inédits

Vendredi 26 juillet 2013 5 26 /07 /Juil /2013 08:39

Odile-Claudia poursuit ses activités parallèles

 

Aussi étrange que cela puisse paraître, Odile n’avait jamais connu d’aventure lesbienne. Même dans son adolescence, alors que quelques-unes de ses camarades de lycée avaient franchi le pas, elle n’avait jamais été tentée par l’expérience. Devenue adulte, elle n’y avait plus pensé tant elle s’était persuadée de connaître le bonheur dans une hétérosexualité exclusive.

comptable16-0Et puis voilà que par un après-midi d’été, un de ses clients réguliers lui fit cette étrange confidence :

- Je crois que mon épouse est bisexuelle et peut-être même carrément lesbienne. Pourtant, ça fait plus de vingt ans que nous sommes mariés et nous avons eu des enfants. Mais au fond de moi, il y a quelque chose qui me dit qu’elle n’est pas heureuse, qu’elle ressent un manque… J’ai essayé de lui en parler mais elle nie farouchement. Je suis persuadé qu’elle refuse la vérité… Accepteriez-vous de l’aider à se libérer ?

Alors, il lui exposa son plan, une sorte de guet-apens tendu à sa femme : la semaine suivante, pour des raisons professionnelles, il devrait séjourner en province pendant quatre jours. Les enfants seraient en vacances dans la famille. Sa femme serait donc seule à leur appartement et ces quatre jours d’absence correspondraient au début du cycle menstruel de sa femme, période pendant laquelle était très avide de sexe…

- Qu’attendez-vous de moi ?

- C’est simple : je vous laisse mon adresse et vous sous présentez un après-midi chez moi en prétendant que je vous y ai donné rendez-vous pour la finalisation d’un contrat… Je vous fournis un dossier bidon, une fausse carte de visite… Ensuite, je vous laisse carte blanche !

- Et si votre plan fonctionne ?

- Vous me bipez sur mon portable. En réalité, je ne serai pas loin et je rentrerai à l’improviste, pour vous surprendre en flagrant délit.  500 euros, ça vous convient ?

- À ce tarif-là, on peut tenter le diable !

 

Le mercredi suivant, prétextant une migraine persistante, Odile parvint à obtenir son après-midi de liberté. À l’heure du thé, une serviette de cuir à la main, elle pénétra dans l’immeuble cossu d’un boulevard bordé de platanes majestueux. Sur les conseils du mari soupçonneux, Odile avait particulièrement soigné sa tenue : tailleur gris anthracite, mais à la jupe légèrement fendue sur le côté, chemisier de soie blanche, foulard d’un rouge flamboyant pour la touche glamour, escarpins noirs. En dessous, bas et porte-jarretelles, culotte de dentelle, mais pas de soutien-gorge. Lunettes cerclées d’écaille, cheveux tirés en arrière, touche de gloss, mascara et vernis à ongles en harmonie avec ses lèvres… comptable16-3

L’appartement était au troisième étage. Odile sonna. La porte fut longue à s’entrouvrir.

- Bonjour madame, je me présente Solange Tourneur de Atlantic Consulting… J’ai rendez-vous à 16 heures avec M. Guilbert… C’est pour affaires…

Odile tendit sa carte de visite. La porte resta entrebâillée, chaînette de sécurité en place.

- Monsieur Guilbert est absent, il vous faudra repasser.

- À quelle heure ?

- Pas aujourd’hui. Vous devrez le contacter pour convenir d’un nouveau rendez-vous, il est absent pour quelques jours !

Odile prit une mine déconfite et un ton larmoyant :

- C’est que je viens de loin, et spécialement pour ça. J’ai apporté les documents, je pourrais peut-être vous les laisser ?

La porte se referma. Odile crut que c’était perdu, mais elle entendit le bruit de la chaînette de sécurité qu’on retire et la porte se rouvrit, cette fois en grand.

- Excusez-moi, dit la femme en lui tendant la main. C’est tout à fait le genre de mon mari : il prend des engagements et les néglige. Il est un peu tête en l’air. Entrez, je vous prie !

Elle précéda Odile jusque dans un salon au confort bourgeois et l’invita à prendre place dans un profond canapé de cuir blanc.

- Alors comme ça, vous venez de loin ?

- De Nantes.

- Je crains que vous ne vous soyez déplacée pour rien. Mon mari ne rentrera qu’après-demain soir. Il aurait pu tout de même vous avertir de son absence ! Mais si vous le souhaitez, je me chargera ide lui remettre vos documents à son retour. En attendant, je peux vous offrir quelque chose ? Un thé peut-être ?

- Je ne dis pas non.

comptable16-2Alors que la femme se dirigeait vers la cuisine, Odile l’observa plus en détail. Son hôtesse devait avoir près de cinquante ans, une silhouette un peu lourde mais harmonieuse. Elle portait un simple jean et un sweat-shirt chatoyant. Elle était blonde, mais sans doute décolorée. Elle avait un visage rond, où pétillait un regard noisette et souriant, une bouche pulpeuse…

Elle revint porteuse d’un plateau avec une théière, deux tasses en porcelaine et une assiette de petits gâteaux.

- Si je me souviens bien, vous m’avez dit que vous vous prénommiez Solange, c’est cela ? Vous êtes mariée ?

- Oui, et maman de deux enfants.

- Moi, c’est Séverine…

Pendant qu’elles prenaient le thé, la conversation roula d’u ton convenu sur le thème des enfants, de l’ameublement, des voyages… Elles se faisaient face de chaque côté de la table basse : Séverine dans un fauteuil, Odile sur le canapé. Elle avait habilement croisé les jambes de façon à ce que le regard de la maîtresse de maison n’ignore rien de ses bas et de ses cuisses. Cependant, Odile voyait venir le moment où il lui faudrait prendre congé. Elle devait prendre d’urgence l’initiative. Elle n’eut besoin que d’une fausse maladresse : alors que Séverine lui tendait une nouvelle tasse de thé, Odile en renversa le contenu sur son corsage et sa jupe.

- Mon dieu ! s’écria Séverine. Je suis vraiment désolée ! Suivez-moi, on va réparer tout cela.

Séverine prit d’autorité Odile par la main et l’entraîna vers la salle de bains.

- Vous pouvez vous débarrasser de vos vêtements, je vais vous chercher un change !

Odile ôta d’abord son corsage ce qui dévoila sa poitrine nue, puis sa jupe qui glissa à ses pieds. Elle se retrouva donc presque nue, avec juste sa petite culotte de dentelle blanche, son porte-jarretelles et ses bas couleur chair. Elle vit le trouble de Séverine qui emportait ses vêtements souillés.

- Je reviens tout de suite, je n’en ai que pour quelques instants.

Son absence fut plus longue qu’elle ne l’avait promis. Elle revint avec une brassée de fringues qu’elle posa sur le bord de la baignoire. Séverine en avait aussi profité pour se changer : elle avait troqué son jean et son sweat-shirt contre une sorte de peignoir d’un bleu satiné. Elle regarda longuement Odile, d’abord son visage, ses seins, puis plus bas encore…

- Cela vous va bien… finit-elle par articuler. C’est agréable à porter ?

- Très… Vous pouvez toucher, si vous voulez…

 

© Michel Koppera, juillet 2013

à suivre…

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 23 juillet 2013 2 23 /07 /Juil /2013 06:53

comptable15-3Au fil des mois, Odile finit par se constituer une confortable cagnotte dont à dire vrai elle ne savait trop que faire. Cependant, en prévision d’un divorce qu’elle envisageait comme plus que probable, elle ouvrit secrètement plusieurs comptes épargne où elle déposait chaque semaine le fruit de ses après-midi de putain. Passe après passe, elle s’était aussi assuré une sorte de clientèle régulière, presque fidèle, dont elle connaissait par cœur les fantasmes, les attentes et les secrets de famille.

Aussi, lorsque l’un d’entre eux, un haut fonctionnaire de la préfecture, lui demanda si elle accepterait d’initier son fils cadet à l’amour, pour son seizième anniversaire, Odile (ou plutôt Claudia) accepta la proposition mais se garda bien d’en parler au Président. Désormais, elle se sentait capable de voler de ses propres ailes, de reprendre sa liberté.

Il fut donc convenu que le rendez-vous aurait lieu dans le plus grand secret, un samedi après-midi de juillet. Afin que la rencontre paraisse fortuite – le jeune ado ne devrait jamais soupçonner une quelconque machination – Odile l’aborderait au rayon mangas de la FNAC où il avait ses habitudes. À elle ensuite de se débrouiller pour l’entraîner jusque dans un hôtel voisin où le père avait déjà réservé une chambre. Pour Odile, le plus dur dans l’affaire fut de se libérer un samedi après-midi, mais à force de persuasion et de ruse, Sébastien finit par accepter d’accompagner les garçons à un parc d’attractions où ils resteraient jusqu’au feu d’artifice nocturne.comptable15-4

Le jour venu, Odile hésita longuement sur son habillement. Elle avait le choix entre un look jeune : jupe courte de couleur vive, T-shirt moulant, tennis et socquettes… ou un style plus classique d’allumeuse à base de cuir. De crainte d’effrayer le jeune homme – assez farouche selon les dires de son père – elle opta pour le look jeune qu’elle renforça avec un bandana, des bijoux de pacotille et un maquillage très léger.

Lier conversation avec le jeune ado et surtout le convaincre de l’accompagner jusqu’à l’hôtel se révéla une tâche beaucoup plus ardue qu’elle ne se l’était imaginée. En effet, Antoine était peu bavard et surtout méfiant. Pourtant, Odile l’avait vite repéré, assis à même le sol, entre deux rayonnages, entièrement absorbé dans un manga. Odile se présenta comme une tante venue de province pour l’anniversaire de son neveu à qui elle souhaitait offrir des albums de BD japonaise. Mais elle n’y connaissait rien. Peut-être pourrait-il l’aider et la guider dans son choix ? Il accepta visiblement plus par politesse que par plaisir Ce n’est qu’au bout d’une bonne demi-heure de conversation qu’elle surprit un furtif regard de l’ado posé sur son décolleté plus qu’engageant. Il avait enfin mordu à l’hameçon. Elle aussi le regarda plus attentivement : visage encore enfantin, yeux pers, belles mains, plutôt grand, cheveux châtains avec une mèche rebelle plus claire… Rien que du classique ! Quand elle eut choisi ses trois BD, elle lui proposa de boire un verre dans un bar. Elle le sentit hésiter une dernière fois entre le plaisir de la lecture et une possible aventure… Il la suivit.

comptable15-2 Elle était désormais maîtresse du jeu. Coca en terrasse façon de lui montrer ses cuisses, fausses confidences : divorcée, ennui en province, besoin de parler… Elle feuilleta distraitement les albums qu’elle venait d’acheter et joua les fausses ingénues :

- J’ai entendu dire qu’il y avait des mangas qu’on appelait hentaï… Vous connaissez ?

Odile s’amusa de le voir rougir jusqu’aux oreilles. Il bafouilla.

- Oui… enfin pas beaucoup… Ce sont des BD pour adultes… Comment dire…

- Pornographiques, c’est ça ?

Il hocha la tête en signe d’approbation. Odile parvint à saisir son regard jusqu’à ce qu’il y lise son désir.

- On y va ?

Elle lui prit la main et l’entraîna.

Les deux heures qui suivirent rappelèrent à Odile ses premières expériences amoureuses lorsqu’au retour d’une sortie en boîte de nuit, elle se faisait peloter et sauter sur la banquette arrière d’une voiture, ou quand, à la sortie du lycée,  un camarade de classe la raccompagnait jusque chez elle et, la main sous sa jupe, lui caressait la chatte dans l’ascenseur.

Le corps nu d’Antoine était à l’image de son visage juvénile : une peau douce, sans tache, d’un blanc presque laiteux. Quelques poils pubiens mais une musculature à peine ébauchée. Ses lèvres étaient parfumées à la chlorophylle Hollywood et sa bite au savon de Marseille. Une belle bite d’ado, droite comme un i, tendue à tout rompre vers le plafond. Il n’osait pas toucher. Odile lui posa la main sur son ventre et la guida entre ses cuisses  jusqu’à sa fente déjà trempée. Quand il lui caressa le clitoris, elle soupira si fort que le jeune Antoine en fut un peu effrayé et qu’elle dut le rassurer et l’encourager à poursuivre. Mais à peine lui avait-il glissé deux doigts dans le con qu’il éjacula sans préavis. Cela jaillit avec force, projetant des salves de sperme sur la descente de lit. Le jeune Antoine en fut tout contrit.comptable15-1

Mais il n’en débanda pas pour autant. C’est un des privilèges de la jeunesse que de demeurer en érection quasi permanente. Maintenant qu’il avait joui une première fois, Odile pouvait à loisir le branler, le sucer, lui caresser les couilles sans retenue… Elle lui fit tout cela et bien plus encore. Elle lui montra sa chatte, son cul, lui demanda de la lécher partout. Il jouit une seconde fois quand il lui enfonça sa jeune bite dans le vagin, sans même avoir le temps de quelques va-et-vient. Alors, il fallut tout recommencer à zéro : les baisers, les câlins, les mains baladeuses, les poses obscènes…

Il banda de nouveau, toujours aussi fort. Et cette fois, il dura plus longtemps, assez pour qu’elle puisse jouir elle aussi de cette belle bite toute neuve. Pour finir, elle aurait aimé qu’il l’encule, mais il s’y refusa avec véhémence en disant que c’était sale. Elle dut donc se satisfaire d’une seconde bordée de sperme dans le vagin…

Lorsque ce fut terminé, Antoine se crut amoureux et demanda à Odile comment ils pourraient se revoir. Elle lui refila un numéro de portable bidon et alla s’enfermer dans la salle de bains. Une demi-heure plus tard, quand elle en ressortit, le jeune Antoine n’était plus là.

 

La semaine suivante, Odile eut une brève rencontre avec le père d’Antoine. Alors qu’il l’enculait profondément, elle lui fit en détail le récit du dévergondage de son fils. Le père en fut si satisfait qu’il laissa à Odile une enveloppe bien garnie en récompense de ses services.comptable15-5

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013


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Samedi 20 juillet 2013 6 20 /07 /Juil /2013 10:03

Rappel : Odile, sous la protection du Président, va se faire putain occasionnelle

Sur le site de rencontres discrètes elle proposait ses services sous le nom de Claudia. Il n’y avait aucune photo, rien que ces trois informations : 38 ans, 1m65, mariée. Elle n’était disponible que les mardi et jeudi, de 14 à 18 heures, sur rendez-vous. « Spécialités bourgeoises », c’était une des trouvailles du Président.

comptable14-1Depuis septembre, Odile était passée à temps partiel, officiellement pour consacrer plus de temps à ses enfants et à l’Association de Parents d’Élèves de l’école dont elle était devenue vice-présidente.

Quand elle avait une demande de rencontre, c’était Alexandre Delorme en personne qui la prévenait, lui précisait dans quel hôtel et à quelle heure elle était attendue, ainsi que les préférences du client. C’était lui qui gérait le site, opérait une présélection des clients, s’assurait de leur solidité financière, fixait les tarifs des différentes prestations de Claudia et assurait sa protection. Sous sa tutelle, elle se sentait en sécurité, d’autant plus que ses premiers clients, triés sur le volet, lui parurent totalement inoffensifs.

Il s’agissait surtout de cadres supérieurs, de commerciaux en costume cravate, soucieux de discrétion et plutôt pressés. La plupart arboraient une cinquantaine bien portante, qui sentait bon le parfum Hermès. Les chaussures étaient en cuir souple d’Italie, les cravates en soie, les bites soignées. Pendant qu’elle les déshabillait, ils lui racontaient leur morosité conjugale, leurs interminables réunions de comités d’entreprise, leurs angoisses fiscales… À leurs yeux, elle n’était rien d’autre qu’une employée comme tant d’autres, dont ils attendaient le meilleur rapport qualité-prix. Et s’ils étaient satisfaits de ses services, le petit cadeau qu’ils laissaient en partant n’était pas autre chose qu’une prime de compétitivité. Claudia n’était rien d’autre qu’une ouvrière du sexe, une sorte de robot humain : ses mains étaient des machines à caresser, sa bouche une machine à sucer, son con et son cul des machines à jouir. Odile elle-même se sentait machine nommée Claudia. Claudia ouvrait les cuisses mécaniquement, taillait des pipes comme un aspirateur à foutre, se faisait pistonner le vagin et le rectum où la verge-outil du client allait et venait, accompagnée des petits chuintements huileux de son ventre machine qui s’autolubrifiait et pompait leur sperme jusqu’à la dernière goutte. Deux après-midi par semaine, Odile se glissait dans la peau de Claudia, la machine à baiser.comptable14-3

Claudia portait une jupe de cuir noir qui tombait juste au-dessus du genou, un chemisier de soie mauve et des bottines à talons hauts. Dessous, elle sacrifiait aux fantasmes érotiques de la bourgeoisie de province : bas sombres, porte-jarretelles en dentelle noire, petite culotte et soutien-gorge de marque. Tout était soigné, des ongles manucurés au rouge à lèvres, en passant par le fond de teint et le coup de peigne. Pas de parfum pour ne pas éveiller les soupçons des épouses jalouses. Claudia savait faire bander les hommes en se frottant contre eux tout en leur caressant à pleine paume la bite à travers le pantalon, en les embrassant dans le cou et en leur passant la pointe de la langue derrière le lobe de l’oreille. Claudia avait appris à se déshabiller en ondulant des hanches et en dessinant des arabesques avec ses mains de magicienne ; Claudia était passée maîtresse dans l’art de la turlute, à l’affût des plus subtiles vibrations de la queue du client, afin de retarder ou au contraire précipiter à la demande la montée du foutre salvateur. Grande palpeuse de couilles, gratteuse de scrotum, fouineuse d’anus, branleuse de vit, telle était Claudia, capable de simuler à la perfection toutes les vocalises du coït : le soupir retenu, le râle étouffé, le brame de l’orgasme, le souffle court et rauque du désir déchaîné… Pendant qu’ils la tripotaient, qu’elle les suçait ou qu’ils la baisaient, Claudia se faisait traiter de salope, de chienne, de putain, de garce et autres amabilités. Ils ajoutaient qu’elle était bonne, chaude, vicieuse, affamée de sexe… Claudia ne disait rien de compromettant, juste des formules toutes faites comme «  Vous avez une belle queue », « Venez, baisez-moi, j’en ai trop envie», «Vas-y, plus fort ! » «Oh ! Oui, oui, oui !!! »…

comptable14-2Les «rencontres » avaient lieu dans des hôtels trois étoiles du centre ville. Les chambres y étaient très confortables, avec de grands miroirs muraux, de larges écrans plats, des lits XXL et des salles de bains si spacieuses qu’on avait envie de s’y attarder. Quand ils voyaient Claudia traverser le hall en jupe noire et talons hauts, les employés de la réception n’étaient pas dupes. Elle se sentait déshabillée par leurs regards qui caressaient sans retenue sa croupe qui chaloupait vers l’ascenseur.

 

Depuis qu’elle était devenue putain à temps partiel, Odile ne rencontrait plus le Président que de temps en temps, essentiellement à l’occasion de la réunion mensuelle du bureau de l’Association de Parents d’Élèves. Odile y siégeait à côté du Président et y jouait à merveille son rôle de bras droit sourcilleux des règlements et procédures. À l’issue de l’assemblée, quand les autres s’en étaient allés, Claudia et le Président se penchaient sur les comptes de leur trésorerie personnelle, leur petite « caisse noire » comme ils l’appelaient en plaisantant. Ils se partageaient équitablement les gains du mois. Parfois, le Président manifestait l’envie de baiser, mais depuis qu’Odile était devenue Claudia, leur relation intime avait changé de nature ; entre eux, il n’était plus question d’amour, ni même de désir réciproque. Tout juste pouvait-on parler d’hygiène et parfois de routine. Et désormais, qui suçait la queue du Président : Odile la trésorière ou Claudia la putain ? 

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

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Mercredi 17 juillet 2013 3 17 /07 /Juil /2013 11:51

Rappel : En compagnie du Président, Odile est en train de visionner les vidéos des passes de son mari avec des prostituées

 

27 juin, 15 heures. Ils pénètrent dans le hall en se tenant par la main, comme un couple aguerri. Pendant que Sébastien paye à la caisse automatique, elle se tient à ses côtés, tout contre lui. Au moment où ils vont s’engager dans le couloir qui mène aux chambres, Odile demande une pause afin de s’imprégner de l’image de cette femme. Vêtue avec élégance (tailleur plutôt strict, chaussures à talons, écharpe de soie), elle est aussi très bien coiffée. Brune, les traits réguliers, la silhouette harmonieuse, elle paraît avoir la quarantaine passée.

comptable13-1- Vous avez des informations sur cette femme ? demande Odile.

Le Président n’a même pas besoin de consulter ses notes comme s’il s’attendait à cette question.

- Oui. C’est une occasionnelle. Elle a quarante-deux ans, mère de deux enfants, en instance de divorce. Elle travaille en intérim comme secrétaire ou standardiste dans des cabinets médicaux. Trois après-midi par semaine, elle se met à son compte.

Tout en lui parlant, le Président caresse l’intérieur des cuisses d’Odile qui a écarté les jambes pour lui ouvrir le chemin de son sexe. Elle ne parvient pas à détacher son regard du visage de la femme qui se tient serrée contre Sébastien. Elle se sent mouiller de l’intérieur.

- On continue, souffle-t-elle.

Une fois dans la chambre, quand Sébastien lui a donné ses billets, elle les pose sur la table de chevet à côté de son sac à main. Mais au lieu de se déshabiller, la voilà qui passe tendrement ses bras au cou de Sébastien, se frotte contre lui comme une chatte en saison, lui caresse la nuque, l’embrasse au creux de l’oreille. Sébastien n’est pas en reste : il la tient par la taille, lui flatte les fesses, épouse du plat de la main la courbe de ses hanches. Odile se sent spectatrice de l’intimité de deux amants, et c’est à peine si elle réalise que le Président lui branle délicieusement le clitoris.comptable13-2

Enfin, ils s’écartent l’un de l’autre, mais c’est pour mieux se regarder. La femme se défait de la veste de son tailleur et attend que Sébastien continue son effeuillage. Chacun déshabille l’autre, lentement, en prenant le temps de se regarder, de se caresser, de se montrer… La femme porte des dessous chics, avec des bas noirs et un porte-jarretelles bien ajusté. Ils se laissent aller sur le lit, tendrement enlacés, chacun se délectant du corps de l’autre. Odile n’en peut plus de jalousie et de désir. Nouvel arrêt sur image, arrêt sur la queue diaboliquement raide de Sébastien, tendue vers la chatte épanouie de la femme alanguie sur le lit, en attente d’amour. Alors, Odile se tourne vers le Président, lui ouvre la braguette et en extrait sa queue bondissante et chaude. Elle en a une envie sans limites, sans aucune retenue. Cette queue, cette bite, ce braquemart, elle le veut dans sa bouche, sous ses aisselles, entre ses seins, entre ses cuisses, dans son con, dans son cul, partout où il pourra se glisser, coulisser, aller et venir, et jouir. Juter jusqu’à lui noyer le vagin, lui beurrer le ventre, lui engluer le rectum…

- S’il vous plaît, arrêtez la vidéo, j’en ai assez vu, dit-elle juste avant de prendre en bouche le sexe du Président.

comptable13-3Plus tard dans la soirée, alors que son vagin suintait de sperme encore tiède, alors qu’il lui agaçait encore distraitement les tétons, Odile se laissa tendrement aller contre le corps de son maître.

- À votre avis, est-ce que je serais à la hauteur ? Répondez-moi  franchement !

- Franchement oui. Il vous faudrait juste apprendre quelques trucs, de la technique de base.

- Vous seriez prêt à m’aider pour ça ?

- C’est possible. Cinquante, cinquante ?

- Ça marche. Mais à ce tarif-là j’aurais droit à quoi ?

- Protection maximum de votre vie privée, impunité et sécurité. Mais nous en reparlerons un autre jour. Pour l’instant, allez faire un brin de toilette avant de vous rhabiller, sinon votre mari et vos enfants vont finir par s’inquiéter.   

 

 à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

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Samedi 13 juillet 2013 6 13 /07 /Juil /2013 07:03

Rappel de l'épisode précédent : Odile a demandé au Président de faire surveiller son mari afin de filmer secrètement ses rencontres avec les prostituées

 

Pendant plus de deux semaines, Odile Varney demeura sans nouvelles du Président. Il ne répondit ni à ses mails, ni à ses innombrables appels téléphoniques. Elle alla même jusqu’à frapper à sa porte, en vain. En d’autres temps, ce silence l’aurait rassurée ; désormais, il lui était insupportable. Elle ne pouvait plus se passer de la tutelle d’Alexandre Delorme. En quelques mois, il était devenu son amant, son protecteur, une figure paternelle avec laquelle elle entretenait une relation quasiment incestueuse. Elle avait besoin de son autorité, de lui obéir aveuglément, d’assouvir ses fantasmes, de se soumettre à ses désirs.

comptable12-1Cependant, Odile était aussi passée maître dans l’art du masque, de la dissimulation de ses sentiments les plus intimes. Aussi continuait-elle de donner à son entourage l’image lisse d’une mère de famille modèle, se consacrant essentiellement au bonheur de son époux et de ses enfants, à sa réussite professionnelle, au bien-être de son foyer. Sébastien serait sans soute tombé des nues s’il avait appris que dans ses moments de solitude, sa femme se masturbait aussi régulièrement que frénétiquement. Tout lui était bon pour jouir : poire de douche, flacons de shampoing oblongs, brosse à dents électrique dont les vibrations lui stimulaient diaboliquement le clitoris. Chaque jour, elle s’offrait ainsi plusieurs orgasmes dont l’évocation du Président décuplait l’intensité.

Lorsqu’il lui donna enfin signe de vie, Odile n’en pouvait plus d’attendre. Afin de disposer d’une soirée en tête à tête avec sa trésorière, le Président prétexta une réunion extraordinaire du bureau de l’association, le jeudi suivant, à partir de 21 heures, afin de –courrier de convocation à l’appui- préparer le budget de l’année suivante.

Comme elle le pressentait, Odile était la seule invitée de la réunion. Évidemment, à aucun moment, il ne fut question de comptabilité. Ils s’assirent côte à côte dans le canapé, devant la table basse du salon sur laquelle le Président avait posé son ordinateur portable.

- Dans l’hôtel, mes services ont installé trois caméras très discrètes. Officiellement, il s’agit de surveiller des dealers. La première caméra filme le hall d’entrée devant le guichet automatique qui délivre les cartes magnétiques qui donnent accès aux chambres. Je me suis arrangé pour que, lorsque c’est votre mari qui se présente, ce soit toujours la même chambre qui lui soit attribuée. Dans cette chambre, il y a deux caméras : une face au lit, une autre dans la salle de bains. Au cours des dernières semaines, votre mari est venu deux fois… Vous voulez voir ?

Malgré sa curiosité, Odile avait une boule d’angoisse à l’estomac. Elle avait la gorge tellement sèche qu’elle fut incapable d’articuler le moindre mot et ne put que hocher la tête en signe d’acquiescement. Alors, le président appuya sur la touche « play ».

23 juin. 18h32. Vue plongeante en enfilade sur le corridor d’accueil de l’hôtel. Un couple entre. Sébastien se dirige vers la caisse automatique, y introduit sa carte bancaire. La femme qui l’accompagne se tient en retrait, l’air indifférent. Elle porte une jupe ultra-courte, un débardeur qui contient à grand peine sa poitrine, un sac en bandoulière. Sébastien récupère sa carte bancaire et la clef magnétique de leur chambre. Il se dirige vers le fond du couloir, elle le suit avec nonchalance.comptable12-3

18h40. Vue panoramique sur la chambre et le lit. La première chose que fait la fille, c’est de s’emparer de la télécommande pour allumer la télé, puis elle s’assoit au bord du lit. Sébastien lui tend trois billets qu’elle fourre dans son sac à main. Sans plus attendre, elle ôte son débardeur, relève sa jupe et écarte les cuisses en se soupesant les seins. Il s’approche. La main droite de la fille se pose directement sur la braguette qu’elle ouvre avec dextérité. Avec une étonnante économie de gestes, elle lui baisse le pantalon, saisit sa queue déjà raide et entreprend de le sucer. Il se laisse faire de bonne grâce. Odile ne peut que constater qu’il bande ferme et ça lui fait quand même un petit pincement au cœur de voir le père de ses enfants se faire tailler une pipe par une putain, plutôt belle de surcroît. Ça dure un bon moment. Quand il en a sa dose, il se recule d’un pas. Ses lèvres murmurent quelques mots indistincts, mais on devine qu’il demande à la fille de se mettre en position : elle ôte sa culotte, se met à quatre pattes au bord du lit, les fesses en l’air, les cuisses écartées, de façon à lui présenter sa fente béante. À peine la capote en place, il la saisit par les hanches, l’enfile et se met à la pistonner. Les gros seins de la fille ballottent dans le vide. Elle est totalement passive.

comptable12-2Odile jette un regard en coin au Président assis à ses côtés. Il ne manifeste aucune émotion particulière.

Pendant que la fille se rince la chatte avec la poire de douche, Sébastien se lave la queue à grande eau dans le lavabo. Puis elle se rhabille avec nonchalance et quitte la chambre sans un mot, sans un regard. Fin de l’enregistrement.

- Qu’est-ce que vous en pensez ? demande le Président en posant sa main sur le genou d’Odile.

- Difficile à dire… Un sentiment étrange, entre le dégoût et la pitié.

- Pitié pour qui ? Pour votre mari ?

- Sûrement pas ! Plutôt pour la fille, elle mérite sans doute mieux que ça !

- Avez-vous envie de voir la suite ?

- Oui.

De sa main libre, il appuie de nouveau sur la touche « play » de la télécommande, pendant que l’autre remonte sournoisement entre les cuisses d’Odile.

 

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 9 juillet 2013 2 09 /07 /Juil /2013 14:26

Comme promis, La Trésorière est de retour pour la suite de ses aventures.

Rappel des épisodes précédents : Odile Varney, épouse et mère de famille, est aussi Trésorière de l'Association des Parents d'Elèves de l'école primaire. Une malencontreuse erreur de comptabilité la jette entre les griffes de Alexandre Delorme, Président de l'Association et fonctionnaire de police, qui la fait chanter. Pour tenter d'échapper à des poursuites judiciaires, elle se donne à lui. Au fil des mois, se noue entre eux une  relation intime, faite de chantage, d'attirance et de plaisirs charnels. Mais bientôt, le Président apprend à Odile que son mari la trompe et fréquente régulièrement des putains... Il lui donne même les codes d'accès à l'ordinateur de son mari afin qu'elle vérifie ces informations...


Dès qu’elle en eut l’opportunité, Odile alla fouiner dans les entrailles du PC portable de Sébastien. L’occasion ne tarda pas à se présenter : un soir, alors que Sébastien avait mis sa batterie à recharger pour le lendemain, Odile, comme par mégarde, coupa l’alimentation de la prise commandée où était branchée la batterie, si bien que le lendemain matin, au moment de partir au travail, Sébastien ne put que constater que la batterie était vide. Il s’en alla sans son portable. Une fois les enfants déposés à l’école, Odile ouvrit la session et grâce aux sésames que lui avait donnés le président, elle commença ses recherches

comptable11-1À première vue, rien que du professionnel : des rapports, des tableaux, des devis, des études de chantiers, des comptes-rendus de réunions… Dans le dossier « contacts » elle crut toucher au but, mais ce n’étaient que des coordonnées d’entreprises de sous-traitance. Elle allait  renoncer lorsque, sans un sous-dossier d’études de marché, elle dénicha enfin ce qu’elle cherchait et redoutait. Le fichier qui s’appelait innocemment « maintenance » se présentait sous la forme d’un tableau : dans la colonne de gauche, une liste d’une trentaine de prénoms : Malika, Zohra, Ingrid… En face, les rubriques téléphone, origine, horaires, lieu, tarif, spécialités, note… Elle en lut une au hasard : Déborah, Roumanie, 06-27-43…, mardi-mercredi, 19-20h, parking F1 C, 70 €, pipe-sodo, A+. Cela avait le mérite de la clarté. Après avoir copié le fichier sur une clef USB, Odile reprit ses recherches et ne tarda pas à tomber sur les albums photos, à peine cachés dans le dossier « photos chantiers ». Non content de les baiser, Sébastien les photographiait. Malgré sa rage, Odile devait se rendre à l’évidence : les filles étaient souvent jeunes et plutôt belles. Sébastien avait visiblement un faible pour les gros seins, les sexes glabres, les longues jambes et les bouches épaisses. Les filles posaient le plus souvent les cuisses écartées, le sexe béant, avec parfois du sperme entre les fesses ou au bord des lèvres. Elles souriaient… 

En fin d’album, il y avait quelques photos un peu particulières, classées dans une sous-rubrique que Sébastien avait malicieusement appelée « rénovations ». Effectivement, la dizaine de femmes photographiées dans ce dossier n’étaient plus toutes jeunes : les seins étaient un peu tombants, les hanches lourdes, les pubis poilus, les sexes plus larges… Elles se prénommaient Monique, Solange ou Brigitte…

Malgré sa colère, le spectacle de ces femmes qu’elle aurait pu croiser à la grille de l’école troubla Odile au plus profond. L’idée qu’elle pourrait être l’une de ces femmes lui traversa l’esprit et s’y insinua perfidement. Elle en ressentit même comme une chaleur dans le ventre, si bien qu’elle éteignit rapidement l’ordinateur et quitta sans tarder l’appartement partagée entre son désir de vengeance et sa faim maintenant insatiable de sexe.

 

comptable11-3Dès le lendemain après-midi, Odile se rendit chez le président. Ensemble, ils regardèrent les photos et consultèrent les fichiers qu’Odile avait copiés sur l’ordinateur de Sébastien. Ils étaient nus sur le canapé : pendant qu’Odile branlait nonchalamment la bite d’Alexandre, il lui caressait doucement le clitoris de l’index et du majeur réunis et enduits de cyprine visqueuse ?

- Vous avez remarqué qu’il a ses habitudes dans deux hôtels en particulier ? dit-il en lui glissant le pouce dans le vagin. Pour les jeunes des pays de l’est, c’est un Formule 1, pour les femmes plus âgées, il s’agit souvent d’un Campanile en bordure de zone industrielle.

C’était le flic qui parlait.

- Et alors, c’est important ? demanda Odile.

- Important, non ; disons plutôt intéressant. Elles sont organisées. Elles louent sans doute les chambres à l’année, à tour de rôle pour ne pas éveiller les soupçons. Ce sont des hôtels pratiques pour ce genre d’activité : soit c’est une caisse automatique, soit on n’est pas obligé de passer par le hall de réception pour accéder aux chambres. Idéal pour la discrétion ! Je parie que leurs chambres sont au rez-de-chaussée et donnent sur l’arrière de l’hôtel, à l’abri des regards…

Odile parut soudain s’intéresser aux paroles du président. Elle lui serra plus fort la bite pendant qu’une idée vénéneuse germait dans sa tête.

- Il paraît qu’on peut poser des micros dans les locaux privés pour écouter les conversations, c’est vrai ?

- Bien sûr, c’est un jeu d’enfant ! Il faut juste obtenir une autorisation officielle…

- C’est réservé aux terroristes ?

- Pas uniquement. On peut aussi surveiller les trafiquants de drogue, les braqueurs, les mecs qui sont dans la contrebande… enfin, tout ce qui peut troubler l’ordre public.

- On peut aussi installer des caméras ?

- C’est possible, mais plus compliqué…

Odile se tut, se pencha sur la queue raide du Président, la prit profondément en bouche et la suça avec tendresse. Elle joua avec pendant de longues minutes avant de la reprendre en main, luisante de salive.

- Si je vous le demandais, vous le feriez pour moi ?

- Quoi ?

- Poser des micros et des caméras dans les chambres d’hôtel.

- Pour espionner votre mari ?

- Entre autres…

Elle le sentit ramollir sous ses doigts.

- Je ne sais pas, c’est assez risqué…

- Et si je vous donne mon cul ?comptable11-2

Ce disant, elle se redressa, enjamba le corps nu du Président et, à genoux au-dessus de lui, elle reprit sa queue et présenta sa tête violacée entre ses fesses, aux portes humides de son rectum. Tout en le regardant droit dans les yeux, elle abaissa lentement son bassin. La bite de nouveau raide du Président lui força l’anus et s’enfonça méthodiquement dans son cul dilaté. Au fur et à mesure qu’elle se pénétrait, elle la sentait vibrer de plaisir. Quand elle le devina planté jusqu’aux couilles, elle lui murmura à l’oreille :

- Alors ?

- Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne vous promets rien…

Puis, après un long silence, il ajouta :

- Peut-être que j’aurais besoin de plus d’engagement de votre part.

Ces derniers mots la parcoururent de part en part, semant inquiétude et excitation

- Je ferai tout ce que vous exigerez de moi, s’entendit-elle promettre d’une voix féline qu’elle ne se connaissait pas.

Cette après-midi-là, il lui jouit deux fois dans les entrailles, à grandes bordées de sperme chaud. Odile s’offrit aussi plusieurs orgasmes, mais plus retenus, comme si elle avait la tête ailleurs.

 

  à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2013

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Vendredi 28 juin 2013 5 28 /06 /Juin /2013 17:22
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Samedi 30 mars 2013 6 30 /03 /Mars /2013 16:08

osez-voyeurs

Nouveau recueil de "Osez 20 histoires de..." aux éditions de La Musardine. Encore une fois, votre serviteur est de l'aventure avec une nouvelle intitulée "Le portrait de l'Inspecteur Harry". Bonne lecture à tous !

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 1 mars 2013 5 01 /03 /Mars /2013 05:59

Suite et fin de la soirée privée, et épilogue...

 

- Alors, à votre avis, quel numéro portait votre mari ? me demanda la voix.

Je dois avouer que j’aurais été bien en peine de le dire. En fait, j’avais complètement oublié l’enjeu de l’épreuve.

 - Le 7, dis-je au hasard.

promotion2Je crus distinguer quelques rires. Je pensais en avoir terminé lorsque la voix reprit :

- On va pouvoir passer à la seconde épreuve. Mesdames les candidates, vous allez devoir sucer – prendre en bouche si vous préférez – l’une après l’autre, toutes les bites des messieurs ici présents. Une minute par pipe. À vous de reconnaître celle de votre compagnon.

Là, je me suis dit intérieurement que je n’avais aucun risque de me tromper : j’identifierais Marc à l’odeur familière de son parfum. Mais je dus vite déchanter et constater à quel point j’étais naïve : tous les hommes avaient été au préalable vaporisés à la même eau de toilette, un truc bas de gamme qui empestait l’after-shave à plein nez et masquait toutes les autres odeurs. Il ne me restait plus donc qu’à ressembler mes souvenirs : la bite de Marc était assez longue, fuselée, bien droite, et d’un calibre moyen. Nous étions assises au bord de l’estrade, les mains liées dans le dos pour nous empêcher de toucher les hommes.

La première queue à forcer mes lèvres était large, épaisse mais mollement bandante. Elle m’emplit malgré tout la bouche et faillit me soulever le cœur. Et ainsi défilèrent les onze autres : des dures comme de l’acier, une très grosse, une autre de taille ridicule, la plupart d’un modèle standard. Il y en avait qui se contentaient de me la mettre au plus profond où ils ne bougeaient plus en attendant que je les tète, d’autres qui allaient et venaient mécaniquement comme dans un vagin. Le numéro 8 n’y introduisit que le gland que je mordillai tendrement à la manière d’un chiot. Cette caresse inattendue l’excita tellement qu’il éjacula avec vigueur, projetant des bordées de sperme épais au fond de ma gorge. J’avalai le tout sans rechigner. Il y eut des « Oh ! » dans l’assemblée et même quelques applaudissements.promotion8

À peine le numéro 12 avait-il quitté ma bouche que la voix se penchait à mon oreille.

- Vous l’avez reconnu ? Nous attendons votre verdict.

- J’hésite entre le 3 et le 9

- Il faut vous décider.

- Le 3 alors. !

Nous tenant par la main, on nous a accompagnées jusque dans une sorte d’antichambre où on nous a détachées, ôté nos bandeaux et remis nos vêtements. Restées seules toutes les trois, ce fut à peine si nous osions nous regarder, tant nous étions gênées et honteuses. Rhabillées et affublées de nos loups noirs, nous avons tout de même échangé quelques regards furtifs, mais pas une parole. Une fois prêtes nous avons rejoint les autres.

La soirée se poursuivit comme si de rien n’était et prit fin vers deux heures du matin. Sur le chemin du retour, Marc resta silencieux et, dans les jours qui suivirent, aucun de nous n’évoqua, même à demi-mot, cette soirée si étrange.

 

                                                           ***/***

Enfin, hier après-midi, Marc m’a passé un coup de fil du boulot. Rien qu’au ton de sa voix, j’ai senti que c’était une bonne nouvelle.

- Elisabeth, tu ne le croiras pas : je sors du bureau du patron, me dit-il joyeusement. C’est bon, j’ai le poste ! C’est super, non ?

- Félicitations, mon chéri.

Cependant une question me brûlait les lèvres

- Et les résultats du test, il te les a donnés.

Silence. Je l’ai senti brusquement très embarrassé.

- Non… Il dit que c’est confidentiel.

 

© Michel Koppera, mai 2012

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 27 février 2013 3 27 /02 /Fév /2013 09:46

Reprenons le fil de cette soirée très particulière...


Tout un côté de la pièce était occupé par une longue table qui faisait office de buffet garni de plateaux de petits fours, de canapés au caviar, de verrines colorées… Le champagne était à volonté. Sur les trois autres côtés de la pièce étaient alignés de grands et profonds canapés de velours rouge où étaient déjà installés quelques convives et, au centre de la pièce, isolée, il y avait une sorte d’estrade entièrement recouverte d’un drap noir. Cela ressemblait à une petite scène à laquelle on accédait par un petit escabeau à deux marches.

promotion1L’ambiance était détendue mais étrange, pas seulement à cause des masques, mais aussi en raison d’une certaine retenue : pas de rires bruyants, pas de musique de fête… En bruit de fond, une simple musique d’ambiance, comme dans les ascenseurs.

Enfin, lorsque les appétits furent calmés et que chacun fut un peu grisé par le champagne, une femme monta sur la petite estrade et demanda le silence – il me sembla reconnaître la voix de la secrétaire de direction que j’avais eue au téléphone une quinzaine de jours auparavant.

- Mesdames, messieurs, comme vous le savez, le départ de M. Berthou va libérer le poste de DRH. C’est un poste à responsabilités qui exige des qualités remarquables, tant en interne qu’en communication externe. Dans ce cadre, la compagne du DRH a son rôle à jouer : elle n’est pas simplement une épouse, c’est aussi une collaboratrice et un soutien. Aussi, afin de mettre tous les atouts de notre côté, nous avons décidé de procéder à une sorte de test d’aptitude auprès des compagnes des trois cadres susceptibles d’occuper ce poste. Je demande donc à mesdames Valérie Thomain, Elisabeth Sevran  et Sylvaine Gallois de bien vouloir me rejoindre sur l’estrade.

À l’annonce de mon nom, j’ai senti mes jambes fléchir et un frisson glacé m’a couru dans le dos. Marc a posé une main sur mon épaule pour m’encourager.

- Vas-y, fais le pour nous, m’a-t-il soufflé à l’oreille.

Les deux autres femmes, l’une blonde, l’autre châtain, n’en menaient pas large non plus. Une fois montées sur l’estrade, la secrétaire expliqua à l’assemblée la règle du jeu :promotion5

- Nous allons mettre à chacune des candidates un bandeau sur les yeux. Ensuite, elles ôteront tous leurs vêtements pour ne conserver que leurs chaussures et éventuellement leurs bas. Une fois dénudées, elles se mettront toutes les trois en position, c'est-à-dire à quatre pattes sur l’estrade, un peu cambrées, dans la position d’une chienne en chaleur. Alors, à tour de rôle, les convives qui le souhaitent seront invités à leur lécher l’entrefesses pendant une minute. Chaque lécheur se verra attribuer un numéro de passage. À l’issue de l’épreuve, chaque candidate devra annoncer à haute voix à quel numéro lui paraît correspondre celui de son compagnon.

Ce discours m’a figé le sang. J’ai désespérément cherché le regard de Marc mais des larmes embuaient mes yeux et devant moi, tout n’était plus que brouillard.

Ensuite, tout alla très vite. Tournée vers le mur, on a ôté mon masque aussitôt remplacé par un bandeau opaque, on m’a entièrement déshabillée, puis on m’a agenouillée et forcée à me mettre à quatre pattes, la croupe offerte et tournée vers l’assemblée. J’ai senti contre ma hanche la peau d’une autre des concurrentes : elle était moite et glacée. Une main m’a obligée à écarter les genoux pour m’ouvrir davantage, puis plus rien… rien que la musique douce qui tombait du plafond.

L’attente m’a paru interminable.

Enfin, j’ai senti un souffle entre mes cuisses, puis une bouche se poser sur mon sexe. Une voix a annoncé : N° 1. C’était une bouche épaisse, sans doute avec une moustache qui me chatouillait le périnée. Elle a commencé par me lécher maladroitement le clitoris, puis la langue s’est glissée dans mon vagin comme une limace chaude. J’en ai frissonné de honte mais sans aucun plaisir. Pour terminer, il a bien tenté de me lécher l’anus mais sans éveiller en moi autre chose que le dégoût. Jamais une minute ne m’a paru aussi longue.

promotion3Ce n’est qu’au quatrième lécheur que je me sentis mouiller malgré moi. Ses lèvres étaient incroyablement douces, sa langue souple, chaleureuse, et habile en plus. À chaque fois qu’elle me titillait le clitoris, une vague de cyprine m’inondait le vagin. Je la devinais qui lapait mon jus le plus intime. Quand elle m’abandonna, je me sentis béante, avide et gourmande, dans l’attente du suivant. Ensuite vinrent d’autres bouches, d’autres lèvres, d’autres langues, d’autres souffles brûlants sur mon anus maintenant dilaté et accueillant. J’étais sans cesse au bord de l’orgasme, tout comme ma voisine de droite qui peinait à retenir ses soupirs rauques.

Lorsque la voix annonça le numéro 13, je compris que je n’avais pas été léchée que par des hommes, mais que des femmes participaient aussi à l’épreuve. Loin de me révulser, la pensée d’avoir le cul brouté par une femme ne fit qu’exacerber mon plaisir. Je m’ouvris davantage. Le numéro 17 fut le dernier participant et pas le plus désagréable, loin de là.

- Alors, à votre avis, quel numéro portait votre mari ? me demanda la voix.

à suivre...

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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