A.C. m'a envoyé pour mise en ligne ce témoignage de sa première expérience candauliste avec sa compagne coréenne. L'analyse des sentiments qu'il a éprouvés est criante de sincérité.
Récit candauliste envoyé par A.C.
J'ai toujours eu le fantasme de voir la femme de ma vie dans les bras,
dans le lit d'un autre. Dès mes premiers émois je m'abandonnais manuellement dans des délires imaginaires faits de coïts endiablés entre celle qui occupait alors toutes mes pensées et d'indignes
étalons qui la forniquaient sans vergogne.
Puis je rencontrai Hea-Jung une jeune et magnifique Coréenne avec qui je nouai immédiatement une relation passionnelle.
Tout m'était accordé
par cette jeune jouvencelle accommodante : des pénétrations buccales, vaginales et anales, des éjaculations où bon me semblait.
Vint alors le jour où je lui parlai de candaulisme.
M'attendant malgré tout à une réaction épidermique je tombai des nues lorsqu'elle programma le jour où se réaliserait cet honteux
fantasme...
Dès lors je fus pris d'une peur panique alors même que j'étais à l'origine de tout cela.
L'endroit fut vite trouvé : il s'agissait d'un club au décor des Mille et une nuits d'un quartier chaud de Paris.
Dès l'entrée il y avait comme un parfum de copulations mêlé à celui de transpiration légère.
Nous fûmes bientôt nus et vêtus d'une simple serviette en un rien de temps. J'avais la respiration difficile et commençais sérieusement à me demander si j'allais vraiment livrer cette créature de rêve à d'autres hommes. Curieux paradoxe je suis d'une jalousie quasi maladive et cette expédition pourtant maintes fois fantasmée revêtait l'apparence d'un masochisme aigu.
Je pris la main d'Hea-Jung et nous entrâmes dans une sorte de grand dortoir où deux hommes rodaient, qui commencèrent aussitôt à nous entourer. Hea-Jung commença à paniquer. L'un des prédateurs lui retira sa serviette et fit glisser la sienne. Il devait être là depuis un moment car il présentait déjà une ferme érection que fixa ma compagne. Sans aucune invitation elle s'agenouilla et je vis pour la première fois de ma vie un sexe inconnu entrer dans la bouche de ma chérie. L'autre homme ne resta pas sur la touche. Il releva les fesses d'Hea-Jung et s'accroupit derrière elle. Je ne savais plus où donner de la tête, je ne contrôlais plus rien, bien loin des situations virtuelles coutumières. Il entreprit alors de lécher son sexe. Ma femme commençait à se tortiller. Il passait sa langue sur la fente qu'il forçait. Je bandais devant ce spectacle qui me faisait en même temps un mal de chien. Ma femme était là, et allait se donner à deux hommes devant moi. Alors que je l'aimais comme un fou. Il se releva et approcha le gland énorme de son sexe de la fente détrempée d'Hea-Jung. J'étais tétanisé au point de ne rien faire pour empêcher ce sexe sans préservatif de pénétrer ma chérie. Le gland disparut et la grosse tige de chair s'engloutit en elle. Commencèrent alors ces va-et-vient que je connaissais si bien pour en être habituellement l'auteur. Hea-Jung avait terminé sa fellation et je sentis monter ses spasmes de jouissance humiliants pour moi. L'autre s'abandonna avec rudesse et sortit de ma femme comme si elle n'était qu'un con à fourrer. Lorsque je vis le sperme couler sur les rebords des lèvres du sexe de l'amour de ma vie je partis sans m'en rendre compte et je me mis à asperger ce corps maintes fois étreint de longs jets de sperme brûlant. Le deuxième homme enfila lui une capote et termina ce que nous étions venus chercher à la fois dans le vagin et dans l'anus de ma Coréenne. Avec une tape sur ses fesses, il prit congé sans autre formalité. J'étais repu et anéanti. Je ne vis même pas les autres chasseurs entourer ma femme et se lâcher. Et là ce fut un festival époustouflant de sexes nus entrant dans ma femme comme si elle leur appartenait et balançant pour certains dans ses orifices le fruit de leur baise indécente.
Nous n'avons jamais renouvelé cette expérience mais souvent lorsque nous faisons tendrement l'amour je susurre à l'oreille de ma douce quelques bribes de ces agapes ordurières qui la mettent alors...dans tous ses états !
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