inédits

Lundi 23 juillet 2012 1 23 /07 /Juil /2012 13:34

Chapitre 2 : Après son "face à face" avec le Président, Odile se retrouve face à elle-même pendant une semaine... Que va-t-elle faire ?

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 Rongée de remords et d’angoisse, Odile passa une semaine épouvantable. Le mardi soir, à peine de retour chez elle avec ses enfants, elle avait commencé à mesurer la portée de ce qui était arrivé. Elle eut beau se dire que ce n’était qu’un accident, un triste moment d’égarement, qu’elle n’était coupable d’aucune infidélité, les images de cette après-midi de malheur ne cessèrent de la hanter. Pas uniquement les images, mais aussi les mots, les odeurs, les saveurs. Ces souvenirs lui faisaient horreur Quoi qu’il puisse arriver, elle était fermement résolue à ne plus jamais remettre les pieds dans l’appartement d’Alexandre Delorme. Elle envisagea même d’abandonner ses fonctions de trésorière de l’association, mais y renonça bien vite en pensant que cette démission pourrait éveiller les soupçons et être par la suite interprétée comme un aveu de culpabilité.

comptable4-5Bien entendu, à son mari, elle ne dit pas un mot de ce qui s’était passé et s’efforça de ne rien laisser paraître de ses tourments. Comme à son habitude, Sébastien ne s’intéressait que de très loin aux activités d’Odile. Donc, comme il ne posait aucune question gênante, elle n’avait de son côté aucune raison d’éveiller ses soupçons.

Cependant, un soir dans le secret de leur chambre, alors qu’il se déshabillait avant de se mettre au lit, Odile se surprit à regarder à la dérobée le sexe de Sébastien. Comparée à celle de M. Delorme, la queue conjugale lui apparut un peu dérisoire avec son prépuce tout chiffonné et ses modestes proportions. Rien à voir avec le membre du président, plus élégant, plus désirable. Elle chassa ce souvenir obscène et l’enfouit au plus profond de ses pensées.

Il y avait autre chose qui la tourmentait : à chaque fois qu’elle évoquait le souvenir douloureux du lundi précédent, elle se sentait, malgré son dégoût, comme traversée par une onde de chaleur et, aux toilettes, il lui arriva à plusieurs reprises de découvrir une tache humide sur l’empiècement de sa culotte et son con tout suintant de mouillure. Elle en aurait pleuré de rage !comptable4-4

Cette excitation la troublait tellement qu’elle reprit l’habitude de se branler, persuadée que cette pratique innocente suffirait à éloigner les démons de l’adultère. Se masturber - comme elle disait avec pudeur - ne lui était plus arrivé depuis sa première maternité. Pourtant, elle retrouva facilement ses gestes de jeune fille avec encore plus de précision et d’efficacité. Le matin, une fois les enfants déposés à l’école et Sébastien parti au travail, elle s’enfermait dans la salle de bains et se branlait sous la douche. Au bureau, elle profitait de ses passages aux toilettes pour se caresser. Assise sur la cuvette, la jupe relevée, la culotte aux chevilles, elle se graissait le clitoris avec l’abondante mouillure de son vagin qui ruisselait de désir puis, avec ardeur, s’astiquait jusqu’à l’orgasme. En quelques minutes, elle s’offrait une petite jouissance express qu’elle devait renouveler au cours de la pause de l’après-midi afin d’apaiser sa fureur utérine.

Le samedi matin, alors que Sébastien était parti accompagner les garçons à leur activités sportives du week-end – tennis pour l’aîné, judo pour le plus jeune – il lui vint l’idée de se mettre nue devant la glace et de se regarder. Elle avait dénoué sa sombre chevelure qui tombait sur ses épaules. Des deux mains en corbeille, elle soupesa ses seins de maman, en caressa légèrement les tétons et ce simple attouchement lui donna le frisson. Ses hanches, quoiqu’un peu alourdies par ses deux maternités, étaient encore presque juvéniles. De profil, elle avait fière allure avec une belle chute de reins et un fessier au galbe plus qu’engageant.

comptable4-6Mais ses yeux revenaient sans cesse se poser sur le buisson noir qui fleurissait au bas de son ventre laiteux. La touffe drue mais soyeuse attirait irrésistiblement son regard. Assise au pied du lit, les cuisses écartées, Odile posa entre ses jambes ouvertes la petite psyché dont elle se servait pour se maquiller ou traquer les points noirs. Dans l’ovale du miroir grossissant, sa chatte lui parut celle d’une géante. Séparant des deux mains les lèvres charnues, elle fit bâiller sa vulve humide. Jamais encore elle n’avait osé se regarder ainsi, dans son intimité la plus secrète. Là-dedans, c’était tellement gras qu’il s’était formé une sorte de filament translucide, épais comme de la morve, qui allait d’une paroi à l’autre du vagin. Dégagée de sa gaine de chair, la tête tuméfiée du clitoris était bien visible. Lorsqu’elle forçait son con à s’ouvrir en actionnant les muscles de ses sphincters, elle voyait cette bouche sexuelle s’arrondir, comme surprise, et révéler pendant quelques instants les profondeurs huileuses de sa béance où des sortes de bulbes de chair carminée luisaient comme des œufs de limace. Alors, une forte odeur de rut inassouvi montait de cette fournaise. En se rhabillant, Odile pensa qu’à la première occasion, et évidemment sans en parler à Sébastien, elle s’achèterait un gros gode multifonctions pour se calmer le con.

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 19 juillet 2012 4 19 /07 /Juil /2012 09:02

Rappel : Odile est chez le Président de l'Association de Parents d'élèves qui a découvert une erreur dans la comptabilité d'Odile et qui compte tirer profit de cette faute.

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Bien qu’horriblement gênée par la situation, Odile se trouva incapable de prononcer une parole de réprobation, et encore moins de détourner son regard de la bite en érection qui se dressait à portée de main. La première chose qu’elle remarqua, c’est que M. Delorme était circoncis et que ça lui allait bien. C’était un beau sexe, bien proportionné, droit comme un i, avec un gland d’apparence ferme. Le relief d’une veine tortueuse qui courait sous la peau fine ajoutait une note attendrissante au membre présidentiel.

dub89 De sa main libre, il prit Odile par la nuque et l’attira à lui. Elle n’opposa aucune résistance, bascula lentement sur le côté jusqu’à poser sa tête sur le ventre de M. Delorme. La bite était là, toute proche de ses lèvres. Odile en humait déjà l’odeur chaude : elle sentait bon.

 La main du président lâcha sa nuque et caressa ses cheveux. Odile avança un peu plus son visage. Maintenant, le gland nu effleurait ses lèvres. Elle y passa le bout de la langue, d’abord sur la petite bouche du méat, puis tout autour, comme elle l’aurait fait d’une glace à une boule pour ne rien perdre de son parfum sucré. La bite du président était chaude, sous pression, tendue comme un arc.

D’un coup de reins, il s’enfonça dans la bouche d’Odile. Alors, elle se mit à le pomper avec méthode, usant de sa langue, de ses lèvres en fourreau, du voile de son palais aussi doux et souple qu’un vagin. Sa main fouilla dans le pantalon à la recherche des couilles qu’elle saisit et pétrit avec douceur.comptable3-3

Odile sentit la main du président se crisper dans ses cheveux, puis la bite fut saisie d’une sorte de vibration continue. « Oh, putain, ce que vous sucez bien ! » furent les derniers mots du président avant que les giclées de sperme se répandent dans la bouche d’Odile qui avala le tout sans broncher, lui laissant sur la langue un arrière-goût d’amande fraîche…

Chacun remit de l’ordre dans sa tenue : le président réajusta son pantalon, Odile se recoiffa et fit un passage aux toilettes où elle constata avec un peu d’inquiétude qu’elle était si excitée que le fond de sa culotte en était tout mouillé.

Il était presque 16h 30 lorsqu’elle quitta l’appartement du président. Mais au moment de partir, alors que sur le palier elle attendait l’ascenseur, il lui avait dit :

- Je vous attends mardi prochain, dans l’après-midi. On réglera cette affaire. Surtout, n’oubliez pas d’apporter tous les documents nécessaires. Passez une bonne semaine et transmettez mes amitiés à votre mari.

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 13 juillet 2012 5 13 /07 /Juil /2012 12:40

Rappel : Odile Varney, mère de famille respectable et trésorière de l'Association  de Parents d'Elèves de l'école, a commis une petite erreur comptable et doit en rendre compte au Président de l'association...

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Malgré elle, Odile se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Elle baissa la tête. Elle se sentait vraiment mal. Alexandre Delorme la fixait avec une telle intensité qu'elle eut l'impression que son regard traversait ses vêtements et parcourait sa peau, comme si elle s'était trouvée entièrement nue devant lui. Autrefois, elle avait éprouvé la même sensation quand, pendant la confession mensuelle, le curé lui demandait si, au cours du mois passé, elle avait péché ou eu des pensées honteuses. Alexandre Delorme avait le même regard inquisiteur qui la déshabillait de la tête aux pieds. Plus tard, au lycée, alors qu'elle était en classe de seconde, ce fut son prof de maths dont elle tomba secrètement amoureuse. À chaque fois qu'il posait les yeux sur elle, Odile était saisie d'un frisson et, s'il l'appelait pour venir résoudre une équation au tableau, elle s'imaginait nue sur l'estrade, en train de tracer des chiffres à la craie, le cul tourné vers la classe... Et le prof qui la regardait avec un sourire d'encouragement en lui disant que c'était très bien... Elle mouillait. Le soir, dans son lit, le manuel de maths posé sur les genoux, tout en révisant sa leçon pour le cours du lendemain, elle se branlait discrètement, la main entre les cuisses, deux doigts dans la fente.

comptable2-3Alexandre Delorme la ramena brutalement à la réalité.

- Vous m'avez entendu ? Je vous demande si vous en portez aujourd'hui !

- Non, souffla-t-elle.

- C’est un peu décevant, marmonna-t-il, je dirais même fâcheux.

Il sembla s’accorder quelques instants de réflexion.

- Prenez place sur le canapé, nous allons parler un peu.

Odile consulta discrètement sa montre : bientôt 16 heures ! Son geste n’échappa point à M. Delorme qui s’empressa de la rassurer.

- Nous n’en aurons pas pour longtemps. Soyez sans inquiétude, vous ne serez pas en retard pour la sortie de l’école !

Il s’assit à ses côtés.

- Je pense que vous avez déjà envisagé les conséquences de votre faute si elle devenait publique. Votre emploi, vos enfants, votre couple… Un vrai désastre. À propos, vous en avez parlé à votre mari ?

- Non, il n’est au courant de rien.

- Tant mieux ! Il faut que cela reste entre nous. Vous savez comment sont les gens, ils parlent souvent à tort et à travers, sans se rendre compte du mal qu’ils peuvent faire ! Ce sera notre petit secret, rien qu’à nous !comptable2-4

Il posa sa main sur le genou d’Odile, d’un geste naturel, presque familier. Elle en fut à peine surprise.

- Vous pouvez compter sur mon entière discrétion. Je ne dirai rien, à personne. Ce n’est pas mon genre.

Odile gardait la tête haute, le regard attaché à un tableau accroché au mur d’en face : un paysage champêtre sous un ciel serein où paressaient des nuages blancs. Mais toute sa pensée était tournée vers cette main étrangère qui caressait doucement son genou. Depuis son mariage, personne d’autre que Sébastien ne l’avait touchée ainsi. Surtout ne pas le regarder, se répétait-elle intérieurement, faire comme si ce n’était qu’une simple illusion ou alors la main très professionnelle d’un médecin en train de m’ausculter.

Cependant, Alexandre Delorme poursuivait sa leçon de morale.

- Evidemment, il va falloir donner quelques explications complémentaires à la banque… Mais soyez sans crainte, je m’en charge personnellement… Vous portez des bas ?

Odile était à l’écoute de la main qui remontait sournoisement le long de sa cuisse.

- Non, j’ai mis des collants… à cause du froid, ajouta-t-elle comme pour s’excuser.

Elle devina l’hésitation de la main qui finalement revint à son genou.

- Il faut aussi espérer que notre trésorier adjoint ou encore notre secrétaire ne viennent pas fourrer leur nez dans nos affaires… A priori, il n’y a aucun risque, mais on n’est jamais trop prudent… Après tout, nous sommes complices maintenant !

Les doigts du président jouèrent encore quelques instants avec l’ourlet de sa robe sombre, avant de lâcher leur proie. Odile se crut libre et ne put se retenir de tourner la tête vers l’homme assis à ses côtés. Leurs regards se croisèrent et il lui sourit avec malice.

- Pour sceller notre toute nouvelle alliance, je vais vous demander un petit service. Pour vous, ce ne sera pas grand-chose et ça ne vous engagera à rien.

comptable2-5 Sans plus attendre, il se laissa aller dans le canapé puis, avec une surprenante dextérité, déboucla la ceinture de son pantalon de velours, déboutonna sa braguette et en sortit sa queue raide qu’il tenait bien droite entre le pouce et l’index.

à suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

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Mardi 10 juillet 2012 2 10 /07 /Juil /2012 11:47

Je vous propose de découvrir tout au long de cet été un roman inédit, "La trésorière", qui relate les aventures et mésaventures d'une brave mère de famille nommée Odile VARNEY qui se trouve, bien malgré elle, embarquée dans une étrange expérience érotique... Bonne lecture.

 

La trésorière

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Ce matin de décembre, alors qu’elle garait sa voiture dans le parking souterrain du centre commercial, Odile Varney n’aurait jamais imaginé que, moins d’une heure plus tard, elle commettrait une petite erreur qui allait bouleverser sa paisible existence.

Odile Varney avait trente-sept ans. Elle était mariée depuis plus de dix ans à Sébastien Varney, chef de chantier dans une grosse entreprise du BTP. Le couple avait deux enfants, deux beaux garçons âgés de huit et six ans. Odile menait une vie simple et harmonieuse, partagée entre l’amour pour son mari et ses enfants, les tâches ménagères et son emploi de comptable dans une entreprise de transport. En tout, Odile était un modèle d’ordre, de rigueur et d’honnêteté. « Ni excès, ni extravagance », telle aurait pu être sa devise.

Dans sa jeunesse, Odile avait été une jeune fille sans histoire, au physique passe-partout. Plus tard, elle était devenue jolie. Ses deux grossesses l’avaient encore embellie, mais elle ne s’en était pas rendu compte. À l’approche de la quarantaine, Odile était une belle femme mûre à la silhouette élégante, au visage harmonieux. Pour parler franchement, elle avait un cul magnifique, une poitrine en conséquence et une bouche à sucer les bites.

comptable1-1Donc, par ce froid matin de décembre, Odile était venue fouiner dans les boutiques de fringues de la galerie marchande du centre commercial.

Question cul, Odile faisait dans le classique. Dépucelée à dix-sept ans par un cousin de passage, premier orgasme à vingt-trois ans dans le lit d’une rencontre d’un soir, coït programmé le samedi soir, corvée trimestrielle de pipe et sodomie conjugales. Elle avait fini par se persuader que le sexe n’était qu’un à-côté de la vie.

 

Compte tenu de son expérience professionnelle, Odile avait été élue trésorière de l’association de parents d’élèves. À ce titre, elle était chargée de collecter les cotisations et de veiller au bon usage des subventions. Le bureau se réunissait quatre fois l’an, au domicile personnel du président. Il s’appelait Alexandre Delorme et occupait, à ce qu’on disait, un poste important dans la police, ce qui inspirait à la fois crainte et respect. C’était un bel homme d’une cinquantaine d’années. Divorcé, il avait obtenu la garde exclusive de son fils unique âgé de huit ans – il se disait aussi que l’épouse infidèle était partie vivre sa vie dans la sud du pays, quelque part au bord de la Méditerranée. Malgré les boissons fraîches et les petits gâteaux, les réunions du bureau n’avaient vraiment rien de réjouissant : une dizaine de personnes sérieuses et compassées qui parlaient financement de voyages scolaires, allégement des cartables, garderie du soir ou actions à entreprendre contre les menaces de fermeture de classes…

On était un mardi de février, dans l’après-midi. Odile venait de présenter le bilan financier de l’année précédente : adopté à l’unanimité. Mais au moment de se séparer, le président avait retenu Odile par le bras.comptable1-2

- Excusez-moi, madame Varney, pouvez-vous m’accorder quelques instants, juste le temps de régler un petit problème…

Dès que les autres membres du bureau eurent quitté l’appartement, il tira le verrou et rejoignit Odile restée au salon.

- Voyez-vous, la semaine dernière, je suis passé à la banque et j’ai demandé à consulter le relevé des opérations bancaires de notre association, commença-t-il en sortant de sa poche une feuille qu’il déplia.

Odile sentit ses jambes fléchir, son cœur s’arrêter, son sang refluer…

- Tout serait parfait si, à la mi-décembre, le compte n’avait été débité d’un montant de 262 €, puis recrédité de la même somme deux semaines plus tard…

- Une erreur de la banque, articula péniblement Odile.

- Je ne crois pas. Il s’agissait en réalité d’un chèque libellé à l’ordre d’une boutique de lingerie haut de gamme, un chèque signé de votre main. En voici une photocopie… Je me trompe ?

Odile avait la bouche sèche. Maladroitement, elle tenta d’expliquer comment, dans la précipitation, au moment de payer, elle avait confondu son propre chéquier avec celui de l’association. À la réception du relevé de fin de mois, elle s’était rendu compte de son erreur qu’elle avait aussitôt réparée…

- Même si ce que vous dites est vrai, il ne faudrait pas que la chose s’ébruite. On pourrait vous soupçonner d’indélicatesse. Surtout si on apprend que c’était pour vous offrir des frivolités ! Cela pourrait vous nuire, à vous personnellement, mais aussi à votre entourage…

Après un long silence, Alexandre Delorme reprit, mais sur un autre ton.

- Vous en portez aujourd’hui ?

Odile parut ne pas comprendre.

- Porter quoi ?

- De la lingerie fine.

à  suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

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Lundi 9 juillet 2012 1 09 /07 /Juil /2012 13:46

Mes récentes pérégrinations sur les routes et autoroutes hexagonales m'ont inspiré ce poème un peu trash. Que les âmes sensibles me pardonnent. (Certes les illustrations ne collent pas vraiment au thème du texte, mais je tenais à rendre hommage à la beauté éternelle des chats)

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La gueule ouverte et les tripes à l’air

Je suis le chat crevé sur le bord de la route.

Hier encore, je m’appelais Ulysse ou Slimane,

Naguère libre vagabond des sentiers et des chênes

Chat du voyage au pelage d’arc-en-ciel.

 

Sur les routes des plages fleurissent les cadavres

De mes frères sans nom, sans héritage ni logis ;

Des pies en grand uniforme de parade

Et de vieux corbeaux en soutane d’antan

Veillent nos dépouilles qui saignent au soleil.

 

Les essieux de plomb d’un trente tonnes allemand

M’ont broyé les os et brisé les reins.

C’était aux premières heures d’une nuit d’orage,

Quand miaule le désir des femelles en rut

Et que rôde la mort sur l’asphalte mouillé.

 

                                                © Michel KOPPERA,  Juillet 2012 

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Lundi 18 juin 2012 1 18 /06 /Juin /2012 05:43

Femme à la renverse

Sous la bite tendue,

Femme qui se berce

À la bite pendue

 

Femme de désir renversée

Aux seins sans retenue

Femme transpercée

D’une jouissance toute nue.

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Mardi 5 juin 2012 2 05 /06 /Juin /2012 07:03

Le miroir

Il est accroché au mur de la chambre conjugale depuis plusieurs générations. Il ne serait venu à l’idée de personne de le mettre au rebut. Ses moulures de plâtre doré ont encadré tant de visages familiers qu’il est devenu comme la mémoire des générations passées. Devant lui, des aïeules ont ajusté leur chapeau à voilette avant de partir à la messe, des hommes en costume y ont refait leur nœud de cravate, d’innombrables femmes, plus ou moins jeunes, plus ou moins belles, y ont rectifié un trait de mascara ou de rouge à lèvres… Le lit est en face. Les couples, plus ou moins légitimes, ont pu s’y regarder faire l’amour dans toutes les positions…

miroir1Aujourd’hui, c’est un après-midi de luxure. Ils profitent de l’absence des enfants pour jouer nus devant le miroir. Les reflets sont indiscrets, plongeant loin  leurs regards impudiques entre les fesses ouvertes. Ils s’imaginent faisant l’amour à quatre, échangeant leurs conjoints jumeaux et pourtant un peu différents… Ils sont beaux et émouvants.

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Mercredi 16 mai 2012 3 16 /05 /Mai /2012 17:41

La belle captive

captive1Je l’imagine retenue prisonnière dans une chambre secrète d’un château lointain. Recluse, mais consentante. Telle une odalisque, elle passe des heures allongée sur sa couche, en proie à un demi-sommeil paresseux, dans l’attente de son geôlier qui vient chaque jour prendre possession de son corps. Il peut entrer à n’importe quel moment, elle est prête, en tenue d’amour.

Il aime caresser sa peau onctueuse, soulever et pétrir à pleines paumes ses seins lourds et ses rondeurs, il aime jouir dans son sexe fauve. La belle captive se laisse désirer, pénétrer, embraser de volupté.

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Samedi 7 janvier 2012 6 07 /01 /Jan /2012 14:33

Déviations, # 10

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S’il avait été dans son état normal, la jouissance de Chloé n’aurait pas manqué d’entraîner celle de Simon, d’autant plus que les spasmes et contractions de la blonde transmises par le ventre de Myriam lui font vibrer délicieusement la bite. Mais Simon a perdu tout contrôle de son corps. Il se sent bien dans le cul confortable de Myriam, ce cul qui l’aspire, lui tète le gland, le cajole sur toute sa longueur. Simon se gave du spectacle de sa queue engloutie entre les fesses écartelées de Myriam. Curieux, il passe une main sous son bras, à la recherche de ses seins… Il s’attend à une poitrine siliconée, il touche une belle paire de nichons bien moelleux, sans aucune cicatrice, naturelle. Cette découverte redouble son ardeur à défoncer le cul de Myriam, à lui faire cracher une bordée de sperme dans le vagin de Chloé qui continue de s’envoyer en l’air en gémissant des grossièretés…deviations10-01

Dans le feu de l’action, c’est à peine si Simon prend garde à la main qui se glisse entre ses cuisses et lui masse les couilles… Sans doute Solange qui s’amuse… Puis la main est rejointe par une bouche puis une langue qui lui lèche le périnée, l’entrefesses et s’attarde longuement sur le trou de son cul où elle pénètre habilement. Le souffle est chaud, la salive onctueuse... Simon écarte les jambes pour mieux .se donner Ce n’est que lorsqu’il voit Solange se mettre en position assise, cuisses très écartées devant le visage de Chloé pour se faire sucer la vulve, que Simon réalise que c’est le vieux curé qui s’occupe si divinement de son cul. Mais il n’a guère le temps de se poser plus de questions : voilà qu’à la langue du vieux succède sa bite pointue et souple… Telle un serpent, elle s’insinue dans le rectum, s’y installe, y prend ses aises… Et Simon convient qu’il n’a jamais connu tant de plaisir : enculer, être enculé, sentir dans le cul de Myriam la proximité du con de Chloé… Et devant ses yeux, la grosse Solange en train de se faire lécher la chatte par Chloé… Simon se croit transporté au 18ème siècle, dans une gravure de partouze du Marquis de  Sade…

À suivre

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 16 décembre 2011 5 16 /12 /Déc /2011 10:00

Déviations, #9 ( je remercie à distance Sandokan à qui j'ai "emprunté" deux dessins pour illustrer cet épisode)

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deviations9Tel un chien à la chaîne, Simon s’approche à quatre pattes des deux couples en pleine fornication. Il leur tourne autour, les renifle. Les odeurs de leurs sexes assemblés et de leurs sueurs mêlées sont si puissantes que Simon en perd toute notion d’humanité. Il n’est bientôt plus qu’une bête en rut. Il les renifle un à un : d’abord Solange et son oncle d’où montent les senteurs grasses du con mélangées aux relents de naphtaline du vieux curé. Ils se besognent en soufflant comme des bœufs. Elle a le vagin si huileux qu’à chaque coup de reins du vieux, cela ressemble au bruit d’un pied qu’on enfonce dans la vase, comme un clapot de ventouse fatiguée. Simon les laisse à leur besogne et se dirige vers les deux autres.

Le buste avachi sur le tapis, la croupe en l’air, Chloé se fait prendre en levrette. Elle a les cheveux en désordre, la bouche ouverte qui bave, les yeux dans le vague. Elle continue de proférer à voix basse les mêmes insanités où il n’est question que de « bite de travelo » et de « foutre dans la chatte ». Elle sent encore la jeune fille rangée, trop propre sur elle si bien Simon se détourne et s’en va renifler le cul de Myriam qui s’arrête un instant, semble hésiter et finalement écarte un peu les fesses. Simon y glisse le bout du nez pour se repaître de son parfum si particulier, mélange de musc et de jasmin. Il y passe la langue, au plus profond du sillon, de la peau des couilles au creux des reins. Pas de doute, Myriam mouille du cul !deviations9-3

Alors, Simon se redresse, se met à genoux derrière Myriam qu’il saisit par les hanches et lui plante sa queue raide entre les fesses. En deux coups de reins, le voilà dans le cul de Myriam, aussi doux, aussi large, aussi douillet qu’un con. Un cul où il se sent bien !

Chloé, qui a sans doute deviné ce qui se passait dans son dos, en a un orgasme qui secoue leurs trois corps encastrés.

À suivre… ( j'attends vos propositions)

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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