Samedi 22 novembre 2014 6 22 /11 /Nov /2014 08:00

Cécile de Rome aurait appartenu à une grande famille romaine, les "Cecilii". Fervente chrétienne, elle aurait aidé financièrement les premiers papes. Avec son mari converti au christianisme, elle aurait fait don à l'Eglise d'un terrain qui serait devenu le premier cimetière chrétien de Rome, les catacombes de Calixte. Elle y fut enterrée en 230 aux côtés des papes. Plus tard, la légende en fit une vierge martyre qui "chantait dans son coeur la gloire de Dieu".

Cécile est la sainte patronne des luthiers, des musiciens et des poètes. Elle est invoquée pour la guérison des maladies des yeux.

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Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 21 novembre 2014 5 21 /11 /Nov /2014 08:00

Bien sûr, on me dira que c'est affreusement macho, mais c'est ce qui fait le charme de ces images...

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Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 20 novembre 2014 4 20 /11 /Nov /2014 08:00

Aussi appelée la "pipe éducative", la pipe pédagogique est réservée aux leçons particulières... Evaluation après éjaculation.

pipe-pedagogique

Par michel koppera - Publié dans : pipes - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 19 novembre 2014 3 19 /11 /Nov /2014 10:04

Philippe # 10

 

Le regard vide, dans ma sacoche, la photo que je n'avais osé lui remettre, je m'en suischambre10-1 retourné à la maison, Monika avait mis un CD de Placebo très fort, Elle ne remarqua pas tout de suite ma présence tout occupée qu'elle était à nettoyer la table basse du salon. Mon dieu qu'elle était belle dans cette courte robe orange, non je ne rêvais pas, elle ne portait rien dessous et je pouvais admirer ses seins se balancer au gré des mouvements de son corps. Ses petits lolos, c'est ainsi que Jamy avait parlé un soir de la poitrine de Monika à l'un de ses amis, Je m'étais absenté pour aller aux toilettes, il en avait profité pour lui confier combien ils étaient plus beaux que ceux de Nicole sa copine et amie de Monika, Longtemps, encore maintenant, je me suis interrogé de savoir en quelles circonstances il avait pu les découvrir. En les volant du regard ? Ou les lui avait-elle montrés par défi  ou par jeu ?

Lorsque Monika me confia à Paris son envie de nous retrouver tous les quatre dans le même lit pour de sensuels ébats, je demeurai persuadé qu'il s'était un jour en amont passé quelque chose entre eux, en mon absence, puisqu'ils se voyaient souvent tandis que je travaillais.

- Je ne t'ai pas entendu arriver, ça fait longtemps que tu es là ?

Elle m'exhuma de mes pensées,

- Je viens d'arriver,

- Ça n'a pas l'air d'aller ?

- La chaleur et ta beauté me troublent.

- Mes cheveux sont sales, je suis trempée de sueur.

Comme j'aimerais à l'aide de ma langue t'en débarrasser le corps tout entier, pensai-je.

- Je termine le salon, pendant ce temps je te laisse les toilettes et la salle de bain, comme tu sais si bien le faire, ok ?

- Ok

Alors que prenais la direction de la chambre pour y ranger ma sacoche elle me lança :

- Philippe !

- Monika ?

- Je me sens bien en ce moment.

- Moi aussi Monika, moi aussi.

Ainsi tout n'était pas perdu, j'avais flanché par timidité et peur de me trouver ridicule face à Valentin mais demain à la première heure je m'armerais de courage et d'audace pour aller la lui porter,

Il s'agissait d'une étape à franchir, d'autres se profilaient déjà à l'horizon je le savais,

Dans la chambre je découvris au mur une tenture aux motifs s'entrelaçant tels des reptiles, j'en fus surpris et si peu de temps auparavant j'en aurais ressentis des frissons maintenant ils étaient d'une toute autre nature, Mon regard fut attiré par sa table de chevet, dessus reposait le journal intime d'Anais Nin, ainsi elle s'était remise à le lire,,,

Une fois la salle de bain nettoyée, ma petite boîte enrichie, nous sommes allés nous coucher. Elle me parla de cette soirée entre filles à laquelle elle avait été invitée mais il lui fallait trouver un déguisement comme indiqué sur le carton. Elle n'avait aucune idée.

En femme des cavernes, nue sous une peau de bête, le corps enduit de peinture tribale.

- Je me vois mal débarquer ainsi, fit-elle en riant.

- Bonne nuit.

- Bonne nuit.

chambre10-2........... Elle me tourne le dos, la tête penchée en avant, un serpent lui enlace le haut du corps totalement nu.

- Pourquoi ne veux-tu pas que je les montre, tu m'avais autorisé ?

- Pardonne- moi, je vais t'en libérer.

- Oh oui fais -le s'il te plaît car il m'oppresse........

 

À la première heure, le lendemain, je prenais la voiture et avalais les kilomètres qui me séparaient de lui. Il était tôt, la chaleur était omniprésente ; de peur de me trouver face au rideau fermé, je suis entré dans le café presque face à la ruelle de la boutique obscure.

Le patron était seul et lisait le journal, il répondit à peine à mon bonjour.

Une fois son article achevé, il tourna la tête vers moi dans l'attente de ma commande.

- Un café s'il vous plaît, serré,

Ma sacoche était posée sur la table face à moi, je n'avais pas fait tous ces kilomètres pour rien, ce serait ce matin ou jamais.

Oui ce serait ce matin mais je me sentais fébrile comme avant un premier rendez-vous amoureux, Halima m'avait pourtant conseillé de ne pas me faire manger par mes peurs.

- Mettez-moi aussi un whisky avec glaçons, s'il vous plaît.

Il me regarda plutôt surpris par une commande aussi insolite à une telle heure mais l'alcool allait m'aider à surmonter mes craintes.

Il me l'apporta alors que dans ma main je tenais l'enveloppe qui dans peu de temps allait se retrouver dans celles de Valentin.

- Un rendez-vous amoureux ? fit il d'un ton paternaliste.

- En quelque sorte oui.

- J'en ai vu passer dans ce café au cours de ma carrière des comme vous ne sachant s'ils devaient ou ne devaient pas.

- Et ?

- Et moi je conseille de ne pas hésiter, J'ai hésité une fois, ce fut la fois de trop.

Après cette énigmatique chute il s'en retourna vers son journal tandis que, du bout du doigt, je jouais avec le glaçon de mon verre vide,

Ces glaçons, ceux-là même qui avaient servi à tendre les tétons de Monika pour la réalisation de cette photo, André voulait absolument que Monika les fasse ressortir pour les saisir dans leur plénitude mais la chaleur qui régnait au contraire les écrasait, Elle avait tenté, en vain, sous nos regard de tirer dessus. C'est elle qui eut l'idée de la glace et me demanda d'aller en chercher au frigo.chambre10-3

Quel délice de la voir face à un inconnu se caresser les mamelons de la sorte, quel dommage qu'André n'ait songé à immortaliser la scène.

L'alcool très vite me monta à la tête. Comment Valentin allait-il les considérer ?

J'avais à la fois envie qu'il ouvre l'enveloppe devant moi afin que je puisse voir sa réaction et qu'il le fasse dans le secret.

Le patron ouvrit la porte sans qu'aucun client ne fasse son entrée sauf Tabou qui se dirigea droit vers moi et avec souplesse sauta sur la table pour directement se mettre face à moi, assis sur ma sacoche.

Il semblait m'indiquer que c'était le moment d'y aller.

- On dirait qu'il vous connaît.

- En quelque sorte oui.

- C'est le chat de la ruelle.

- Je sais.

chambre10-4En regardant mon enveloppe.

- Elle est belle ?

- Oui très.

- Alors allez-y vite.

Tabou me suivait comme pour empêcher toute volte-face.

La porte était fermée mais je vis de la lumière provenant du bas de l'escalier.

L'alcool aidant, je tapai à la porte, aucun risque de réveiller des voisins.

Les yeux hagards, il m'ouvrit, surpris d'une si matinale visite.

Je lui tendis mon enveloppe, mon bonbon à la menthe n'était pas encore tout à fait fondu.

- Pourriez-vous lisser cette photo ? J'y tiens énormément. Supprimer quelques grains de peau, faire ressortir certaines zones, mettre plus en ombre, faire ressortir davantage d'autres parties...

Je ne cessais de parler tandis que lui sortait de sa léthargie.

C'était le moment, l'excuse de l'alcool était trop belle.

- Je ne sais pas par quelle magie vous parvenez à faire cela et je préfère ne rien savoir, je veux continuer à en profiter et vous apporter d'autres photos plus.... plus osées.

Le mot était dit.

Mon attention fut soudain attirée par ce présentoir sur le comptoir, je ne l'avais pas encore remarqué. Photos à vendre, Ce fut un véritable choc de découvrir la première de l'importante série.

Comment avait-il deviné ?

Elle serait pour moi, les deux suivantes également, il semblait précéder mes pas.

Alors que j'étais captivé par les images qui défilaient sous mes yeux, je ne me rendis même pas compte que Valentin avait disparu.

Je fis une sélection de 10 photos, en découvrant mon choix il comprendrait certainement beaucoup de choses que je ne parvenais pas à lui dire.

Il revint, le visage plus lucide qu'à mon arrivée, Avant qu'il ne prononce le moindre mot je lui demandai si le triptyque de l'autre jour était à vendre car j'aurais aimé en faire cadeau à ma femme pour son anniversaire.

 

Valentin # 10

 

chambre10-5- À vendre ? Avant de vous répondre, laissez-moi vous raconter l'histoire de cet objet. Il date du début du XIXème siècle et appartenait à l'époque à un riche bourgeois qui l'avait fait fabriquer tout spécialement par un ébéniste de renom. Ce riche bourgeois avait une garçonnière où il recevait en secret des amis intimes et des femmes, mariées le plus souvent, dont il faisait ses maîtresses. C'est au mur du salon de cette garçonnière qu'il avait accroché ce triptyque. Comme vous pouvez le constater, lorsqu'il est fermé, les deux volets de façade représentent un paysage champêtre sans grand intérêt. Lorsque notre homme accueillait dans son repaire une possible conquête, il ne manquait pas d'attirer l'attention de l'invitée sur cet objet, lui expliquant qu'une fois ouvert, le triptyque révélait une oeuvre originale mais réservée à un public masculin averti. Il demandait expressément à son interlocutrice de ne pas chercher à en percer le secret. On en restait là puis, un peu plus tard, le séducteur s'absentait du salon sous un prétexte futile, laissant la curieuse seule pendant quelques minutes. À son retour, d'un seul coup d'oeil sur le tapis au pied du triptyque, il savait si son invitée avait résisté à la tentation : la présence sur le tapis d'un petit fil de laine rouge tombé tout droit du triptyque lui indiquait que pendant sa courte absence, celui-ci avait été ouvert, et il savait que la femme avait vu trois petits tableaux d'une grande obscénité représentant un couple s'adonnant aux plaisirs de l'amour, avec force détails anatomiques... Parfois, de jeunes invitées en avaient encore le feu aux joues ; les plus âgées, mariées ou veuves, affectaient une souveraine indifférence, mais leur silence et leurs regards furtifs vers le triptyque refermé valaient plus qu'un aveu. Les plus effarouchées ou pudibondes ne tardaient pas à prendre congé, celles qui restaient finiraient plus ou moins vite troussées sur le sofa ou intégralement nues dans sa chambre à coucher.

- Mais comment savez-vous tout cela ?

- C'est mon oncle Théodore qui me l'a raconté. Ce triptyque lui a appartenu. Il l'avait reçu en cadeau d'une patronne de bordel où cet objet curieux avait fini par échouer. Il servait à stimuler la libido de clients défaillants.

- Les tableaux licencieux sont-ils toujours là ?

- Hélas non ! Ils ont été depuis longtemps remplacés par des photographies tout aussi explicites. Voyez vous-même !

Philippe ouvrit le triptyque et demeura de longs instants, immobile, à contempler les images interdites.

- Je vous réitère ma demande : accepteriez-vous de me le vendre ? Comme je vous l'ai déjà dit, ce serait pour l'offrir à mon épouse en cadeau d'anniversaire...

- Je ne suis pas sûr que ce soit le cadeau vraiment indiqué pour une femme mariée et respectable. À moins que...

- À moins que quoi ?

- À moins que la dite femme mariée ne soit pas aussi sage qu'elle en a l'air... Et puis, je vous l'ai dit, cet objet fait partie du patrimoine familial. Pour m'en séparer, ce ne serait pas qu'une question d'argent. Il faudrait que ce soit entre nous une sorte d'échange, de troc équitable...

- Et quel en serait l'enjeu ?chambre10-6

- Des photos de votre femme... Des photos sans aucun tabou, aucune pudeur, aucune censure... Des photos à ranger dans des albums secrets, loin des regards... Rassurez-vous, je ne vous demande pas une réponse immédiate. Réfléchissez-y ! Je crois que c'est une proposition honnête. Je vois aussi que vous avez fait votre choix dans les photos à vendre...

- Elles font partie de votre collection personnelle ?

- Oui et non. La plupart sont l'oeuvre de mon oncle Théodore. C'est lui qui m'a initié à la photographie. Il ne travaillait qu'en intérieur, comme moi il n'aimait pas trop le monde extérieur et la lumière du soleil. Ses photos sont prises dans des maisons closes, ou plus tard, après leur fermeture en 1946, dans son studio parisien où il s'était spécialisé dans la photo de charme pour des magazines pour hommes, du genre Paris-Hollywood. Par contre, j'ignore totalement comment il est entré en possession de cette photo indécente de Brigitte Bardot, encore toute jeune, quand on ne l'appelait pas encore B.B ! Quant aux deux dernières, ce sont des recherches personnelles. Je crois que vous avez reconnu l'ombre de Tabou sur une des photos. Je ne sais plus si je vous ai déjà parlé de cette jeune Anglaise qui avait récemment posé pour moi afin d'offrir à son petit ami un souvenir très personnel de son séjour en France. C'est elle. Sur la deuxième photo, celle où elle pose avec un python , je crois bien que je l'ai photographiée en train de jouir... Ça ne va pas ?

chambre10-7En face de moi, appuyé sur le comptoir, Philippe était tout pâle. Il a rapidement rassemblé les photos, les a fourrées dans sa serviette de cuir, a posé les billets devant moi et a quitté la boutique, avec juste un au revoir inarticulé...

Ce n'est qu'au moment de la fermeture que j'ai retrouvé sous le comptoir la grande enveloppe en papier kraft que Philippe avait apportée pour un travail de lissage. Je l'avais complètement oubliée cette enveloppe ! Je suis descendu au labo.

Dans la lumière orangée, je les avais rien que pour moi les seins de Monika. Surtout son sein gauche, celui de son coeur, qui me tendait son mamelon, au centre de son aréole cerclée de petites taches claires comme les étoiles du drapeau européen. Dessous, la courbe ombrée appelait la caresse et le soutien d'une paume amoureuse. De minuscules grains de beauté et autres imperfections donnaient vie à sa peau, tout comme la lumière qui jouait sur le satiné de son tétin. Dans la solitude tiède et utérine du labo, ma main en corbeille soupesait son sein, mes doigts en suivaient les contours, en pinçaient délicatement le mamelon, mes lèvres jouaient avec le bout, tout à tour le mordillant comme l'aurait fait un jeune chiot ou le suçant avec gourmandise. J'y promenais aussi ma bite, posant parfois ta tête du gland sur le mamelon ou toute sa colonne raide à la verticale dans le sillon de son sternum où elle allait et venait langoureusement. Alors, inexorablement, venu des profondeurs de mon scrotum, le foutre montait et giclait sur sa peau nue, éclaboussait ses seins offerts et sans défense. Elle était à ma merci et je me repaissais sans fin de sa chair si blanche...

chambre10-9

Lorsque tout fut consommé, je préparai une grande enveloppe contenant les photos « lissées » des seins de Monika. J'y ajoutai un long poème recopié de ma main sur du papier velin :

 

BLASON DU TETIN par Clément Marot (1496-1544)

 

Tetin reffaict, plus blanc qu'un oeuf,

Tetin de satin blanc tout neuf,

Tetin qui faitz honte à la rose,

Tetin plus beau que nulle chose

tetin dor, non pas Tetin, voyre,

Mais petite boulle d'Ivoire,

Au milieu de qui est assise

Une Fraise, ou une Serise

Que nul ne voyt, ne touche aussi,

Mais je gage qu'il est ainsi.

Tetin donc au petit bout rouge,

Tetin qui jamais ne se bouge,

Soit pour venir, soit pour aller,

Soit pour courir, soit pour baller,

Tetin gauche, tetin mignon,

Tetin loing de son compagnon,

Tetin qui portes tesmoignage

Du demourant du personnage,

Quand il te voit, il vient à maintz

Une envie dedant les mains

De te taster, de te tenir :

Mais il se fault bien contenir

D'en approcher, bon gré ma vie,

Car il en viendrait autre envye.

O tetin, ne grand, ne petit,

Tetin meur, tetin d'appetit,

Tetin qui nuyct et jour criez :

Mariez moy tost, mariez !

Tetin qui tant t'enfles, et repoulses

Ton gorgias de deux bons poulces,

A bon droit heureux qui dira

Celluy qui de laict t'emplira,

Faisant d'ung tetin de pucelle

Tetin de femme entière et belle.

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Par michel koppera - Publié dans : chambre obscure - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 18 novembre 2014 2 18 /11 /Nov /2014 09:44

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"Pfff, je n'ai plus rien à me mettre !"

Par michel koppera - Publié dans : émisssions télé - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 17 novembre 2014 1 17 /11 /Nov /2014 10:03

Heinrich Lossow est un artiste allemand né à Munich en 1840 et décédé à Schleissheim en 1897. Fils du sculpteur Arnold Lossow et frère du peintre animalier Friedrich Lossow, Heinrich se spécialise dans la peinture de genre (scènes champêtres ou mythologiques), style roccoco. Mais, parallèlement à sa carrière officielle de peintre et d'illustrateur académique, genre pompier, il compose une oeuvre érotique et pornographique beaucoup plus confidentielle, réservée aux amateurs libertins.

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Scènes mythologiques : Léda et le cygne, Faune et nymphe

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Par michel koppera - Publié dans : le musée Koppera - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 16 novembre 2014 7 16 /11 /Nov /2014 12:04

on-stage

Un court commentaire sur cette photo trouvée sur le net. Ce n'est pas tant le couple sur la scène qui m'intéresse que la spectatrice au visage androgyne (celle au premier rang à gauche, qui porte des lunettes). Je n'arrive pas à mettre des mots sur son expression où se mêlent l'amusement, l'envie mais sûrement pas l'indifférence... Un regard vraiment étrange et troublant ! 

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 15 novembre 2014 6 15 /11 /Nov /2014 09:38

Jeune étudiant issu d'une famille de la noblesse bavaroise, Albert entra dans l'ordre des frères dominicains. Très doué pour les études, il va faire redécouvrir la pensée d'Aristote au monde chrétien. Nommé professeur de théologie et de philosophie à Paris, il se lie d'amitié avec saint Thomas d'Aquin. Après Paris, il enseignera à Cologne et terminera sa vie évêque de Ratisbonne où il meurt en 1280.

Albert le Grand est le saint patron protecteur des savants et des scientifiques

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Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 14 novembre 2014 5 14 /11 /Nov /2014 10:39

Philippe # 9

 

chambre9-0- Aluromancie, cela te dit quelque chose ? 

Les mains pleines de mousse, Halima me regarde de ses grands yeux noirs interrogateurs.

- Non pourquoi ? Tu écris ça comment ?

- Je ne sais pas, d'ailleurs je ne sais pas grand-chose en ce moment.

- Nous voilà bien partis tous les deux, peut-être un rapport avec l'étude des rêves ou des hallucinations, demande à Mister Google le temps que je finisse la vaisselle et après on commandera une pizza, ça fait plaisir de te revoir, depuis le temps que je te réclame. Il faudrait que Monika rénove plus souvent la maison. S'essuyant les mains elle me demande :

- Alors j'avais bon ?

- Désolé, c'est en rapport avec les chats et les pouvoirs de divination qu'on leur prête.

- Pourquoi cette question au juste ?

- Je t'expliquerai plus tard.

- Passe la commande et prépare-nous un cocktail le temps que je prenne une douche.

Cela faisait longtemps que j'avais promis à Halima de lui rendre visite, nous nous étions rencontrés lors d'une formation et avions très vite sympathisé. Ceux qui nous croisaient pour la première fois étaient persuadés que nous formions un couple, nos proches pensaient que nous avions certainement couché ensemble au moins une fois, quelques autres plus rares, dont Monika, comprenaient la nature de notre relation.

À plusieurs reprises nous avions partagé le même lit, mais jamais il n'avait été question d'aller au-delà que l'amitié qui nous liait.

Elle était loin d'être repoussante : une allure sportive, des formes généreuses, une cambrure parfaite, de longs cheveux noirs, tous les charmes de l'orient, En ce moment elle aussi traversait une période de doutes après sa rupture. En apparence triomphante, sa vie sentimentale était devenue un désert, de plus en plus inquiétant à ses yeux, Les prétendants étaient nombreux certes mais aucun ne trouvait grâce à ses yeux.chambre9-2

- Il n'est pas un peu étroit ?

- Quoi ?

- Le débardeur, fis-je avec un sourire en lui tendant son verre.

- On est entre nous alors pas de chichis !

Le livreur de pizza eut toutes les peines du monde à la regarder dans les yeux.

À la fin du repas, elle décida qu'il était temps que nous passions au champagne et me demanda d'aller chercher la bouteille que j'avais apportée.

Lorsque je revins au salon la lumière était tamisée, des bougies allumées et les premières notes de Middle de Pink Floyd me parvenaient.

- Alors parle-de moi de tes malheurs, ça me fera oublier les miens.

Pour une fois, j'avais un peu de mal à rentrer dans le vif du sujet, à savoir mon couple et le chemin inquiétant qu'il semblait prendre. L'usure, l'habitude, la passion qui s'estompait, cette douce folie qui n'était plus au rendez-vous.

Ces derniers temps il m'était arrivé d'avoir des pannes et désormais j'avais peur que cela ne se reproduise. Monika ne semblait plus intéressée par les choses du sexe, la monotonie nous gagnait doucement comme un poison.

- Elle à un amant ?

Non pas d’amant en vue, sa vie était trop bien réglée, une véritable horloge, tout est prévu, organisé, la fantaisie n'a plus voix au chapitre. Parfois j'en suis à lui souhaiter une liaison, cela aurait peut-être redonné un élan à notre couple.

J'en vins à lui avouer mon projet de livre à caractère érotique afin de produire une onde de choc et que cette perspective semblait porter ses fruits.

- Wouah, comme j'aimerais que l'on m'écrive un livre érotique. Elle en a de la chance d'être aimée comme cela, je vais finir par être jalouse, dit-elle en me prenant la main. Quel rapport avec les chats ?

Libre de parole, je lui confie que mon livre serait illustré de photos et de peintures.

- Tu as recontacté le photographe qui l'avait faite poser ?

- Non, pas lui, je t'en reparlerai plus tard d'ailleurs.

chambre9Je lui avoue cette étrange rencontre, de la chambre obscure et du pouvoir que je prête aux photos que développe Valentin.

Dans ma sacoche, qui ne me quitte plus, il y a la dernière série en date.

- Je peux les voir ?

Elle semble déçue par mon refus mais l'accepte sans insister.

Je poursuis mes confidences alors que sa langue étale la salive sur la gomme du papier.

- Tiens, cela nous rappellera des souvenirs, fait-elle en me tendant le joint à allumer.

Une quinte de toux accueille la première bouffée mais très vite je m'envole.

- Tu permets que je me mette à l'aise ?

Sans attendre ma réponse, à travers le tissu, elle dégrafe son soutien-gorge libérant sa ferme poitrine.

En se penchant pour ramasser un peu de cendres tombées sur le parquet, elle m'offre le paysage de ses seins sans entraves.

Cette vision me renvoie au souvenir de cette soirée au cours de laquelle Monika m'avait convié avec des amis français..

Dans ce café, son quartier général où elle était serveuse, un tournoi de billard était organisé, elle pratiquait ce sport avec passion et talent, Je lui avais d'ailleurs acheté une belle queue dont elle se servait avec dextérité. Avec Véro une française rencontrée en Allemagne et un couple d'amis nous nous sommes installés au plus prés de la table afin de ne rien manquer des parties qui allaient s'enchaîner.

Monika était déjà présente à converser avec des amis, nous étions ensemble depuis quelques mois mais n'habitions pas sous le même toit.

Le tournoi débuta, Monika entra en scène, elle était vêtue sobrement, jean et sweat shirt anthracite, ses longs cheveux lâchés.

Sa petite taille l'obligeait à se mettre sur la pointe des pieds afin d'ajuster au mieux ses coups.chambre9-4

Son habilité était indéniable, sa concentration extrême mais sa longue chevelure ne cessait d'aller et venir masquant son regard. Elle se saisit alors d'un crayon pour les maintenir en chignon, à cet instant l'enjeu du tournoi prit un autre sens pour moi et sans doute pour une grande partie de la vingtaine de personnes attroupée autour de la table, Je faillis la prévenir mais je me suis vite ravisé trop heureux de la voir ainsi sans le savoir exposer au regard du public le spectacle de ses seins offerts dans l'échancrure de son sweat.

Il fallait les voir, parfois le droit, le gauche, souvent les deux, si fermes qu'ils bougeaient à peine.

Impossible pour qui assistait à la partie de les ignorer tant elle les avait mis en devanture.

Véro elle-même me fit la réflexion, «  ils donnent envie ». Elle m'avait avoué quelques temps auparavant son amour exclusif pour le sexe féminin, sa remarque me troubla plus encore.

Qu'elle était belle et désirable sa juvénile poitrine aux tétons tentateurs.

Époque bénie où elle laissait ses seins libres de mouvement.

- Tu rêves ?

- Pardon excuse- moi j'étais dans mes pensées, fis je à Halima.

Elle posa sa main sur le haut de ma cuisse.

- Tu dors avec moi ?, j'ai envie qu'on me touche.

- Non Halima,, déplaçant sa main pour la poser sur ma sacoche toute proche, ce serait bête parce nous avons bu et fumé de tout gâcher entre nous.

- Tu as raison, alors je vais me coucher, on s'embrasse quand même ?

Pour réponse je posai mes lèvres à la surface des siennes en un fraternel baiser.

- Tu me donneras l'adresse ?

- De qui ?

- Ton photographe, répondit elle en se dirigeant vers sa chambre à quelques mètres de là.

- Bonne nuit Halima.

L'alcool, la fatigue et le reste eurent raison de moi et sans m'en rendre compte....

...Monika est agenouillée, les paumes tournées vers le plafond, indolente et inerte, regard fermé.

Dans une robe à la blancheur virginale, elle attend, à peine si elle respire.

Devant elle, ma sacoche ouverte, la pochette de Valentin aussi.

Dans l'ombre, derrière elle, Halima, son doigt en travers de la bouche m'indique de ne pas révéler sa présence. Son regard est injecté de sang, de sa bouche carnassière un mince filet de bave s'écoule , elle ondule vers sa proie, elle a faim. Le regard de Monika s'éveille alors, elle a senti le danger tout proche.

chambre9-3Mais déjà il est trop tard, la main gauche toute vernie de noir d'Halima plonge sans crier gare dans l'échancrure de l'étoffe et empoigne fermement l'un de ses seins. Elle se cabre aussitôt tendant son buste en avant, tressaille quand la prédatrice plante ses crocs dans son échine, tête basculant en arrière se soumettant aux lois de la nature.

Tandis que d'une main elle met le sein de Monika à la torture, l'autre à en croire ses gémissements s'affaire au bas de son ventre caché par le corps de sa proie.

Elle jouit dans un orgasme violent et sonore....,

...En sursaut je me réveille, le sexe dur comme jamais, le rêve fut si réaliste qu'il me semble encore percevoir le souffle haletant d'Halima.

Ma sacoche a disparu, nous avons trop abusé hier soir,,,, Comme un train dans la nuit venant de nul part, le sommeil me happe de nouveau.

Le lendemain, je constate que ma sacoche est bien là, tout est en ordre sauf ma tête qui réclame douche et cachet.

- Tu as bien dormi ? Pardonne-moi pour hier soir, je ne sais pas ce qui m'a pris.

- N'y pensons plus.

La journée se déroula sans qu'aucun de nous n'évoque nos propos de la veille, un vide-grenier, une promenade en forêt, des silences plus que des mots.

Au soir j'ai repris le chemin de la maison, impatient de découvrir la transformation de notre chambre à coucher.

Vêtue d'une salopette, un foulard autour du cou, les bras nus portant encore des traces de peinture blanche, Monika m'accueille, heureuse de me montrer le fruit de son labeur.

Me tenant par la main elle me demande de fermer les yeux tout en me conduisant.

La chambre est blanche, les murs nus, un nouveau lit, plus large en occupe le centre.

Comme j'aimerais l'y étreindre, là, maintenant, tout de suite.

Son regard pétille, comme il me plaît de le retrouver ainsi plein de vie et de malice.

- Tu aimes ? bien-sûr il faut encore habiller les murs, décorer mais je n'ai pas encore eu le temps d'y songer.

Elle parle, parle, ne cesse de parler, volubile, je me moque du flacon je recherche l'ivresse.

Son sens de la décoration n'a jamais fait défaut, une fois de plus il me faut l'admettre.

Je repense à cette nuit, fier de ne pas avoir cédé aux appels d'Halima,

Tandis que Monika est sous la douche, je sors de ma sacoche mon précieux contenu pour le mettre à l'abri, je m'aperçois à temps que Valentin a mal collé son étiquette avec l'adresse de sa boutique, qui sert de scellés à ses pochettes, une erreur d'attention et Monika tombait dessus.

A mon tour je file sous la douche pour en ressortir ravi. Demain je file chez Valentin, j'ai envie de franchir une nouvelle étape.

La nature semble renaître, je me sens bien même si je ne comprends pas tout ce qui se passe, je me sens bien est l'essentiel est là.

Valentin usez encore de vos sortilèges, je n'en tarirai pas la source qui les alimente.

Cette soirée passée avec elle fut d'une immense tendresse, après lui avoir massé le dos, à sa plus grande joie je lui ai caressé les pieds durant plus d'une heure,

Avions-nous eu envie l'un de l'autre à cet instant ? Oui pour ma part.

Je crois la connaître, il me semble tout ignorer d'elle.

Je ne cesse de te découvrir, femme mosaïque.

Pas de sexe dans ce nouveau lit, pas encore....

... La pièce est blanche, jusqu'à l'infini.

Elle est là, debout à quelques mètres à peine, je pourrais presque la toucher, elle me regarde presque plaintive, ses mains tenant les pans de son chemisier.

- Je peux ?

- Bien-sûr Monika, tu le peux, puisque c'est un rêve,

Soulagée par ma réponse elle l'arrache pour libérer ses seins congestionnés...

Je me réveille troublé, jamais encore elle ne m'avait parlé.

Le lendemain soir, le courage me manque face à Valentin, je lui tends bien-sûr une enveloppe avec de nouveaux négatifs mais pas celle contenant LA photo que je m'étais promis de confier à ses soins.

Manque de courage,

Je ressors de sa boutique déçu par ma faiblesse.

L'absence de Tabou, ma fatigue, je ne sais pourquoi, mes pieds ont plus de mal à me porter le long de la ruelle...

 

Valentin # 9

 chambre9-9

Voilà déjà plusieurs jours que Tabou est en vadrouille dans le quartier et qu'il m'a abandonné à ma solitude, et ce n'est pas la visite maintenant habituelle de Philippe qui va me remonter le moral. Il m'a paru si triste, si fatigué, que je n'ai pas voulu l'inquiéter davantage en l'entretenant de la fugue de Tabou.

chambre9-6Cette fois, Philippe est arrivé avec une série de négatifs, couleur ou noir et blanc, dont au premier abord je n'ai pas saisi la cohérence, sinon l'omniprésence de Monika. Bien-sûr, il y avait la découverte de ses seins, même si les mamelons et les aréoles en étaient encore cachés, comme sur toutes ses photos de nu d'une grande pudeur... Bien-sûr, il y avait sur deux photos la présence de Philippe, encore jeune, nu lui aussi à ses côtés. Photos très posées, presque trop bien construites. On sentait chez le photographe la volonté de faire du « nu artistique », de surjouer avec les ombres, les aplats de lumière, de rechercher la beauté jusqu'à en oublier l'âme de ses modèles... De longues heures dans l'antichambre des secrets ne me permirent pas de percer le mystère de cette livraison d'images, d'autant plus qu'en l'absence de Tabou, Monika demeurait désespérément muette.

Finalement, c'est en comparant ces clichés avec les premières photos que m'avait confiées Philippe que j'ai trouvé la réponse : au fur et à mesure que Monika se déshabillait, qu'elle livrait aux regards les secrets de sa peau nue, elle perdait de son insouciance, de sa frivolité. Son visage prenait des airs plus graves, comme si pour elle, et sans doute aussi pour Philippe, le sexe était une chose sérieuse avec laquelle il ne fallait pas plaisanter.chambre9-7

Sur deux photos en noir et blanc, Monika portait la panoplie complète du porno-chic : soutien-gorge et petite culotte tanga noire, bas noirs et porte-jarretelles, escarpins à talons hauts. Dans mes archives, j'ai retrouvé des photos que réalisait autrefois mon oncle Théodore lorsque, avant-guerre, il était photographe officiel dans des bordels de province. C'était lui qui était chargé de composer le « catalogue » de la maison que les clients pouvaient feuilleter afin de faire leur choix. Les « pensionnaires » posaient souvent avec le même attirail érotique que celui de Monika, mais il y avait dans leurs postures alanguies, dans leur façon d'écarter les cuisses, de lever un bras pour découvrir une aisselle, de s'abandonner aux profondeurs d'un sofa, une telle sensualité animale que, bien que ne montrant ni leurs seins, ni leur sexe, elles n'en étaient pas moins totalement obscènes. À l'inverse, il y avait dans les poses de Monika beaucoup de self-control ; la situation ne devait pas lui échapper, elle restait maîtresse du jeu. De toute évidence, même si elle en avait revêtu le costume, Monika n'était pas une putain ! Pourtant, quelque chose me disait qu'elle aurait aimé l'être un peu, rien qu'un peu, dans un moment d'égarement ou de fringale amoureuse, et que cela n'aurait pas été pour déplaire au pauvre Philippe, assailli par le doute et la peur de la routine conjugale.

chambre9-8Au soir du sixième jour, alors que je n'y croyais plus, Tabou est revenu, plus famélique que jamais, avec une oreille fendue et quelques estafilades. Une fois repu de croquettes, il m'a suivi jusque dans l'antichambre des secrets où il s'est pelotonné sur mes cuisses nues et s'est profondément endormi. Dans la cage de verre se tenait Monika en grande tenue de veuve lubrique. La traditionnelle voilette noire qui masquait à peine son regard lointain, laissait libre ses lèvres pulpeuses. Son visage n'exprimait aucun chagrin, rien qu'une sorte d'indifférence. Et pourtant, on aurait aimé qu'elle pleure pour avoir le plaisir de la consoler ! Son imperméable sombre, en tous points semblable à celui des exhibitionnistes devant les cours d'école, s'entrouvrait sur les trésors maintenant disponibles de son corps. Entre l'ourlet de sa jupe sombre et le haut de ses bottes noires, on découvrait ses genoux nus, sa peau nue qu'on avait envie de caresser entre ses cuisses, avant de lui demander de dégrafer son soutien-gorge afin qu'elle nous donne ses seins à boire...

- De qui portez-vous ainsi le deuil, jeune veuve à la tendre bouche ?

- Je porte le deuil de mes amours enfantines et de mon innocence. C'est pour cela que mes yeux ne sont pas noyés de larmes...

- Vous savez que le noir vous rend plus belle...

- Vous voulez sans doute dire plus salope... Si je vous disais, Valentin, que sous ma jupe je ne porte pas de culotte et que j'ai la chatte toute mouillée, vous me croiriez ?

- Je veux bien le croire. Si j'osais je vous dirais aussi que vous avez une bouche à sucer les bites...

- Vous êtes flatteur et vous savez parler aux femmes. Laissez-vous aller au sommeil et je viendrai peut-être vous y rejoindre...

Lorsque je m'éveillai en sursaut le lendemain matin, avec une sorte de gueule de bois lancinante, on tambourinait avec insistance à la porte de la boutique.

C'était Philippe...

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : chambre obscure - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 13 novembre 2014 4 13 /11 /Nov /2014 10:31

Recueilli et protégé par saint Martin, Brice quitta cependant le monastère pour "vivre avec de beaux cheveux dans ses écuries et de jolies esclaves dans sa maison". Mais à la mort de saint Martin, il changea radicalement de mode de vie et, devenu évêque de Tours, concacra quarante années de sa vie à sa charge épiscopale et à Dieu. Calomnié et accusé d'avoir engrossé une religieuse, il dut aller plaider sa cause devant le pape en personne. Reconnu innocent de cette accusation, il fut canonisé dès sa mort vers l'an 444.

Brice est le saint patron des juges. Il est aussi invoqué pour la guérison des maux de ventre ! (sic)

13-11-juges

13-11-juges2

Par michel koppera - Publié dans : agenda - Communauté : Arts érotiques
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