souvenirs

Lundi 28 octobre 2013 1 28 /10 /Oct /2013 09:54

 Mes aventures et mésaventures # 3

Michèle E*, 40 ans.

k-3-2Printemps 1989. Notre relation débute par une lettre où elle me parle de son désir de nouer avec moi une « sincère relation amicale ». Il faut dire que ça fait plus de deux ans qu’on se côtoie professionnellement au quotidien. Il est donc convenu d’une soirée : dîner dans un restau italien, dernier verre chez elle puis autres verres… L’ivresse nous gagne. Vers deux heures du matin, elle me demande : « Est-ce que cela se voit que je suis nymphomane ? ». La réponse vient avec les gestes. Caresses sur le canapé, baisers, léchages réciproques, déshabillage généralisé. On baise. Elle a de magnifiques seins en pomme, deux parfaits demi melons… Beau cul aussi. Peau laiteuse, longs cheveux nattés, chatte anthracite… Elle aimerait que je l’encule mais a peu d’être déchirée - à cause de ses hémorroïdes – me demande quand même de lui introduire un doigt, puis deux. Quand elle jouit, elle désire que je lui mordille les tétons pendant qu’elle me laboure les épaules de ses ongles vernis.

Notre liaison durera presque un an. Beaucoup d’alcool, de cigarettes. Des k-3-1week-ends entiers enfermés dans son appartement ou dans ma maison à la campagne, les portes et les volets clos, les rideaux tirés, à poil à toute heure du jour et de la nuit, sur fond de hard rock ou d’opéra, forniquant partout où le désir nous prenait : dans la salle de bains, au petit déjeuner dans la cuisine, au salon devant « Questions pour un champion »… Le souvenir qui me reste de cette relation est notre intégrale nudité, notre absence totale de pudeur… Son mari travaillait à l’autre bout de la France, ils ne s’aimaient plus.

L’année suivante, Michèle a été mutée à plus de 150 kilomètres. Une promotion. On s’était promis de se revoir, il n’en fut rien.

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 21 octobre 2013 1 21 /10 /Oct /2013 07:14

Mes aventures et mésaventures, # 2

Catherine C*

k-catherinec21987. Soir d’automne, nuit pluvieuse. Au téléphone : « Allo, Michel ? Je te dérange ? Ma bagnole vient de me lâcher, tu peux venir me chercher ? »

Sur place, je lui propose de la raccompagner jusque chez elle :100 km aller-retour. Elle me répond que ce serait plus simple si j’acceptais qu’elle passe la nuit chez moi. Comme ça, elle serait presque sur place le lendemain matin pour s’occuper de la panne.

Catherine a 26 ans, mariée, mère d’un petit garçon de deux ans. Elle a des jambes de rêve, un petit cul serré dans son jean et des seins à peine visibles sous son épais pull de laine. Tard dans la nuit, elle veut dormir près de moi, dans mon lit, pour être au chaud. Sous les draps on se rapproche, on se serre l’un contre l’autre, on s’enlace, on s’embrasse, on s’encastre, par devant et par derrière. On jouit.

L’aventure durera plus d’une année. Soirées rock, nuits shit-tequila. Même pas la gueule de bois. L’essentiel était de baiser, de s’envoyer en l’air sans trop se poser de questions. Elle aimait souffrir mais pas trop, c’est pour ça qu’elle me demandait à chaque fois de l’enculer. Ce qu’elle préférait et qui l’excitait vraiment, c’était de baiser pendant ses règles et que ça mette du sang partout dans les draps et sur nos peaux blanches.

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Lundi 14 octobre 2013 1 14 /10 /Oct /2013 09:30

Rappel. Keepsake. n. m. 1829, de l’anglais, to keep for my sakepour l’amour de moi ),  sorte de livre-album, généralement illustré de fines gravures, qu’il était de mode d’offrir en cadeau, comme souvenir, à l’époque romantique.

Je vous invite donc à feuilleter ensemble quelques pages de ma vie secrète. Même si quelques noms de lieux et de personnes ont été modifiés (il ne faut pas froisser les susceptibilités) tout ce qui va suivre est authentique, dans les moindres détailsLes faits n’y seront pas racontés dans l’ordre chronologique, mais selon le fil de mes souvenirs

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dessin de Manara

Mes aventures et mésaventures # 1

Annick L*

k-31969. Premiers après-midi de printemps en tête à tête, en bouche à bouche, en attouchements fébriles. Elle avait 16 ans, elle était myope. Lèvres molles, seins moelleux, chatte mousseuse. Ejaculations précoces. Que de mouillure vaine, que de foutre répandu ! On écoutait les chansons mièvres de Mélanie et l’album « In-a-gadda-da-vida » de Iron Butterfly. Son ventre ruisselant de désir avant un arrière-goût de crème Nivéa.

1971. Elle est venue nous rendre visite à C* pour la Nuit de la Chimie à l'Université. La chimie, c’est d’abord l’alchimie de son cul en chaleur quand je lui demande de me lire à voix haute des pages entières de Sexus de Henry Miller. Elle est allongée sur le matelas de la chambre d’amis, le cul nu, les cuisses écartées, la vulve gluante de son jus de jeune femme. Elle se donne du mal pour aller jusqu’au bout du chapitre, pour respecter la ponctuation. Pas facile quand on a des lèvres collées sur la chatte, et une langue qui vous fouille le vagin. Dans sa bouche le mot « con » qui revient comme un leit-motiv  est harmonieux, presque chantant.

1974. Elle est de plus en plus belle. Elle a un mec régulier, je suis marié. On se rencontre, on se désire encore. Alors on baise comme des malades. Le temps nous est compté. Sa chatte est toujours aussi mouillée mais elle ne sent plus la crème Nivéa.k-1

2000. Retrouvailles non programmées. Nuit à l’hôtel. Une erreur ! Les cœurs et les corps n’y sont plus. Restent les souvenirs et les regrets qu’on égrène comme un rosaire.

k-2(désolé, j'ai oublié le nom de l'auteur de ces trois illustrations)

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Vendredi 6 septembre 2013 5 06 /09 /Sep /2013 11:56

Je me souviens qu'à la fin des repas de noces ou d'anniversaires entre amis, quand les enfants et les anciens avaient quitté la table, les convives entonnaient en choeur des chansons paillardes. Et je me souviens de cette chanson dont je ne comprenais pas les paroles tant elles me paraissaient totalement illogiques...

Voilà ce que cela disait :

Je ne suis pas curieux, mais je voudrais savoir

Pourquoi les femmes blondes ont les poils du chat noirs.

refrain

Je cherche fortune

Tout le long du chat noir

Et au clair de la lune

à Montmartre le soir.

J'avais 5 ou 6 ans et je chantais comme les grandes personnes. Ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai compris pourquoi les femmes minaudaient et avaient le rouge aux joues quand les hommes les regardaient en chantant

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Mercredi 31 juillet 2013 3 31 /07 /Juil /2013 19:22

Polaroïd ( première commercialisation en 1948, tirage couleur en 1963)

C’était dans les dernières années de la décennie 1970-80, on était encore jeunes et sans le sou. Je me souviens qu'en 1978, pour noël, un oncle nous avait offert un Polaroïd. Bientôt, le cadeau devint l’accessoire indispensable de nos jeux érotiques. Chaque début de mois, quand on avait l’illusion pendant quelques jours d’être riches, nous achetions une cartouche de 10 épreuves. C’était un achat d’importance – ces recharges coûtaient bonbon ! – mais ô combien excitant.

La magie du Polaroïd résidait dans son instantanéité et son absolue confidentialité. Il répondait dans la minute à nos envies et fantasmes du moment. On se prenait en photo avant, pendant, après. Avant, il aiguillonnait notre désir ; pendant, il le décuplait ; après, il le réveillait. On attendait avec fébrilité la sortie de la photo qui surgissait d’un seul coup d’une fente étroite au bas de l’appareil,  encore chaude, un peu collante, petit carré de couleurs et de vie dans son cadre de carton blanc. Souvent, l’image n’était pas de très bonne qualité – le flash avait écrasé toutes les nuances - mais sa spontanéité suffisait à notre bonheur.

Jamais aucun photographe ni aucun technicien de laboratoire de développement, ne verrait ces clichés. Alors, on se permettait des poses audacieuses, des obscénités de salon, on s’inventait une pornographie domestique sans tabou… Ainsi, au fil des mois, on s’était constitué un album de souvenirs très intimes qu’on feuilletait ensemble. On s’y regardait comme dans un miroir, on faisait des commentaires, on se trouvait beaux et intrépides, on s’en aimait davantage.

Le Polaroïd, c’était 6241 millimètres carrés * de liberté sexuelle.

( * format standard de l'image polaroïd : 7,9 X 7,9 cm )

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Vendredi 28 juin 2013 5 28 /06 /Juin /2013 10:42

  keepsake-15Souvenir d'adolescent

A la vue de ce dessin, m’est revenu un souvenir d’enfance. J’avais 14 ans, elle en avait 13 ; elle se prénommait Sylviane. C’était un chaud après-midi d’été, tout près d’un terrain de foot où jouaient ses petits frères (elle en avait 3) et le mien en compagnie d’autres gamins du village.

Nous étions allongés à plat ventre dans les hautes herbes, pas côte à côte mais elle devant et moi un peu en retrait, à environ deux mètres d’elle. Nous lisions, moi « L’île au trésor » de Stevenson, elle je ne sais plus quoi. Sylviane portait une courte robe de cotonnade en vichy rose. Et, à travers les hautes herbes, je jouissais d’une vue imprenable sur ses cuisses nues sous sa robe, sur sa petite culotte blanche à l’élastique un peu lâche, sur son sexe fendu et bordé de rares poils châtains. De temps en temps, on échangeait quelques mots innocents, des trucs de gamins… À l’époque, je me souviens que j’étais persuadé qu’elle ignorait que je pouvais voir son ventre ouvert. Aujourd’hui, je suis beaucoup moins catégorique et je suis presque sûr qu’elle savait très bien que je la regardais et c’était sans doute pour cela qu’elle ne changeait pas de position, sauf peut-être pour se cambrer légèrement afin de s’ouvrir davantage.

Je me souviens que bientôt, je cessai totalement de faire semblant de lire pour me consacrer à la contemplation de son sexe. Tant et si bien que je bandais à tout rompre et que je finis par jouir dans mon short trop étroit pour mon désir.

À ce jour (soit plus de 45 ans après), je n’ai jamais réussi à lire « L’île au trésor » car à chaque tentative, l’image du sexe de Lolita de Sylviane me revient en mémoire et m’empêche d’aller au-delà des premiers chapitres.

 

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Samedi 19 janvier 2013 6 19 /01 /Jan /2013 11:56

« Le continent noir »

continent-noir2Il y a quelques jours, à la télé, je suis tombé par hasard sur une séquence où Fabrice Luchini parlait de son addiction au sexe de la femme, de sa fascination pour « le continent noir » (en référence à la célèbre et énigmatique phrase de Freud « La femme est un continent noir ») Fabrice Luchini faisait remonter sa « tracasserie du périnée » à  sa quatorzième année, sans en préciser l’événement déclencheur.

C’est une sensation très étrange que d’entendre un autre exprimer son propre ressenti, comme s’il était notre porte-parole. En effet, moi aussi je suis quasiment addict au sexe de la femme, sauf que cette addiction m’est venue encore plus tôt.

- La scène primaire date de ma cinquième année, un soir de fin d’été, dans une sorte de débarras encombré de vieux meubles entassés. C’était en 1957, chez des amis de mes parents. Ils avaient deux filles (Maryse l’aînée avait 8 ans, Martine la cadette mon âge). Les parents étaient à table, les enfants libres de jouer à leur guise. On s’est retrouvés dans une sorte de  niche, au cœur de l’enchevêtrement des meubles. C’est Maryse qui a eu l’idée de se montrer nos zizis. Nous voici donc tous les trois, sans culotte, accroupis en triangle. Je me souviendrai toujours du spectacle extraordinaire de leurs deux vulves enfantines, déjà entrouvertes, de leur intérieur humide qui luisait comme un nid d'œufs de limace. Pendant qu’elles me tripotaient la queue, elles m’avaient encouragé à glisser l’index dans leur petite chatte.continent-noir4

- Lors de la seconde scène essentielle, j’avais 13 ans. Cela s’est déroulé chez les mêmes amis. Je passais des jeudis après-midi entiers seuls avec Martine (Maryse était pensionnaire dans un lycée de la ville). Nos pères étaient à la chasse au pigeon. Alors que sa mère était dans la salle de bains, Martine me proposa de l’observer par le trou de la serrure, nue sous la douche. Mon Dieu ! quelle révélation ! Au bas de son ventre s'épanouissait un buisson noir, épais, somptueux, absolument fascinant. J’en ai bandé instantanément et n’ai pas tardé à jouir dans mon slip devenu trop étroit.

continent-noir7Depuis ce jour, je peux dire que j’ai consacré l’essentiel de mon existence à tenter de percer le mystère de ce « continent noir », d’essayer de comprendre le pouvoir qu’il exerce sur moi. La plupart de mes travaux d’écriture tendent vers ce but. De toutes les femmes que j’ai rencontrées (même furtivement)  j’ai pris le temps de  contempler longuement le sexe, de le respirer, de le goûter jusqu’à plus soif, et si possible de le photographier, comme pour me l’approprier, pour enfin trouver la réponse à mon désir. Cette quête dure depuis plus de quarante années, et à chaque fois que je découvre un nouveau ventre, que je pose mon regard sur une nouvelle touffe pubienne, que s’ouvre devant moi une nouvelle vulve, je ressens toujours le même émoi, le même frisson d’excitation à vivre une expérience unique et pour tout dire vitale.

Il me semble alors que je comprends mieux la métaphore freudienne du « continent noir ». Comme l'Afrique du début du XXème siècle, le sexe de la femme est un continent immense, divers, encore "terra incognita" et mystérieux… Continent que n'ont cessé d'explorer les artistes tels que Courbet ( L'origine du monde) ou plus récemment Tom Poulton dont je me sens si proche, tant il a réussi à mettre en images tous mes fantasmesp-200p-165

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Mercredi 11 juillet 2012 3 11 /07 /Juil /2012 17:22

Souvenir personnel : Londres, été 1998. Passage incontournable par le temple de la consommation, le magasin Harrod's. Au rayon bijouterie, il y avait trois femmes voilées, tout de noir vêtues, en train de choisir des bagues et des bracelets. Elles ne laissaient voir que leurs yeux et leurs mains nues. Elles paraissaient avoir une trentaine d'années, mais comment savoir ? Et soudain, j'ai croisé le regard de l'une d'entre elles, et ce regard je ne l'ai pas oublié tant il était beau et sensuel : des yeux noirs, intenses, brûlants de vie... C'est ce jour-là que j'ai compris pourquoi autrefois les hommes pouvaient fantasmer sur une cheville entrevue sous une robe un instant soulevée pour monter dans un fiacre..

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Mercredi 4 janvier 2012 3 04 /01 /Jan /2012 07:16

1966 : Lady Jane, chanson des Rolling Stones extraite de l’album "Aftermath"

Premier couplet :

My sweet Lady Jane

When I see you again

Your servant am I

And will humbly remain

Just hear this plea, my love,

On bended knees my love

I pledged myself to Lady Jane.

 lady-jane

Version française littérale: Ma douce Lady Jane, lorsque je te revois, je suis ton serviteur et le resterai humblement. Mon amour, écoute juste cette prière, à genoux devant toi, mon amour. Je me suis juré d’être à Lady Jane.

lady-jane-origine du monde

Si l’on sait qu’en slang ( argot anglo-américain), Lady Jane peut signifier le sexe de la femme ( sa chatte pour être précis) ou par extension une putain, et parfois la marijuana, la chanson perd tout à coup toute sa miévrerie et devient beaucoup intéressante, n'est-ce pas ?…

lady-jane-montoya-exhib

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Mercredi 31 mars 2010 3 31 /03 /Mars /2010 12:55

Erections cinéphiles

grande bouffe

- Je me souviens de Claudia Cardinale dans le Guépard et dans Il était une fois dans l’ouest, quand elle était couchée nue aux côtés d’Henry Fonda.

- Je me souviens de Sophia Loren, en femme au foyer désenchantée dans Une journée particulière.

- Je me souviens de Ornella Muti dans La dernière femme, Les Contes de la Folie Ordinaire et surtout dans Dernier amour où elle était Renata, infirmière dans une maison de retraite.

- Je me souviens de la chute de reins de Michèle Mercier dans Angélique, Marquise des Anges.

- Je me souviens de Miou-Miou dans Les Valseuses et surtout dans Canicule de Yves Boisset où elle baisait avec enthousiasme avec le fugitif Lee Marvin.

- Je me souviens des chairs rebondies de Andréa Ferréol dans la Grande Bouffe de Marco Ferreri.

- Je me souviens de Mrs Robinson ( Anne Bancroft) enfilant ses bas devant le regard médusé de Dustin Hoffman dans le Lauréat.le-laureat

- Je me souviens de Penelope Cruz dans Jamon, Jamon.

- Je me souviens de cuisses nues de Victoria Abril, assise sur une balançoire, dans La lune dans le caniveau.

- Je me souviens de Bernadette Laffont dans La fiancée du pirate et dans La maman et la putain de jean Eustache ( elle était une maman plus que désirable )

- Je me souviens de Andie Macdowell dans Sexe, mensonge et vidéo quand elle livrait ses confidences de femme frustrée et désirante face à la caméra immobile.

- je me souviens du soleil en contre-jour jouant dans les transparences de la petite robe de Isabelle Adjani dans l’Eté meurtrier.   

 

Et vous, lectrices et lecteurs de ce blog, quels sont vos souvenirs de mouillures et érections cinéphiles ?... À vos claviers !

fiancee du pirate

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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