) Je ne sais si les concepteurs de cette
image se sont rendu compte à quel point elle était quasiment pornographique. On se croirait dans une scène d'un film X ! Cette trompette est plus que phallique, ce lit-divan en velours rouge est
très "sexuel", tout comme la tenture. Le mobilier et les rideaux évoquent un cadre bourgeois ou plus certainement un bordel de luxe. La femme est quasiment offerte, on la devine nue sous sa robe.
Elle a déjà ôté ses chaussures, elle ne va pas tarder à enlever sa robe, ou alors elle va se laisser aller, écarter les cuisses et donner son sexe à cette trompette qui la subjugue... Des images
comme on n'en fait plus !
Par michel koppera
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Dimanche 18 janvier 2009
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/2009 15:29
Dans l'actualité, pas grand-chose à se mettre sous la dent, alors il reste les archives
Je viens justement de retrouver dans mon journal de l'année 1996, cette image de la campagne de l'IFAW 1996 en Italie. Il s'agissait de protester contre le massacre des bébés phoques. L'article
de mars 1996 est paru dans le Nouvel Obs. Je crois me souvenir que la femme qui posa pour la photo était l'épouse d'un député italien.... De toute façon, elle était (est ?)
magnifique.
Par michel koppera
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