Vendredi 18 avril 2025 5 18 /04 /Avr /2025 08:00

"Les yeux sans visage" est une nouvelle qu'un ami m'a demandé d'écrire à partir de deux photos personnelles. En voici le premier chapitre  

Les yeux sans visage

 Par un dimanche après-midi de mai, Françoise s’était accordé une courte sieste. Comme il faisait déjà chaud pour la saison, elle avait laissé la fenêtre de la chambre grande ouverte. Afin de profiter au mieux de la douceur du soleil, elle n’avait gardé que son soutien-gorge et sa petite culotte.

Le mardi suivant, de retour du travail, elle trouva dans la boîte à lettres une enveloppe non timbrée qui lui était destinée. Ce courrier inattendu se résumait à deux lignes manuscrites sur une feuille blanche : « Merci pour votre sieste du dimanche. Vu d’une fenêtre d’en face, votre sommeil était émouvant. La prochaine fois, s’il vous plaît, enlevez tout. » Bien entendu, le message n’était pas signé.

D’abord indignée, Françoise décida ne pas en parler à son mari qui ne rentrerait que le soir. Prudente, elle mit la lettre en charpie, trempa les bouts de papier déchiquetés dans l’eau avant de les jeter au vide-ordures. Plus tard, elle ne put résister à la curiosité et se rendit dans la chambre vide. À travers le voilage, elle observa longuement le mur de l’immeuble d’en face avec ses si nombreuses fenêtres dont la plupart étaient fermées.

‒ De toute façon, il n’y avait pas grand-chose à voir, se dit-elle à voix basse.

Au cours des jours suivants, il ne se passa rien. Le temps s’était rafraîchi et la boîte à lettres ne contenait que des factures et des prospectus. Et puis, le samedi matin, alors que son mari s’était absenté pour la journée, elle découvrit un nouveau courrier, avec la même écriture que le premier : « Cet après-midi, il va faire beau. Ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter. » Françoise resta longtemps à lire et relire le texte, à regarder les mots un à un comme s’ils pouvaient lui révéler par magie l’identité de leur auteur. Mais cette écriture soignée ne lui rappelait absolument personne !

Effectivement, vers 15 heures le ciel s’éclaircit et le soleil revint. Alors, après avoir vérifié que toutes les portes étaient bien fermées à clef, Françoise se dirigea vers la chambre, s’y enferma à double tour, se déshabilla entièrement, ouvrit la fenêtre en grand et s’allongea sur le dos en travers du lit, les cuisses écartées afin d’offrir son ventre au regard de toutes les fenêtres rectangulaires de l’immeuble d’en face. Elle resta longtemps dans cette position, les cuisses écartées, la vulve béante, comme si elle attendait un signe, qu’il se passe quelque chose…  Mais il ne se passa rien si ce n’est qu’elle se sentit mouiller et que cette excitation devint si forte qu’elle éprouva l’envie irrépressible de se masturber en se caressant le clitoris. À ce petit jeu, elle ne tarda pas à jouir tout en pensant que, quelque part, en face, dans l’obscurité d’une fenêtre, il y avait un homme qui se masturbait et jouissait lui aussi.

Elle venait à peine de sortir de la douche quand on l’appela à l’interphone. Elle appuya sur le bouton et entendit une voix d’homme qui lui dit : «  Vous avez du courrier ». Fébrile, elle s’habilla à la va-vite et se précipita dans les escaliers. Évidemment il n’y avait personne dans le hall de l’immeuble mais par contre il y avait bien une enveloppe dans la boîte à lettres… Une vraie pochette surprise avec un gros point d’interrogation tracé à l’encre de Chine. De retour à l’appartement, elle déchira rageusement l’enveloppe : elle n’y trouva pas une lettre mais un préservatif noué avec dedans une bonne réserve de sperme encore tiède. Elle allait le balancer à la poubelle lorsqu’elle se ravisa : « Ce serait trop bête, se dit-elle. »

Aussi, elle retourna s’enfermer dans la chambre, rouvrit la fenêtre, se déshabilla et s’allongea de nouveau sur le lit, les cuisses ouvertes, puis, en bonne position dénoua le préservatif et en vida le contenu sur son mont de Vénus. Le sperme lui englua les poils. Alors, à deux doigts, elle se beurra la vulve de foutre dont la forte odeur un peu fade se mêla à celle de sa mouillure de nouveau abondante. Elle se branla encore… Cette fois, elle fut plus longue à jouir mais son orgasme n’en fut que plus puissant.

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Le soir même, elle décida de tout raconter à son mari. Ils étaient au lit dans la douce obscurité de leur chambre. Françoise parlait à voix basse comme si elle craignait de le brusquer. Elle ignorait quelle serait sa réaction quand il apprendrait ce qu’elle avait osé faire. Elle se sentait coupable d’une faute et pourtant elle ne supportait pas l’idée de lui cacher la vérité. Donc, elle lui parla des deux premières lettres puis plus difficilement de l’épisode du préservatif et de ses conséquences. Et, au fil de ses confidences, elle sentit grandir et durcir le sexe de son mari contre son ventre. Quand elle cessa de parler, ils restèrent de longs instants dans le silence de la nuit.

‒ Tu as joui ?

‒ Oui.

‒ Fort ?

‒ Oui… très fort…

‒ Plus qu’avec moi ?

‒ Ça n’a rien à voir… On ne peut pas comparer, c’est un truc à part.

‒ Et ça te plaît ?

‒ Je crois que oui… C’est, comment dire ?… Excitant ! Tu n’es pas fâché ?

Sa question resta sans réponse mais il bandait à tout rompre et elle mouillait à en tacher les draps. Sa bite se glissa dans son vagin huileux. Puis, tout en baisant, il lui chuchota à l’oreille :

‒ Moi aussi, ça me plaît, moi aussi ça m’excite… Je suis fier de toi. Tout ce que je te demande, c’est qu’à chaque fois que tu lui auras montré ton corps, ta chatte ou ton cul, tu me raconteras ce qu’il t’a écrit, ce que tu as fait, ce que tu as ressenti. Tu me le promets ?

‒ C’est promis. Oh, mon dieu, ta bite est vraiment dure ce soir… C’est comme ça que je t’aime.

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 11 avril 2025 5 11 /04 /Avr /2025 08:00

Extrait n° 2 : Pages 275-276. Lisbeth Salander, 23 ans, "cas social", est venue pour demander de l'argent à Maître Nils Bjurman, son nouveau tuteur juridique chargé du contrôle de son comportement, de son mode de vie et de son budget. Extrait que j'ai intitulé " L'absence de consentement"

" -Tu es une femme adulte maintenant, Lisbeth .

Elle fit oui de la tête.

- Viens ici, dit-il en tendant une main.

Lisbeth Salander posa le regard sur le coupe-papier pendant quelques secondes avant de se lever et de s'avancer vers lui. Conséquences. Il prit sa main et l'appuya contre son bas-ventre. Elle pouvait sentir son sexe à travers le pantalon en gabardine sombre.

- Si tu es gentille avec moi, je serai gentil avec toi, dit-il.

Il l'avait raide comme un bâton quand il posa l'autre main derrière sa nuque et la força à se mettre à genoux, le visage devant son bas-ventre.

- Tu as dejà fait ce genre de chose, n'est-ce pas ? dit-il en ouvrant sa braguette. Elle sentit qu'il venait de se laver avec de l'eau et du savon.

Lisbeth Salander tourna son visage sur le côté et essaya de se lever mais il la tenait d'une main ferme. D'un point de vue force pure, elle ne pouvait pas se mesurer avec lui : elle pesait 42 kilos contre ses 95. Il lui prit la tête à deux mains et tourna son visage de façon à la voir droit dans les yeux.

- Si tu es gentille avec moi, je serai gentil avec toi, répéta-t-il. Tu m'embêtes, et je peux te faire interner avec les fous pour le restant de ta vie. Ça te ferait plaisir ?

Elle secoua la tête.

ll attendit jusqu'à ce qu'elle baisse le regard, soumise, pensa-t-il. Puis il l'attira plus près de lui. Lisbeth Salander desserra les lèvres et le prit dans sa bouche. Il ne cessa de lui maintenir la nuque et de la presser violemment contre lui. Elle ne put empêcher le reflexe de mastication tout au long des dix minutes qu'il se déhancha ; quand enfin il éjacula, il la tenait tellement serrée qu'elle avait du mal à respirer.

Il la laissa utiliser un petit cabinet de toilette attenant à son bureau. Lisbeth Salander tremblait de tout son corps quand elle se lava le visage et essaya d'enlever les taches sur son pull. Elle mangea de son dentifrice pour se débarrasser du goût. En revenant dans son cabinet de travail, elle le trouva installé comme si de rien n'était à son bureau, en train de feuilleter des papiers.

- Assieds-toi, Lisbeth, lui dit-il sans la regarder.

Elle s'assit. Finalement il tourna les yeux vers elle et sourit.

- Tu es adulte maintenant, n'est-ce pas, Lisbeth ?

Elle fit oui de la tête.

- Alors tu dois aussi être capable de jouer à des jeux d'adultes, dit-il comme s'il parlait à un enfant."

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 4 avril 2025 5 04 /04 /Avr /2025 08:00

Le premier épisode de Millénium sous titré "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes" est paru en 2005 en Suède, puis en France  2006 aux Editions ACTE SUD. On le trouve dans la collection BABEL NOIR  n° 37 ( 706 pages) , traduction du suédois par Lena GRUMBACH et Marc de GOUVENAIN.

Extraits : pour la rubrique LecturesX, je vous ai choisi deux extraits trouvés dans le même chapitre mais mettant en scène deux couples différents et surtout illustrant deux approches radicalement opposées des rapports homme-femme.

extrait n° 1, pages 273-274. Le journaliste Mikael Blomkvist, personnage central de l'intrigue noue une relation avec Cécilia Vanger, la cinquantaine, professeur, membre de la puissante famille sur laquelle il est chargé de mener une enquête. Extrait que j'appelerai "le consentement". Ils se retrouvent seuls, en tête à tête.

" Mikael rit. Cette Cécilia Vanger, décidément lui plaisait.

- Moi aussi j'aurais bien besoin d'un amant occasionnel, dit-elle.

Elle se débarrassa de ses pantoufles et posa le pied sur le genou de Mikael. Machinalement il mit la main sur son pied et toucha la peau. Il hésita une seconde - il sentit qu'il naviguait dans des eaux totalement intattendues et incertaines. Mais il se mit à masser tout doucement la plante de son pied avec le pouce.

- Moi aussi je suis mariée, fit Cécilia Vanger.

- Je sais. On en divorce pas dans le clan Vanger.

- Je n'ai pas rencontré mon mari depuis bientôt vingt ans.

- Qu'est-ce qui s'est passé ?

- Ça ne te regarde pas. Je n'ai pas fait l'amour depuis... hmm, disons trois ans, maintenant.

- Tu m'étonnes.

- Pourquoi ? C'est une question d'offre et de demande. Je ne tiens absolument pas à avoir un petit ami, ni un mari légitime, ni un compagnon. Je me sens très bien avec moi-même. Avec qui ferais-je l'amour ? Un des professeurs de l'école ? Ça m'étonnerait. Un élève ? Radio-Caniveau aurait quelque chose de croustillant à se mettre sous la dent. On surveille de près les gens qui s'appellent Vanger. Et ici sur Hedebyön n'habitent que des membres de la famille ou des gens qui sont déjà mariés.

Elle se pencha en avant et l'embrassa dans le cou.

- Je te choque ?

- Non. Mais je ne sais pas si c'est une bonne idée. Je travaille pour ton oncle.

- Et je serai certainement la dernière à aller le lui dire. Mais à mon avis Henrik n'aurait probablement rien contre.

Elle se plaça à califourchon sur lui et l'embrassa sur la bouche. Ses cheveux étaient encore mouillés et elle sentait le shampoing. Il s'empêtra dans les boutons de sa chemise en flanelle puis la lui rabattit sur les épaules. Elle ne s'était pas donné la peine de mettre de soutien-gorge. Elle se serra contre lui quand il embrassa ses seins.

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 28 mars 2025 5 28 /03 /Mars /2025 08:00

"L'accident de l'A85"  de Graeme Macrae Burnet est un polar de 332 pages paru en 2017, disponible dans la collection 10/18 (n° 5565) 

Tout commence dans les années 80 par un accident de la circulation en pleine nuit sur l'A85, et le décès du conducteur de la voiture, un certain Bertrand Barthelme, notaire d'une paisible cité alsacienne.

Extrait pages 213-214 : Raymond, 19 ans, fils du notaire décédé, est à Mulhouse où il a fait la connaissance de Delphine (dite Delph) serveuse dans un bar. Ce soir-là, Raymond a trop bu et est allé vomir aux toilettes :

" Quand il était ressorti des toilettes chez Johnny (le patron du bar), Delph lui avait indiqué d'un mouvement de la tête de la suivre. La pièce au bout du corridor était sombre et sentait les égouts. Il y faisait froid. Sans cérémonie, Delph avait baissé ses collants et saculotte et s'était juchée sur une pile de caisses. Il n'y avait pas asez de lumière pour que Raymond puisse voir entre ses jambes. Une ou deux fois, quand sa mère était sortie du lit trop vite, il avait aperçu son sexe, mais à part ça et ses tripotages avec Yvette (copine de lycée) il n'avait qu'une vague connaissance de l'anatomie féminine. Delph avait déboutonné sa chemise. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle avait le torse aussi émacié qu'un adolescent pubère. Elle lui avait suggéré de baisser son pantalon, ce qu'il avait fait. Puis elle l'avait attiré à elle, avait pris son pénis dans sa main pour le guider dans son vagin, mais il avait éjaculé à l'intérieur de sa cuisse dès qu'elle l'avait touché. Il avait essayé de le lui cacher en donnant des coups de hanches entre ses jambes comme il avait vu certains acteurs le faire  dans des films, mais son érection était vite retombée. Delph ne s'était pas gênée pour lui faire comprendre qu'elle trouvait ses eforts insatisfaisants. Elle l'avait repoussé et était redescendue de sa pile de caisses. Après avoir essuyél e sperme sur sa cuisse, remonté ses collants et reboutonné sa chemise. Raymond avait refermé sa braguette. Il avait ramassé le chapeau de Delph qui était tombé par terre et le lui avait rendu en marmonnant des excuses.

- Ne t'en fais pas, avait-elle répondu. Luc (un client du bar) s'occupera de moi tout à l'heure. "

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illustration de Varenne

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 21 mars 2025 5 21 /03 /Mars /2025 08:00

Dans la série "l'être et le paraître", voici le deuxième épisode

1-bienseance

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 14 mars 2025 5 14 /03 /Mars /2025 08:00

"Le monstre de Florence" de Douglas PRESTON et Mario SPEZI est un documentaire policier paru en 2008 aux USA puis en 2010 en France (traduction de Sebastian Danchin). Il est disponible dans la collection de poche J'ai lu  Policier (415 pages)

L'ouvrage retrace avec minutie toutes les péripéties et rebondissments de la traque du Monstre de Florence, tueur de couples en série qui a sévi dans les collines de Florence entre 1974 et 1985.

Extrait page 32. Cet extrait décrit le contexte dans lequel s'incrivent tous les meurtres du monstre de Florence.

" En Italie, la plupart des gens vivent chez leurs parents jusqu'au mariage et il n'est pas rare que celui-ci survienne tard dans la vie. Donc, faire l'amour dans une  voiture prend des allures de sport national. À en croire certaines estimations, un Florentin sur trois aurait été conçu ainsi. Tous les week-ends, les collines proches de la ville servent de refuge à de nombreux couples qui garent leur véhicule au milieu des près, dans les champs d'oliviers ou les chemins creux.

Les enquêteurs ne vont pas tarder à découvrir que des dizaines de voyeurs battent la campagne la nuit afin d'espionner ces ébats. On leur donne couramment le nom d'Indiani, c'est-à-dire d'Indiens, à cause des ruses de Sioux auxquelles ils ont recours pour rester discrets. Certains n'hésitent pas à utiliser des équipements électroniques sophistiqués, notamment des magnétophones munis de micros à parabole ou des appareils photo à infrarouge. Les Indiani ont divisé les collines en territoires bien délimités, placés sous le contrôle d'une "tribu" chargée  de repérer les meilleurs postes d'observation. Quelques-uns sont spécialement convoités, soit du fait de leur proximité avec certains lieux de rencontre, soit parce qu'ils permettent de surveiller les "bonnes voitures", surnommées de la sorte pour des raisons faciles à imaginer. Ces bonnes voitures rapportent même de l'argent, car elles font l'objet d'un troc sordide et permettent à certains Indiani de repartir les poches pleines après avoir cédé leur poste  à un autre. Les voyeurs les plus fortunés n'hésitent pas d'ailleurs à payer des guides pour leur faire découvrir les endroits les mieux placés et les moins risqués."

monstre de florence

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 7 mars 2025 5 07 /03 /Mars /2025 08:00

Souvenez-vous du temps pas si lointain où l'on découvrait toutes les capacités insoupçonnées de l'informatique, des nouveaux horizons qui s'ouvraient à nous... et du nouveau vocabulaire : modem, processeur, interface...

informatique

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 28 février 2025 5 28 /02 /Fév /2025 08:00

Lecture du soir : je me souviens qu'il y avait autrefois, à la télé, une émission littéraire qui s'appelait "Lectures pour tous". Ici, la lectrice nous paraît plus captivante que le livre qui d'ailleurs n'a pas de titre !

lecture du soir 

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 21 février 2025 5 21 /02 /Fév /2025 08:00

La photo : parler la même langue

socio48

La lecture

L'environnement de la photo est on ne peut plus simple : un canapé en tissu rouge orangé, une console en bois sur laquelle est posé un vase blanc qui contient un bouquet de fleurs qui paraissent séchées. Mais l'essentiel n'est pas là, il est au premier plan, devant nos yeux : un jeune couple qui baise à la paresseuse. Ils ne se sont même pas la peine de se dénuder entièrement. Juste ce qui est nécessaire à leur projet.  Il lui a enfilé sa grosse queue dans la chatte... Jusque-là rien d'extraordinaire. Non, ce qui est remarquable, c'est la sensualité du jeu de leurs bouches. La jeune femme a une langue merveilleuse dont elle sait faire usage : elle la darde comme celle d'un serpent pour aller à la rencontre, à la recherche de celle de son baiseur. Elle ouvre bien les yeux pour ne rien perdre de sa jeunesse. J'imagine la saveur sucrée de leurs salives mêlées... J'aime beaucoup cette photo, elle est pour moi synonyme d'abandon, de jouissance simple et sincère... Ces deux-là découvrent la vie dans ce qu'elle a de plus beau, de plus essentiel : le bonheur absolu d'aimer.

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 14 février 2025 5 14 /02 /Fév /2025 08:00

L'article est paru dans le Canard Enchaîné  n° 5439 du 5 février 2025 dans la rubrique ZigZag page 5

GUERRE ET PETS

"Une Britannique de 25 ans a été condamnée pour envoi de "fart selfies", littéralement des "selfies à pets", à la compagne de son ex-conjoint (source : bbc.com le 30/01). Une forme de cyberharcélement pour laquelle l'intéressée a plaidé coupable. Les procureurs ont expliqué qu'elle "plaçait la caméra sous ses fesses" tout en laissant visible "son visage souriant à la caméra" ce qui en plus de requérir une certaine habileté, prouve qu'elle ne manquait pas d'air.

Seule consolation pour la victime, les smartphones ne transmettent que l'image et le son, et pas encore l'odeur..." 

fart selfie

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Fantasmes et écriture
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